Durant les années soixante-dix, a commencé une nouvelle ère de jouets totalement nouveaux. Présentés au Salon du jouet de Nuremberg en 1974, les trois petits bonhommes (un indien, un chevalier et un ouvrier) sont mal accueillis par la profession mais connaissent un succès immédiat : en trois ans, les ventes décuple et la figurine Paymobil est lancée.[ ]L’entreprise familiale allemande est spécialisée dans les jouets []et face à l'accroissement du prix de la matière première, décide de fabriquer des jouets plus petits, des figurines en plastique aux membres articulés de 7,5 cm de hauteur d'une dizaine de grammes, adaptées à la main de l'enfant et accompagnées d'accessoires. Les premiers Playmobil étaient des personnages masculins. Les premières figurines féminines sont apparues peu après[] et ont fait place aux premiers enfants (garçons et filles) mesurant 2 centimètres de moins puis aux bébés. La suite, on connaît avec des milliards de personnages et le fulgurant succès que l’on sait sur le marché mondial.
Bienvenue chez Naporama
Frédéric Pierrot est un touche à tout. Brillant et passionné, il a décidé un jour de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire, se donner le temps de lancer une sorte de défi qui trottinait dans son esprit depuis plusieurs années déjà. Il avait simplement envie de proposer quelque chose hors du numérique, plutôt dans le style maquette à partir de photographie sur la vie de Bonaparte puis de Napoléon. Avec, il convient de le souligner, une très grosse expérience du playmobil, sans doute son jouet préféré dans sa jeunesse :
« Je me reconnaissais plus dans ces playmobil qui ont bercé mon enfance et j’ai voulu relever le défi, transformer les jouets existants et les customiser, trouver le moyen de leur donner vie. Plusieurs personnes ont travaillé d’arrache pied avec moi sur la customisation des playmobil pour arriver à des pièces uniques pour la plupart, construits avec des morceaux de résine et peints à la main. Pour vous donner une idée de cette transformation, la construction d’une figurine demande trois à quatre heures de travail. Il va sans dire que la maison mère a donné son accord pour la réalisation de ces figurines transformées sans pour autant entrer dans la contrefaçon. On transforme un personnage et on le fait coller à la scène imaginée… »
Les batailles reconstituées
Dans la boutique que Frédéric Pierrot à ouvert il y a quelques jours rue Forcioli-Conti, face à l’église Saint Erasme, la lumière des murs se projette sur les différentes tables où sont rangées les figurines en ordre de bataille. A droite c’est la reconstitution de la bataille du Pont D’Arcole, au fond de la salle celle des Pyramides, à gauche le franchissement du col du Grand Saint Bernard, le tout avec des personnages remarquablement bien faits, sans absolument aucune scène de violence, bien au contraire, sans ressentir la moindre agression. Il s’agit des reprises de certaines lithographies des batailles de l’Empereur des Français sur une dizaine d’années, de 1793 à 1799, toutes les grandes bataille et les grandes victoires surtout.
Et les défaites ?
« Ça viendra avec le temps, nous y pensons, mais ça viendra ! »
J.-F. V.
Bienvenue chez Naporama
Frédéric Pierrot est un touche à tout. Brillant et passionné, il a décidé un jour de faire quelque chose qui sorte de l’ordinaire, se donner le temps de lancer une sorte de défi qui trottinait dans son esprit depuis plusieurs années déjà. Il avait simplement envie de proposer quelque chose hors du numérique, plutôt dans le style maquette à partir de photographie sur la vie de Bonaparte puis de Napoléon. Avec, il convient de le souligner, une très grosse expérience du playmobil, sans doute son jouet préféré dans sa jeunesse :
« Je me reconnaissais plus dans ces playmobil qui ont bercé mon enfance et j’ai voulu relever le défi, transformer les jouets existants et les customiser, trouver le moyen de leur donner vie. Plusieurs personnes ont travaillé d’arrache pied avec moi sur la customisation des playmobil pour arriver à des pièces uniques pour la plupart, construits avec des morceaux de résine et peints à la main. Pour vous donner une idée de cette transformation, la construction d’une figurine demande trois à quatre heures de travail. Il va sans dire que la maison mère a donné son accord pour la réalisation de ces figurines transformées sans pour autant entrer dans la contrefaçon. On transforme un personnage et on le fait coller à la scène imaginée… »
Les batailles reconstituées
Dans la boutique que Frédéric Pierrot à ouvert il y a quelques jours rue Forcioli-Conti, face à l’église Saint Erasme, la lumière des murs se projette sur les différentes tables où sont rangées les figurines en ordre de bataille. A droite c’est la reconstitution de la bataille du Pont D’Arcole, au fond de la salle celle des Pyramides, à gauche le franchissement du col du Grand Saint Bernard, le tout avec des personnages remarquablement bien faits, sans absolument aucune scène de violence, bien au contraire, sans ressentir la moindre agression. Il s’agit des reprises de certaines lithographies des batailles de l’Empereur des Français sur une dizaine d’années, de 1793 à 1799, toutes les grandes bataille et les grandes victoires surtout.
Et les défaites ?
« Ça viendra avec le temps, nous y pensons, mais ça viendra ! »
J.-F. V.