Soutien de Femu a Corsica et de Corsica Libera
Femu a Corsica a appris avec colère et consternation la série d’interpellations survenue aujourd’hui.
Ces interpellations feraient suite à la manifestation du 20 février 2016, manifestation qui s’est, au demeurant, déroulée dans un climat serein et de manière exemplaire.
Le moment où interviennent ces arrestations - plusieurs mois après les faits, alors même que la justice n'a toujours pas répondu de façon satisfaisante à la demande de vérité et de justice suite aux incidents de Reims-Bastia et que la jeunesse corse ressent un fort sentiment d'injustice -, le contexte d'ensemble dans lequel elles s'inscrivent, la personnalité et la jeunesse des personnes interpellées ne peuvent que contribuer à jeter de huile sur le feu et à relancer une logique de tension dont la Corse veut et doit sortir.
Le sentiment de colère et d'inquiétude est d'autant plus fort que parmi les personnes interpellées figure Maxime BEUX, atteint dans sa chair de façon irréversible dans des conditions scandaleuses. Se pose donc clairement la question : qui, à Paris, a intérêt à cette stratégie du pire ?
Femu a Corsica refuse pour sa part de tomber dans le piège de la provocation. Nous appelons à la remise en liberté immédiate de toutes les personnes interpellées" concluait Femu a Corsica en appelant aux rassemblements organisés à 18h devant le commissariat de Bastia et à 18h30 devant la sous-préfecture de Corti.
Corsica Libera avait également appelé aux rassemblements non sans souligner que "Comme l'ont déjà demandé avec force les représentants de la Corse et des milliers de manifestants, il est plus que temps de faire toute la lumière sur l'agression policière dont ont été victimes les supporters bastiais à Reims, et qui a coûté la perte d'un œil à l'un d'entre eux, plutôt que de continuer à tenter de museler l'opinion corse par des manœuvres répressives d'un autre âge."
Ces interpellations feraient suite à la manifestation du 20 février 2016, manifestation qui s’est, au demeurant, déroulée dans un climat serein et de manière exemplaire.
Le moment où interviennent ces arrestations - plusieurs mois après les faits, alors même que la justice n'a toujours pas répondu de façon satisfaisante à la demande de vérité et de justice suite aux incidents de Reims-Bastia et que la jeunesse corse ressent un fort sentiment d'injustice -, le contexte d'ensemble dans lequel elles s'inscrivent, la personnalité et la jeunesse des personnes interpellées ne peuvent que contribuer à jeter de huile sur le feu et à relancer une logique de tension dont la Corse veut et doit sortir.
Le sentiment de colère et d'inquiétude est d'autant plus fort que parmi les personnes interpellées figure Maxime BEUX, atteint dans sa chair de façon irréversible dans des conditions scandaleuses. Se pose donc clairement la question : qui, à Paris, a intérêt à cette stratégie du pire ?
Femu a Corsica refuse pour sa part de tomber dans le piège de la provocation. Nous appelons à la remise en liberté immédiate de toutes les personnes interpellées" concluait Femu a Corsica en appelant aux rassemblements organisés à 18h devant le commissariat de Bastia et à 18h30 devant la sous-préfecture de Corti.
Corsica Libera avait également appelé aux rassemblements non sans souligner que "Comme l'ont déjà demandé avec force les représentants de la Corse et des milliers de manifestants, il est plus que temps de faire toute la lumière sur l'agression policière dont ont été victimes les supporters bastiais à Reims, et qui a coûté la perte d'un œil à l'un d'entre eux, plutôt que de continuer à tenter de museler l'opinion corse par des manœuvres répressives d'un autre âge."