Dans les prochains jours, les élus insulaires iront à la rencontre du Premier Ministre et de la Ministre de la Décentralisation
Il l’a rappelé une nouvelle fois à l’Assemblée de Corse dans son discours d’ouverture de session, ce mardi matin. Durant cette mandature, Gilles Simeoni, le président de l’Exécutif, entend renouer le dialogue avec l’Etat. « Nous ne recherchons pas le bras de fer mais un dialogue fécond et ouvert », a-t-il ainsi appuyé. Et pour poser les bases de ce dialogue renoué, un mois après l’élection qui a porté les nationalistes à la tête des institutions insulaires, deux rendez-vous ont d’ores et déjà été pris.
Lundi prochain, le 18 janvier, le président de l’Exécutif, et le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni iront tout d’abord à Matignon rencontrer le Premier Ministre, Manuel Valls, durant une heure et demie, de 17h30 à 19h. A l’ordre du jour, « une discussion d’ordre général », indique Gilles Simeoni. Discussion dans laquelle il ne fait nul doute que les dirigeants nationalistes poseront à nouveau sur la table les questions afférentes à la coofficialité, au statut de résident, ou encore à l’amnistie.
Puis, dans un deuxième temps, dans le cadre de la préparation à l’avènement de la collectivité unique, c’est la ministre de la Décentralisation, Marylise Lebranchu, qui recevra les élus insulaires dans la capitale.
Le 16 février, Gilles Simeoni, Jean-Guy Talamoni, mais aussi des représentants de chaque groupe de l’Assemblée de Corse, les parlementaires et les représentants des grandes communes de l’île sont ainsi conviés à 11heures au ministère, à l’occasion d’une première séance de travail consacrée à la première ordonnance relative au volet institutionnel.
Manon PERELLI
Lundi prochain, le 18 janvier, le président de l’Exécutif, et le président de l’Assemblée de Corse, Jean-Guy Talamoni iront tout d’abord à Matignon rencontrer le Premier Ministre, Manuel Valls, durant une heure et demie, de 17h30 à 19h. A l’ordre du jour, « une discussion d’ordre général », indique Gilles Simeoni. Discussion dans laquelle il ne fait nul doute que les dirigeants nationalistes poseront à nouveau sur la table les questions afférentes à la coofficialité, au statut de résident, ou encore à l’amnistie.
Puis, dans un deuxième temps, dans le cadre de la préparation à l’avènement de la collectivité unique, c’est la ministre de la Décentralisation, Marylise Lebranchu, qui recevra les élus insulaires dans la capitale.
Le 16 février, Gilles Simeoni, Jean-Guy Talamoni, mais aussi des représentants de chaque groupe de l’Assemblée de Corse, les parlementaires et les représentants des grandes communes de l’île sont ainsi conviés à 11heures au ministère, à l’occasion d’une première séance de travail consacrée à la première ordonnance relative au volet institutionnel.
Manon PERELLI