Une architecture qui convoque autant la pensée que le corps tel que l'on peut le découvrir dans cette vidéo (voir ci-dessous) réalisée pour le prix.
Depuis la fondation de sa première agence à Aix-en-Provence en 2007, et de deux autres adresses sur sa terres natale de Corse en 2010 et à Paris en 2015, Amelia Tavella exerce ce processus créatif dans une production très éclectique. Cette dernière s’est naturellement diversifiée, au fil du temps, entre maitrise d’œuvre publique et privée.
Amelia Tavella a ainsi présenté quatre projets représentatifs de son travail, qui combinent l’esthétique de lignes horizontales et une architecture qui a du sens, nourris d’autres univers artistiques, le centre administratif et culturel de Grosseto-Prugna, le groupe scolaire A Strega à Sainte-Marie Sicché la réhabilitation du Couvent Saint-François en pôle culturel Saita Lucia di Tallano et 48 logements collectifs Trilogie à Aix en Provence.
À l’initiative de l’ARVHA, (Association pour la Recherche sur la Ville et l’Habitat), Le prix de la Femme Architecte a le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication et du Ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des femmes,la Ville de Paris ainsi que du Conseil National de l’Ordre des Architectes.
Il a pour but de valoriser les oeuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins existants, et d’encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.
Depuis la fondation de sa première agence à Aix-en-Provence en 2007, et de deux autres adresses sur sa terres natale de Corse en 2010 et à Paris en 2015, Amelia Tavella exerce ce processus créatif dans une production très éclectique. Cette dernière s’est naturellement diversifiée, au fil du temps, entre maitrise d’œuvre publique et privée.
Amelia Tavella a ainsi présenté quatre projets représentatifs de son travail, qui combinent l’esthétique de lignes horizontales et une architecture qui a du sens, nourris d’autres univers artistiques, le centre administratif et culturel de Grosseto-Prugna, le groupe scolaire A Strega à Sainte-Marie Sicché la réhabilitation du Couvent Saint-François en pôle culturel Saita Lucia di Tallano et 48 logements collectifs Trilogie à Aix en Provence.
À l’initiative de l’ARVHA, (Association pour la Recherche sur la Ville et l’Habitat), Le prix de la Femme Architecte a le soutien du Ministère de la Culture et de la Communication et du Ministère des Familles de l’Enfance et des Droits des femmes,la Ville de Paris ainsi que du Conseil National de l’Ordre des Architectes.
Il a pour but de valoriser les oeuvres et les carrières de femmes architectes, afin que les jeunes femmes architectes puissent s’inspirer des modèles féminins existants, et d’encourager la parité dans une profession à forte dominante masculine.
"Au corps de l'édifice", groupe scolaire A Strega – Sainte-Marie-Sicché, par Amelia Tavella,
Prenant place sur un vaste terrain vierge, ancien champ de course du village retiré de Sainte-Marie-Sicché qui le surplombe, le groupe scolaire A Strega s’insère harmonieuse entre deux chênes centenaires au milieu d’une prairie envahie par les fougères.
Véritable oppidum face au grand paysage, le projet prend le parti du végétal.
Pour Amelia Tavella, l’architecture est une expérience profondément sensorielle qui convoque autant les sens que la pensée.
Elle l’éprouve à travers un travail sur les matériaux bruts, dont on dévoile la beauté par le travail de l’Homme.
Ce film, qui illustre son processus créatif de façon poétique, est un prétexte à la rencontre d’autres univers artistiques dont elle se sert pour exprimer ce lien entre corps et esprit.
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Texte : C. Mazzoni
Musique : J. Soucasse
Danse : A-C. Pic Savary
Prise de son : P. Vénéré
Prises de vue : C. Petroni et F. UGET
Montage : J.J. Delsol
Crédit vidéo : Amelia Tavella
Véritable oppidum face au grand paysage, le projet prend le parti du végétal.
Pour Amelia Tavella, l’architecture est une expérience profondément sensorielle qui convoque autant les sens que la pensée.
Elle l’éprouve à travers un travail sur les matériaux bruts, dont on dévoile la beauté par le travail de l’Homme.
Ce film, qui illustre son processus créatif de façon poétique, est un prétexte à la rencontre d’autres univers artistiques dont elle se sert pour exprimer ce lien entre corps et esprit.
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Texte : C. Mazzoni
Musique : J. Soucasse
Danse : A-C. Pic Savary
Prise de son : P. Vénéré
Prises de vue : C. Petroni et F. UGET
Montage : J.J. Delsol
Crédit vidéo : Amelia Tavella