Emmanuelle De Gentili et Jean-Baptiste Luccioni, entourés de leurs colistiers.
- Comment définissez-vous votre liste ?
- C’est une liste diversifiée, à la fois, territorialement et sociologiquement. Près de la moitié des membres appartiennent à des partis politiques ou ont de l’expérience politique. L’autre moitié est composée de personnes issues de la société civile, venant d’horizons différents, qui ont choisi, au-delà des clivages partisans, de s’engager sur des projets. Ces personnes ont pu être apolitiques ou nationalistes ou coexister avec la Droite. Aujourd’hui, elles pensent que l’intérêt de la Corse est de se réunir sur un projet plus que sur des critères qui ne sont qu’intellectuels.
- N’est-ce pas, d’abord, une liste étiquetée PS ?
- Notre socle de valeurs est socialiste. Dans la composition de ma liste, l’étiquette n’a pas été un élément de fracture, mais de cohésion parce que les personnes, qui nous rejoignent, savent qui nous sommes. Nous sommes investis par le PS. Nous ne nions pas ce que nous sommes. Nous ne trahissons pas les gens lorsque nous les rencontrons. Les gens ne se demandent pas si, demain, nous n’allons pas être ailleurs. Ils savent avec qui ils travaillent et quel socle de valeurs nous lient. Par rapport à un objectif, une vision et une déclinaison opérationnelle, c’est-à-dire des mesures concrètes pour la population, nous allons ensemble faire bouger les lignes. Cette campagne a besoin de clarté et de vérité. C’est vraiment ce qui nous anime pour défendre notre projet politique.
- Vous refusez le terme de « petite liste ». Pourquoi ?
- Il n’y a pas de petite liste dans la configuration que nous avons choisie, avec le projet que nous défendons, avec le fait d’être en phase avec les attentes des citoyens, c’est-à-dire la cherté de la vie, les problèmes des transports... Le sens de notre démarche, c’est d’être des aiguillons avec des propositions qui peuvent étonner, mais qui sont justifiées et s’inscrivent dans une vision à 30 ans de la Corse.
- Sur quoi axerez-vous votre campagne ?
- Il y a trois axes principaux. D’abord, présenter une vision. C’est sur cette vision que les Corses départageront les 12 listes. Ensuite, décliner la Collectivité unique nous prendra énormément de temps. Enfin, nous devrons impulser de nouveaux projets ambitieux et des mesures très concrètes, évaluables à deux ans, pour solutionner des problématiques du quotidien. Nous allons présenter des mesures à court terme qui répondent aux attentes des Corses.
- Vous n’avez pas pu partir avec Jean-Charles Orsucci. Qu’est-ce qui vous différencie au niveau du programme ?
- C’est lui qui n’a pas pu partir avec moi ! Je suis, quand même, le Parti socialiste et lui, le maire de Bonifacio ! Je ne connais pas encore sa base programmatique. Pour ma part, je suis persuadée que l’emploi public ne solutionnera pas le chômage qui est la question majeure en Corse. Parler de chômage, c’est parler de déracinement, de statut de résident, de problématique foncière, des transports… Nous allons nous attaquer à tous ces problèmes pour trouver des recettes et arrêter de chercher notre salut dans une perfusion permanente de l’Etat. La Corse possède les richesses pour créer son propre modèle de développement.
- C’est-à-dire ?
- L’environnement, aujourd’hui, c’est le pétrole d’hier ! C’est de l’or pour la Corse ! Si nous ne sommes pas capables de trouver le juste équilibre entre préservation et développement, nous passerons à côté de ce qu’il faut faire pour la Corse. Parler de développement, c’est, par exemple, développer des filières comme la cosmétique, l’agroalimentaire, la filière bois, la viticulture… en trouvant le moyen de faire exister exportation et développement local. Pour développer l’économie, il faut fluidifier les transports et travailler, par exemple, sur le développement de la Plaine Orientale tout en maintenant un rapport équitable entre le rural et l’urbain. Il ne faut surtout pas abandonner le rural, mais, au contraire, élaborer un grand plan pour le développer.
- Avec quels moyens ?
- Il faut faire bouger les politiques publiques et faire évoluer les services publics parce que nous n’avons plus besoin des mêmes choses aux mêmes endroits. Il faut travailler d’arrache-pied à récupérer les financements, nationaux et européens, que toutes les autres régions obtiennent et les utiliser pour mettre à niveau la Corse et lui donner une impulsion nouvelle. De la même manière, il faut faire reculer les dépendances de la Corse et être davantage maître de notre développement. C’est par là que nous devons commencer à travailler.
- C’est une liste diversifiée, à la fois, territorialement et sociologiquement. Près de la moitié des membres appartiennent à des partis politiques ou ont de l’expérience politique. L’autre moitié est composée de personnes issues de la société civile, venant d’horizons différents, qui ont choisi, au-delà des clivages partisans, de s’engager sur des projets. Ces personnes ont pu être apolitiques ou nationalistes ou coexister avec la Droite. Aujourd’hui, elles pensent que l’intérêt de la Corse est de se réunir sur un projet plus que sur des critères qui ne sont qu’intellectuels.
- N’est-ce pas, d’abord, une liste étiquetée PS ?
- Notre socle de valeurs est socialiste. Dans la composition de ma liste, l’étiquette n’a pas été un élément de fracture, mais de cohésion parce que les personnes, qui nous rejoignent, savent qui nous sommes. Nous sommes investis par le PS. Nous ne nions pas ce que nous sommes. Nous ne trahissons pas les gens lorsque nous les rencontrons. Les gens ne se demandent pas si, demain, nous n’allons pas être ailleurs. Ils savent avec qui ils travaillent et quel socle de valeurs nous lient. Par rapport à un objectif, une vision et une déclinaison opérationnelle, c’est-à-dire des mesures concrètes pour la population, nous allons ensemble faire bouger les lignes. Cette campagne a besoin de clarté et de vérité. C’est vraiment ce qui nous anime pour défendre notre projet politique.
- Vous refusez le terme de « petite liste ». Pourquoi ?
- Il n’y a pas de petite liste dans la configuration que nous avons choisie, avec le projet que nous défendons, avec le fait d’être en phase avec les attentes des citoyens, c’est-à-dire la cherté de la vie, les problèmes des transports... Le sens de notre démarche, c’est d’être des aiguillons avec des propositions qui peuvent étonner, mais qui sont justifiées et s’inscrivent dans une vision à 30 ans de la Corse.
- Sur quoi axerez-vous votre campagne ?
- Il y a trois axes principaux. D’abord, présenter une vision. C’est sur cette vision que les Corses départageront les 12 listes. Ensuite, décliner la Collectivité unique nous prendra énormément de temps. Enfin, nous devrons impulser de nouveaux projets ambitieux et des mesures très concrètes, évaluables à deux ans, pour solutionner des problématiques du quotidien. Nous allons présenter des mesures à court terme qui répondent aux attentes des Corses.
- Vous n’avez pas pu partir avec Jean-Charles Orsucci. Qu’est-ce qui vous différencie au niveau du programme ?
- C’est lui qui n’a pas pu partir avec moi ! Je suis, quand même, le Parti socialiste et lui, le maire de Bonifacio ! Je ne connais pas encore sa base programmatique. Pour ma part, je suis persuadée que l’emploi public ne solutionnera pas le chômage qui est la question majeure en Corse. Parler de chômage, c’est parler de déracinement, de statut de résident, de problématique foncière, des transports… Nous allons nous attaquer à tous ces problèmes pour trouver des recettes et arrêter de chercher notre salut dans une perfusion permanente de l’Etat. La Corse possède les richesses pour créer son propre modèle de développement.
- C’est-à-dire ?
- L’environnement, aujourd’hui, c’est le pétrole d’hier ! C’est de l’or pour la Corse ! Si nous ne sommes pas capables de trouver le juste équilibre entre préservation et développement, nous passerons à côté de ce qu’il faut faire pour la Corse. Parler de développement, c’est, par exemple, développer des filières comme la cosmétique, l’agroalimentaire, la filière bois, la viticulture… en trouvant le moyen de faire exister exportation et développement local. Pour développer l’économie, il faut fluidifier les transports et travailler, par exemple, sur le développement de la Plaine Orientale tout en maintenant un rapport équitable entre le rural et l’urbain. Il ne faut surtout pas abandonner le rural, mais, au contraire, élaborer un grand plan pour le développer.
- Avec quels moyens ?
- Il faut faire bouger les politiques publiques et faire évoluer les services publics parce que nous n’avons plus besoin des mêmes choses aux mêmes endroits. Il faut travailler d’arrache-pied à récupérer les financements, nationaux et européens, que toutes les autres régions obtiennent et les utiliser pour mettre à niveau la Corse et lui donner une impulsion nouvelle. De la même manière, il faut faire reculer les dépendances de la Corse et être davantage maître de notre développement. C’est par là que nous devons commencer à travailler.
- Ne craignez-vous pas que votre projet soit peu audible dans la déroute annoncée du PS et le rejet de sa politique d’austérité ?
- Je suis étonnée de cette question, compte tenu de l’affichage de ma liste. J’ai réussi à convaincre des personnes qui viennent d’horizons très différents à rejoindre notre démarche. Nous avons un socle de valeurs basées sur le social et l’égalité des chances, que tout le monde peut partager. A partir de là, nous avons défini un projet qui est celui de tous et de chacun. C’est bien plus important que l’étiquette politique ! Je ne vais pas dire que je ne suis pas socialiste. Personne ne le croirait ! C’est mon ADN ! Mais on ne peut pas rester sur des clivages des années 70 où le PS ne pouvait s’entendre qu’avec telle ou telle formation. C’était inscrit dans le marbre ! Aujourd’hui, la société a changé. Les besoins ont changé. Nous pouvons travailler avec tous ceux qui partagent la vision d’un nouvel essor de la Corse.
- On sait qu’une frange d’électeurs vote sur une étiquette politique. Est-elle chiffrable en Corse pour le PS ?
- Je suis persuadée que la société corse se transforme. Le vote, lié à l’étiquette, existe, mais je ne peux pas l’évaluer dans la mesure où nous ne nous sommes jamais présentés en étant investis. Le PS local n’a jamais eu l’investiture nationale. C’est la première fois que nous avons l’investiture avec, en plus, la reconnaissance de la démarche régionaliste.
- Vous fixez une barre haute : atteindre 7% au 1er tour. N’est-ce pas un rêve inatteignable ?
- Pas du tout ! Quand on voit la cohérence de la liste en termes de cohésion et de dynamique, quand on arrive à mobiliser autour de nous des jeunes, des créateurs, des entrepreneurs, des artisans, des médecins, des enseignants, des cadres financiers…, on ne peut plus évaluer comment nous serons perçus par la population. Si nous avions fait le choix d’une liste essentiellement PS, des ratios auraient pu expliquer ce que nous pourrions éventuellement représenter. Là, ce serait nous départir complètement de notre capacité à présenter un projet, une vision, une dynamique et, surtout, des mesures concrètes.
- Si vous passez la barre des 5% au 1er tour, avec qui envisagez-vous de fusionner ? D’autres listes de Gauche ? Les Nationalistes ?
- Je vais être très claire : là où nous serons, la Gauche sera ! Nous travaillerons à défendre notre plateforme, qui s’est déjà élargie au-delà du socle de gauche. Si cette plateforme trouve un écho avec d’autres listes, nous l’envisagerons. Mais, ce n’est pas indispensable. Nous ne transigerons, ni sur les objectifs à atteindre, ni sur les valeurs qui nous unissent aujourd’hui afin que justement cette démarche perdure. Si nous trahissons cette dynamique, au lendemain du 2nd tour, nous ne parviendrons pas à poursuivre la construction de cette ligne politique nouvelle sur l’échiquier insulaire. Des candidats ont installé des marques depuis des années, nous, nous voulons installer un style, une autre manière de faire de la politique où l’essentiel est ce que nous proposons et pour quels motifs, nous le proposons.
- Si vous ne franchissez pas la barre des 5%, appellerez-vous à voter pour une autre liste ?
- On ne peut pas faire de la politique fiction à ce stade de la campagne. Tout peut arriver ! Il peut y avoir des dynamiques qui se créent ou des effondrements. Cela peut arriver à toutes les listes. L’histoire nous enseigne qu’il y a toujours des surprises dans une élection territoriale. Nous espérons créer la surprise au soir du 6 décembre !
- La Gauche corse est, aujourd’hui, complètement fracturée. Dans quel état, selon vous, sortira-t-elle de cette élection ?
- Pour nous, cette élection n’est pas un One shot, mais s’inscrit dans la durée. C’est une étape pour nous positionner sur l’échiquier politique parce que nous n’en avons pas souvent eu l’occasion. Lorsqu’on fusionne, dès le 1er tour, on fait des plateformes minimalistes qui enlèvent l’essence même du combat. On n’arrive pas à porter ses idées jusqu’au bout. Notre chance, aujourd’hui, est de pouvoir aller au contact direct des citoyens pour leur expliquer qui nous sommes et ce que nous défendons. C’est la première fois, depuis très longtemps que, dans une démarche régionaliste de Gauche, nous allons pouvoir le faire. Nous souhaitons, à travers cette dynamique progressiste régionaliste, reconstruire une Gauche qui ne ressemblera pas à la Gauche d’hier, mais qui serait une social-écologie. Nous voulons initier cette reconstruction.
Propos recueillis par Nicole MARI.
- Je suis étonnée de cette question, compte tenu de l’affichage de ma liste. J’ai réussi à convaincre des personnes qui viennent d’horizons très différents à rejoindre notre démarche. Nous avons un socle de valeurs basées sur le social et l’égalité des chances, que tout le monde peut partager. A partir de là, nous avons défini un projet qui est celui de tous et de chacun. C’est bien plus important que l’étiquette politique ! Je ne vais pas dire que je ne suis pas socialiste. Personne ne le croirait ! C’est mon ADN ! Mais on ne peut pas rester sur des clivages des années 70 où le PS ne pouvait s’entendre qu’avec telle ou telle formation. C’était inscrit dans le marbre ! Aujourd’hui, la société a changé. Les besoins ont changé. Nous pouvons travailler avec tous ceux qui partagent la vision d’un nouvel essor de la Corse.
- On sait qu’une frange d’électeurs vote sur une étiquette politique. Est-elle chiffrable en Corse pour le PS ?
- Je suis persuadée que la société corse se transforme. Le vote, lié à l’étiquette, existe, mais je ne peux pas l’évaluer dans la mesure où nous ne nous sommes jamais présentés en étant investis. Le PS local n’a jamais eu l’investiture nationale. C’est la première fois que nous avons l’investiture avec, en plus, la reconnaissance de la démarche régionaliste.
- Vous fixez une barre haute : atteindre 7% au 1er tour. N’est-ce pas un rêve inatteignable ?
- Pas du tout ! Quand on voit la cohérence de la liste en termes de cohésion et de dynamique, quand on arrive à mobiliser autour de nous des jeunes, des créateurs, des entrepreneurs, des artisans, des médecins, des enseignants, des cadres financiers…, on ne peut plus évaluer comment nous serons perçus par la population. Si nous avions fait le choix d’une liste essentiellement PS, des ratios auraient pu expliquer ce que nous pourrions éventuellement représenter. Là, ce serait nous départir complètement de notre capacité à présenter un projet, une vision, une dynamique et, surtout, des mesures concrètes.
- Si vous passez la barre des 5% au 1er tour, avec qui envisagez-vous de fusionner ? D’autres listes de Gauche ? Les Nationalistes ?
- Je vais être très claire : là où nous serons, la Gauche sera ! Nous travaillerons à défendre notre plateforme, qui s’est déjà élargie au-delà du socle de gauche. Si cette plateforme trouve un écho avec d’autres listes, nous l’envisagerons. Mais, ce n’est pas indispensable. Nous ne transigerons, ni sur les objectifs à atteindre, ni sur les valeurs qui nous unissent aujourd’hui afin que justement cette démarche perdure. Si nous trahissons cette dynamique, au lendemain du 2nd tour, nous ne parviendrons pas à poursuivre la construction de cette ligne politique nouvelle sur l’échiquier insulaire. Des candidats ont installé des marques depuis des années, nous, nous voulons installer un style, une autre manière de faire de la politique où l’essentiel est ce que nous proposons et pour quels motifs, nous le proposons.
- Si vous ne franchissez pas la barre des 5%, appellerez-vous à voter pour une autre liste ?
- On ne peut pas faire de la politique fiction à ce stade de la campagne. Tout peut arriver ! Il peut y avoir des dynamiques qui se créent ou des effondrements. Cela peut arriver à toutes les listes. L’histoire nous enseigne qu’il y a toujours des surprises dans une élection territoriale. Nous espérons créer la surprise au soir du 6 décembre !
- La Gauche corse est, aujourd’hui, complètement fracturée. Dans quel état, selon vous, sortira-t-elle de cette élection ?
- Pour nous, cette élection n’est pas un One shot, mais s’inscrit dans la durée. C’est une étape pour nous positionner sur l’échiquier politique parce que nous n’en avons pas souvent eu l’occasion. Lorsqu’on fusionne, dès le 1er tour, on fait des plateformes minimalistes qui enlèvent l’essence même du combat. On n’arrive pas à porter ses idées jusqu’au bout. Notre chance, aujourd’hui, est de pouvoir aller au contact direct des citoyens pour leur expliquer qui nous sommes et ce que nous défendons. C’est la première fois, depuis très longtemps que, dans une démarche régionaliste de Gauche, nous allons pouvoir le faire. Nous souhaitons, à travers cette dynamique progressiste régionaliste, reconstruire une Gauche qui ne ressemblera pas à la Gauche d’hier, mais qui serait une social-écologie. Nous voulons initier cette reconstruction.
Propos recueillis par Nicole MARI.
La liste « Corsic’Ardita, La Corse qui ose »
1- Emmanuelle de GENTILI : Conseillère exécutive, maire adjoint de Bastia
2- Jean Baptiste LUCCIONI : Conseiller territorial, maire de Pietrosella
3- Paola BORELLI HOUILLER : Avocate au barreau d’Ajaccio
4- Hyacinthe MATTEI : conseiller municipal d'Ile Rousse
5- Raphaëlle MEDORI : Secrétaire générale GIRTEC
6- José MURATI : Consultant
7- Benoite MARTELLI : Conseillère territoriale
8- Ange Pierre VIVONI : Maire de Sisco
9- Micheline VESPERINI : Fonctionnaire en retraite
10- Pierre PIERI : Employé
11- Marylène PELLEGRINETTI : Conseillère municipale d'Ocana
12- Nicolas VELLUTINI : Ancien Directeur SNCM
13- Vanina GRIMALDI: Pilote CCM
14- Richard GASPARI: Artisan
15- Emmanuelle CERVETTI : Conseillère pédagogique
16- Dr Denis MORETTI : Médecin
17- Véronique LEPIDI : Enseignant chercheur
18- Fréderic PREVOST : Pompier
19- Marie Thérèse GRAZIANI : Enseignante en retraite
20- Laurent SUBRINI : DRH en retraite CRCA
21- Marie VINCENSINI : Animatrice
22- Ange ALFONSI : Pharmacien
23- Marianne BOMBARDI : Professeur des écoles
24- Pierre André PAOLI : Chef d'entreprise
25- Pascale TOTH : conseillère municipale de Biguglia
26- Andreas LEONETTI : responsable de résidence hôtelière
27- Isabelle CASANOVA : Cadre IGESA
28- Don Pierre BERNARDI : EDF
29- Ghislaine PIETRI FILIPPI : Maire de Campi
30- Jules PAVERANI : Adjoint au maire de Luri
31- Jeannine LUCCIARDI : Enseignante en vie associative
32- Alain COMBARET : Professeur IUFM
33- Marie Josée PAGANUCCI : Clerc de notaire
34- Yannick SEGUIN : Conseiller
35- Guylaine SIMONI : Auxiliaire puéricultrice CHB
36- Jean Pierre VESPERINI : Professeur d'université
37- Ghislaine VALENTINI : Assistante sociale
38- Claude PIANNE : Adjoint au maire de Santa Reparata
39- Monique ILARI : Chef de projet GRETA
40- Vincent PIERANTONI : Employé
41- Joëlle POLI : Chef PNC Air Corsica
42- Jean LUCIANI : RATP
43- Marie Paule LENJIANI : conseillère municipale de Sollacaro
44- Louis ROSSI : Artisan
45- Martine LE FISHER : Educatrice spécialisée
46- Jacques MURATI : Artisan
47- Camille ANDREANI : Membre d’une association
50- Philippe PERETTI : Adjoint au maire de Bastia, ancien conseiller territorial
51- Marine MUZY : Créatrice gérante de société
1- Emmanuelle de GENTILI : Conseillère exécutive, maire adjoint de Bastia
2- Jean Baptiste LUCCIONI : Conseiller territorial, maire de Pietrosella
3- Paola BORELLI HOUILLER : Avocate au barreau d’Ajaccio
4- Hyacinthe MATTEI : conseiller municipal d'Ile Rousse
5- Raphaëlle MEDORI : Secrétaire générale GIRTEC
6- José MURATI : Consultant
7- Benoite MARTELLI : Conseillère territoriale
8- Ange Pierre VIVONI : Maire de Sisco
9- Micheline VESPERINI : Fonctionnaire en retraite
10- Pierre PIERI : Employé
11- Marylène PELLEGRINETTI : Conseillère municipale d'Ocana
12- Nicolas VELLUTINI : Ancien Directeur SNCM
13- Vanina GRIMALDI: Pilote CCM
14- Richard GASPARI: Artisan
15- Emmanuelle CERVETTI : Conseillère pédagogique
16- Dr Denis MORETTI : Médecin
17- Véronique LEPIDI : Enseignant chercheur
18- Fréderic PREVOST : Pompier
19- Marie Thérèse GRAZIANI : Enseignante en retraite
20- Laurent SUBRINI : DRH en retraite CRCA
21- Marie VINCENSINI : Animatrice
22- Ange ALFONSI : Pharmacien
23- Marianne BOMBARDI : Professeur des écoles
24- Pierre André PAOLI : Chef d'entreprise
25- Pascale TOTH : conseillère municipale de Biguglia
26- Andreas LEONETTI : responsable de résidence hôtelière
27- Isabelle CASANOVA : Cadre IGESA
28- Don Pierre BERNARDI : EDF
29- Ghislaine PIETRI FILIPPI : Maire de Campi
30- Jules PAVERANI : Adjoint au maire de Luri
31- Jeannine LUCCIARDI : Enseignante en vie associative
32- Alain COMBARET : Professeur IUFM
33- Marie Josée PAGANUCCI : Clerc de notaire
34- Yannick SEGUIN : Conseiller
35- Guylaine SIMONI : Auxiliaire puéricultrice CHB
36- Jean Pierre VESPERINI : Professeur d'université
37- Ghislaine VALENTINI : Assistante sociale
38- Claude PIANNE : Adjoint au maire de Santa Reparata
39- Monique ILARI : Chef de projet GRETA
40- Vincent PIERANTONI : Employé
41- Joëlle POLI : Chef PNC Air Corsica
42- Jean LUCIANI : RATP
43- Marie Paule LENJIANI : conseillère municipale de Sollacaro
44- Louis ROSSI : Artisan
45- Martine LE FISHER : Educatrice spécialisée
46- Jacques MURATI : Artisan
47- Camille ANDREANI : Membre d’une association
48- Alain LAHITTE : Rectorat 49- Claude MORI : Adjointe au maire de San Gavino |
51- Marine MUZY : Créatrice gérante de société