A l'époque, une feuille de route avait été établie. Elle prévoyait la réalisation de travaux de prévention pour le rétablissement du libre écoulement des eaux sur le secteur "Ponte-Leccia-Ponte Novu", le lancement d'une étude d'expertise sur la gestion des matériaux solides accumulés et sur les aménagements hydrauliques à réaliser, et le lancement d'une étude hydraulique complète sur les différents bassins versants, notamment celui du Golo.
Vendredi, Alain Thirion est retourné sur place, accompagné de François Orlandi, président du Conseil départemental de Haute-Corse, pour dresser un point d'étape. Au siège de la communauté des communes. Puis sur le terrain. Les maires des communes concernées, les élus de la communauté de communes ainsi que des représentants de la SARL Endemys, chargée de l'étude d'expertise, étaient à leurs côtés.
Que faut-il en retenir ?
Les travaux de prévention pour le rétablissement du libre écoulement des eaux ont été entrepris immédiatement et ont été financés intégralement par les pouvoirs publics. Soit 16 000 euros au titre du Fonds Barnier - le préfet a remis au président de la communauté de communes l'arrêté d'attribution de cette subvention - 4 000 euros alloués par l'Agence de l'eau et 20 000 euros par le Conseil départemental pour un montant total des travaux de 40 000 euros.
L'étude, effectuée par la Sarl Endemys, sur l'expertise de la gestion des matériaux solides accumulés et sur les aménagements hydrauliques post-crue à effectuer, est en cours. Les premiers résultats - même si Endemys a fait état des premiers enseignements mercredi - sont attendus à la fin du mois.
Coût de l'étude ?
20 000 euros financés par l'Etat - la DETR (Dotation d'Équipement des territoires ruraux ) en l'occurrence - à hauteur de 16 000 euros.
Cette étude a pour but d'évaluer la possibilité de rétablir l'écoulement et d'évaluer si d'autres zones peuvent faire l'objet de reprofilage.
Enfin, l'étude hydraulique complète sur les bassins versants impactés par les inondations, menée par le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), missionnée par les services de l'Etat, suit son cours. Elle a pour but de caractériser physiquement l'événement d'octobre dernier et ainsi permettre de déterminer l'occurrence des crues, les vitesses d'écoulement et les hauteurs d'eau atteintes.
Cette étude durera entre 12 et 18 mois. Les communes pourront notamment intégrer ces données dans le cadre de l'élaboration de leurs Plan communaux de Sauvegarde.
Vendredi, Alain Thirion est retourné sur place, accompagné de François Orlandi, président du Conseil départemental de Haute-Corse, pour dresser un point d'étape. Au siège de la communauté des communes. Puis sur le terrain. Les maires des communes concernées, les élus de la communauté de communes ainsi que des représentants de la SARL Endemys, chargée de l'étude d'expertise, étaient à leurs côtés.
Que faut-il en retenir ?
Les travaux de prévention pour le rétablissement du libre écoulement des eaux ont été entrepris immédiatement et ont été financés intégralement par les pouvoirs publics. Soit 16 000 euros au titre du Fonds Barnier - le préfet a remis au président de la communauté de communes l'arrêté d'attribution de cette subvention - 4 000 euros alloués par l'Agence de l'eau et 20 000 euros par le Conseil départemental pour un montant total des travaux de 40 000 euros.
L'étude, effectuée par la Sarl Endemys, sur l'expertise de la gestion des matériaux solides accumulés et sur les aménagements hydrauliques post-crue à effectuer, est en cours. Les premiers résultats - même si Endemys a fait état des premiers enseignements mercredi - sont attendus à la fin du mois.
Coût de l'étude ?
20 000 euros financés par l'Etat - la DETR (Dotation d'Équipement des territoires ruraux ) en l'occurrence - à hauteur de 16 000 euros.
Cette étude a pour but d'évaluer la possibilité de rétablir l'écoulement et d'évaluer si d'autres zones peuvent faire l'objet de reprofilage.
Enfin, l'étude hydraulique complète sur les bassins versants impactés par les inondations, menée par le Cerema (Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement), missionnée par les services de l'Etat, suit son cours. Elle a pour but de caractériser physiquement l'événement d'octobre dernier et ainsi permettre de déterminer l'occurrence des crues, les vitesses d'écoulement et les hauteurs d'eau atteintes.
Cette étude durera entre 12 et 18 mois. Les communes pourront notamment intégrer ces données dans le cadre de l'élaboration de leurs Plan communaux de Sauvegarde.