- Quelles sont vos revendications ?
- On veut mettre en lumière le dysfonctionnement au niveau de la politique de gestion et d'organisation du travail à l'office départemental de l'habitat. Cela vaut pour services techniques comme pour les services administratifs. Nous demandons une remise à plat générale de l'organisation du travail à ce niveau. Aujourd'hui la plupart des agents ne savent pas s'ils sont plombiers ou électriciens ou secrétaires administratifs. C'est cette situation que nous voulons dénoncer car elle est dangereuse pour nos emplois.
- Mais elle ne date pas d'aujourd'hui ?
- Elle dure depuis 4 ans et l'arrivée de la nouvelle direction.
- Et vous avez mis 4 ans pour la dénoncer ?
- Il y a 4 ans le STC n'existait en il n'y avait pas encore de section syndicale du STC. En tout cas, elle n'était pas encore constituée. Depuis un an et demi nous sommes là. Et nous avons, toujours, eu les mêmes revendications portées pendant ce temps par 3 préavis de grève. Et si aujourd'hui nous instaurons ce rapport de force avec la direction, c'est que, pour nous, la situation est véritablement catastrophique.
- Que vous répond-on ?
- Nous avons été reçus mercredi par le bureau : les élus nous ont quand même écouté . C'est déjà un bon point. Une autre entrevue doit avoir lieu dans l'après-midi. Difficile de dire ce qui débouchera de cette nouvelle rencontre.
- Quelles sont, pour l'instant, les conséquences de votre mouvement ?
- Le bâtiment administratif de l'office est complètement paralysé. Les locataires ne peuvent plus payer leur loyer, le système d'accueil ne fonctionne plus, il n'y a plus aucun état des lieux qui est réalisé. Au niveau administratif le fonctionnement de l'office est paralysé. Le mouvement veut aussi redonner la place qui doit la leur aux locataires. Il suffit de faire un tour au sein du parc HLM pour se rendre compte qu'il est vétuste. Il y a un sentiment d'abandon chez les agents mais aussi chez nos locataires.
- On veut mettre en lumière le dysfonctionnement au niveau de la politique de gestion et d'organisation du travail à l'office départemental de l'habitat. Cela vaut pour services techniques comme pour les services administratifs. Nous demandons une remise à plat générale de l'organisation du travail à ce niveau. Aujourd'hui la plupart des agents ne savent pas s'ils sont plombiers ou électriciens ou secrétaires administratifs. C'est cette situation que nous voulons dénoncer car elle est dangereuse pour nos emplois.
- Mais elle ne date pas d'aujourd'hui ?
- Elle dure depuis 4 ans et l'arrivée de la nouvelle direction.
- Et vous avez mis 4 ans pour la dénoncer ?
- Il y a 4 ans le STC n'existait en il n'y avait pas encore de section syndicale du STC. En tout cas, elle n'était pas encore constituée. Depuis un an et demi nous sommes là. Et nous avons, toujours, eu les mêmes revendications portées pendant ce temps par 3 préavis de grève. Et si aujourd'hui nous instaurons ce rapport de force avec la direction, c'est que, pour nous, la situation est véritablement catastrophique.
- Que vous répond-on ?
- Nous avons été reçus mercredi par le bureau : les élus nous ont quand même écouté . C'est déjà un bon point. Une autre entrevue doit avoir lieu dans l'après-midi. Difficile de dire ce qui débouchera de cette nouvelle rencontre.
- Quelles sont, pour l'instant, les conséquences de votre mouvement ?
- Le bâtiment administratif de l'office est complètement paralysé. Les locataires ne peuvent plus payer leur loyer, le système d'accueil ne fonctionne plus, il n'y a plus aucun état des lieux qui est réalisé. Au niveau administratif le fonctionnement de l'office est paralysé. Le mouvement veut aussi redonner la place qui doit la leur aux locataires. Il suffit de faire un tour au sein du parc HLM pour se rendre compte qu'il est vétuste. Il y a un sentiment d'abandon chez les agents mais aussi chez nos locataires.
Le soutien de Inseme per Bastia
Le S.T.C section O.P.H.L.M entame un mouvement de grève aujourd'hui. Inseme per Bastia apporte son soutien aux syndicalistes et personnels dans leurs revendications légitimes et dans leur défense des locataires. Réorganisation de la régie, de la classification du personnel comme déjà convenu lors du dernier protocole, logements livrés en juin dernier et toujours vacants, refus de remise des documents sur les plans co-financés, coûts des interventions...Inseme per Bastia souhaite que l'Office publique des H.L.M soit définitivement un outil transparent au service du peuple Corse. Inseme si pò.