La revendication, rappelons-le, concerne la demande par le syndicat d’une somme de 2 millions d’euros pour entreprendre un certain nombre de travaux importants voire indispensables pour la bonne marche de l’hôpital et une aide de 3 millions d’euros pour créer le service des personnes âgées. Lundi, il a manifesté devant les grilles de la préfecture. Les syndicalistes ont haussé le ton et laissé entendre que d’autres mouvements pourraient être envisagés au cours des prochains jours.
Cela a été le cas hier en fin d’après-midi au rond point de la gare avec une opération « escargot » qui a provoqué le fameux embouteillage récurrent depuis des années, notamment en été lors des mouvements de bateaux.
Les syndicalistes, dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils en ont ras-le-bol depuis près de trois semaines, sont néanmoins conscients que cela provoque quelques gènes à la population.
Mercredi, Maxime Serra, porte-parole du mouvement a expliqué qu’une telle situation ne pouvait durer.
« Il est navrant d’en arriver à de telles opérations mais comment faire autrement devant le silence des autorités qui ne daignent pas répondre à nos appels répétés ? En dehors d’une étude concernant une de nos revendications relative au projet de psycho-gériatrie porté et chiffré par la direction à hauteur de 3 millions d’euros, le TG de l’ARS a proposé ce projet d’une étude architecturale et technique. En revanche, il ne veut pas engager le ministère dans cette étude pour débloquer des fonds. En ce qui concerne la deuxième revendication, qui est une enveloppe supplémentaire de 2 millions d’euros pour l’ensemble des services de l’hôpital, afin d’améliorer les conditions de travail des agents et les conditions d’accueil des patients, nous n’avons aucune réponse. Nous avons décidé de mener quelques actions. On finira bien par nous entendre… »
J. F.
Cela a été le cas hier en fin d’après-midi au rond point de la gare avec une opération « escargot » qui a provoqué le fameux embouteillage récurrent depuis des années, notamment en été lors des mouvements de bateaux.
Les syndicalistes, dont le moins que l’on puisse dire est qu’ils en ont ras-le-bol depuis près de trois semaines, sont néanmoins conscients que cela provoque quelques gènes à la population.
Mercredi, Maxime Serra, porte-parole du mouvement a expliqué qu’une telle situation ne pouvait durer.
« Il est navrant d’en arriver à de telles opérations mais comment faire autrement devant le silence des autorités qui ne daignent pas répondre à nos appels répétés ? En dehors d’une étude concernant une de nos revendications relative au projet de psycho-gériatrie porté et chiffré par la direction à hauteur de 3 millions d’euros, le TG de l’ARS a proposé ce projet d’une étude architecturale et technique. En revanche, il ne veut pas engager le ministère dans cette étude pour débloquer des fonds. En ce qui concerne la deuxième revendication, qui est une enveloppe supplémentaire de 2 millions d’euros pour l’ensemble des services de l’hôpital, afin d’améliorer les conditions de travail des agents et les conditions d’accueil des patients, nous n’avons aucune réponse. Nous avons décidé de mener quelques actions. On finira bien par nous entendre… »
J. F.