Voici ce courrier et les dessins dont il est question
"J'habite Antibes où je préside une association Corse "L'Unione Corsa". Il y a quelques années un couple a offert à notre association un dessin de Léon-Charles Canniccioni, qui se trouve toujours dans notre salle de réunions.
La particularité de ces dessins c'est que d'un côté nous avons le visage d'une dame brune qui porte le nom de Cipressa, dessinée à Moltifao. Sur le même papier dessin, de l'autre côté, on trouve une femme assise au pied d'un arbre.
J'ai photographié les deux dessins pour vous permettre d'y voir plus clair. Nous avons l'intention de nous séparer de ces dessins pour des raisons de budget. Nous souhaiterions que ces dessins reviennent chez des Corses, comme l'était Léon-Charles Canniccioni, dont on parle dans votre Musée.
Dans l'attente d'une réponse, je vous prie d'agréer Madame, l'expression de toute ma considération."
C'était le 6 Mars dernier.
La demande a été renouvelée le 30.
Et au 1er Juillet personne ne s'était encore manifesté auprès de l'Unione Corsa.
Et Jeannot Magni se désespère de voir les deux dessins de Léon-Charles Caniccioni prendre un jour le chemin de sa ville natale.
"J'habite Antibes où je préside une association Corse "L'Unione Corsa". Il y a quelques années un couple a offert à notre association un dessin de Léon-Charles Canniccioni, qui se trouve toujours dans notre salle de réunions.
La particularité de ces dessins c'est que d'un côté nous avons le visage d'une dame brune qui porte le nom de Cipressa, dessinée à Moltifao. Sur le même papier dessin, de l'autre côté, on trouve une femme assise au pied d'un arbre.
J'ai photographié les deux dessins pour vous permettre d'y voir plus clair. Nous avons l'intention de nous séparer de ces dessins pour des raisons de budget. Nous souhaiterions que ces dessins reviennent chez des Corses, comme l'était Léon-Charles Canniccioni, dont on parle dans votre Musée.
Dans l'attente d'une réponse, je vous prie d'agréer Madame, l'expression de toute ma considération."
C'était le 6 Mars dernier.
La demande a été renouvelée le 30.
Et au 1er Juillet personne ne s'était encore manifesté auprès de l'Unione Corsa.
Et Jeannot Magni se désespère de voir les deux dessins de Léon-Charles Caniccioni prendre un jour le chemin de sa ville natale.