Ce jeudi, cinq mois après les faits qui leur sont reprochés, dix jeunes adultes, âgés de 18 à 35 ans, comparaissaient pour des actes de violence contre les forces de l'ordre et des dégradations lors des manifestations en soutien à trois jeunes Nationalistes condamnés par la Cour d'assises spéciale de Paris pour un attentat commis en avril 2012.
Dans une salle comble, tous sont passés à la barre, mais, à les entendre, leur présence sur les lieux semble fortuite. Des explications, parfois empreintes d'incohérence, qui n'ont pas manquées d'agacer la présidente. Tout au long de l'après-midi, les justifications se sont succédées. Toutes semblent sincères, mais résistent mal à l'examen des faits.
Les plaidoiries auront lieu demain matin. Le procureur a, d'ores et déjà, requis des peines de sursis pour la majorité des prévenus en tenant compte de leur statut et de l'absence de casier judiciaire, sauf pour deux des prévenus.
Le tribunal suivra-t-il cette démonstration ?
Réponse, ce vendredi matin.
Dans une salle comble, tous sont passés à la barre, mais, à les entendre, leur présence sur les lieux semble fortuite. Des explications, parfois empreintes d'incohérence, qui n'ont pas manquées d'agacer la présidente. Tout au long de l'après-midi, les justifications se sont succédées. Toutes semblent sincères, mais résistent mal à l'examen des faits.
Les plaidoiries auront lieu demain matin. Le procureur a, d'ores et déjà, requis des peines de sursis pour la majorité des prévenus en tenant compte de leur statut et de l'absence de casier judiciaire, sauf pour deux des prévenus.
Le tribunal suivra-t-il cette démonstration ?
Réponse, ce vendredi matin.