Sur place, le syndicat CGT soulignait qu'« après avoir utilisé toutes les formes d’action, cette forme extrême de mobilisation montre à quel point le désespoir est grand ! Les réponses de l’État deviennent cruciales et urgentes ! L’excuse de ne pas entamer de négociation à cause des élections territoriales est scandaleuse ! La vraie raison est ailleurs : le ministère de la santé doit économiser 5 milliards d’euros en 2018 pour satisfaire Macron et sa politique de baisse des dépenses publiques au profit des très riches et des puissants ».
Cette « marche blanche » a rassemblé plus d’un millier de personnes dans la rue : des syndicats, toutes tendances confondues, des hommes politiques de tous bords, de simples quidams inquiets de la santé de leur hôpital…. Le cortège, parti du Palais de justice, a descendu le boulevard Paoli, fait un crochet devant le nouveau port, puis s’est rendu devant la préfecture de la Haute-Corse. Tout d’abord silencieux, il s'est vite animé, les slogans ont fusé : « Macron, lâche ton pognon », « Buzyn, démission », « Sauvons l’hôpital »…
Cette « marche blanche » a rassemblé plus d’un millier de personnes dans la rue : des syndicats, toutes tendances confondues, des hommes politiques de tous bords, de simples quidams inquiets de la santé de leur hôpital…. Le cortège, parti du Palais de justice, a descendu le boulevard Paoli, fait un crochet devant le nouveau port, puis s’est rendu devant la préfecture de la Haute-Corse. Tout d’abord silencieux, il s'est vite animé, les slogans ont fusé : « Macron, lâche ton pognon », « Buzyn, démission », « Sauvons l’hôpital »…