
C’est un touriste originaire de Toulouse qui s’est baigné à deux reprises dans le Cavu, fin juillet et mi-août qui a été infecté l’été dernier dans le Cavu,
"D’autres personnes pourraient suivre " selon le professeur Antoine Berry, parasitologue au CHU de Toulouse, qui a révélé ce nouveau cas. L’hypothèse la plus probable, selon Antoine Berry, " est une contamination de la rivière par une personne s’ignorant infectée."
Depuis l’apparition de la Bilharziose en avril 2014, 37 000 personnes se sont fait dépister et cent dix cas ont été détectés dont trente-trois en Corse. Les autorités sanitaires avaient alors décidé d’interdire la baignade. Après un an de surveillance et d’analyse de la rivière, tous les voyants étaient aux verts et la baignade à nouveau autorisé à l’été 2015.
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"D’autres personnes pourraient suivre " selon le professeur Antoine Berry, parasitologue au CHU de Toulouse, qui a révélé ce nouveau cas. L’hypothèse la plus probable, selon Antoine Berry, " est une contamination de la rivière par une personne s’ignorant infectée."
Depuis l’apparition de la Bilharziose en avril 2014, 37 000 personnes se sont fait dépister et cent dix cas ont été détectés dont trente-trois en Corse. Les autorités sanitaires avaient alors décidé d’interdire la baignade. Après un an de surveillance et d’analyse de la rivière, tous les voyants étaient aux verts et la baignade à nouveau autorisé à l’été 2015.
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