"On est confronté au départ à un problème commercial privé avec un litige entre parties, à une action de justice sur laquelle nous n'avons pas à nous positionner mais il y a disproportion dans l'action de police et dans l'action de justice" a notamment souligné Jean-Félix Benedetti.
"Elle concerne un couple de militants connus - Michel et Nadia Terrachon. Ils sont depuis deux jours et deux nuits en garde à vue. Et nous avons l'information qu'au niveau du commissariat, il y a eu la volonté initiale de vouloir faire une intervention type Dnat avec des forces spéciales cagoulées" a précisé le leader du Rinnovu.
"Il semble que des personnes lucides ont fait en sorte que type d'opération n'ait pas lieu, mais il y a quand même eu un déploiement important pour une affaire très banale" a t-il ajouté.
"Le complément de cette action initiale, qui part du commissariat, c'est une instruction très longue avec deux jours et deux nuits de garde à vue - le maximum - sur une affaire potentiellement "correctionnalisable" qui pour nous est une affaire de proximité" a encore souligné Jean-Felix Benedetti. " On considère qu'il y a volonté manifeste de chercher à porter le discrédit sur nos militants. On pensait que la logique qui était cet acharnement sur la famille Terrachon était un peu révolue. Il semble qu'il n'en est rien. Nous demandons aujourd'hui qu'il y ait un peu de sérénité, que Nadia Terrachon soit immédiatement libérée et, que s'il y avait une instruction, que les personnes soient convoquées : elles répondront comme elles l'ont toujours fait sans avoir à se cacher des choses qui pourraient leur reprochées."
Jean-Felix Benedetti a ensuite dénoncé "le chantage exercé contre le fils de Michel Terrachon" auquel "on demande qu'il se présente immédiatement à l'instruction sinon sa mère ne serait pas libérée".
" Ce sont des pressions d'un autre âge, d'un autre monde. On ne les accepte pas. Nous lui avons donc demandé d'attendre la libération de sa mère avant de se présenter à quel juge que ce soit car on considère que c'est une disposition inadmissible" a t-il poursuivi à l'heure où Nadia et Michel Terrachon se trouvaient dans l'enceinte du palais de justice de Bastia.
"Il est déplorable de constater qu'ii y ait un tel déploiement de police et de justice pour une affaire somme toute très banale qui aurait pu se traiter autrement. Là il y volonté de diaboliser, de monter des affaires en épingle. Ce qui nous inquiète c'est que l'on est face à des affaires simples : "qu'en serait-il si elles étaient plus compliquées ?" s'interrogeait Jean-Félix Benedetti qui appelait "la justice à faire preuve de plus de circonspection et à respecter la présomption d'innocence" et estimait qu'il y avait "un acharnement permanent contre Michel Terrachon et que son nom est marqué à l'encre rouge en plusieurs endroits des places de police et des places judiciaires et qu'il est la victime permanente de son engagement et de sa disponibilité de militant".
"Elle concerne un couple de militants connus - Michel et Nadia Terrachon. Ils sont depuis deux jours et deux nuits en garde à vue. Et nous avons l'information qu'au niveau du commissariat, il y a eu la volonté initiale de vouloir faire une intervention type Dnat avec des forces spéciales cagoulées" a précisé le leader du Rinnovu.
"Il semble que des personnes lucides ont fait en sorte que type d'opération n'ait pas lieu, mais il y a quand même eu un déploiement important pour une affaire très banale" a t-il ajouté.
"Le complément de cette action initiale, qui part du commissariat, c'est une instruction très longue avec deux jours et deux nuits de garde à vue - le maximum - sur une affaire potentiellement "correctionnalisable" qui pour nous est une affaire de proximité" a encore souligné Jean-Felix Benedetti. " On considère qu'il y a volonté manifeste de chercher à porter le discrédit sur nos militants. On pensait que la logique qui était cet acharnement sur la famille Terrachon était un peu révolue. Il semble qu'il n'en est rien. Nous demandons aujourd'hui qu'il y ait un peu de sérénité, que Nadia Terrachon soit immédiatement libérée et, que s'il y avait une instruction, que les personnes soient convoquées : elles répondront comme elles l'ont toujours fait sans avoir à se cacher des choses qui pourraient leur reprochées."
Jean-Felix Benedetti a ensuite dénoncé "le chantage exercé contre le fils de Michel Terrachon" auquel "on demande qu'il se présente immédiatement à l'instruction sinon sa mère ne serait pas libérée".
" Ce sont des pressions d'un autre âge, d'un autre monde. On ne les accepte pas. Nous lui avons donc demandé d'attendre la libération de sa mère avant de se présenter à quel juge que ce soit car on considère que c'est une disposition inadmissible" a t-il poursuivi à l'heure où Nadia et Michel Terrachon se trouvaient dans l'enceinte du palais de justice de Bastia.
"Il est déplorable de constater qu'ii y ait un tel déploiement de police et de justice pour une affaire somme toute très banale qui aurait pu se traiter autrement. Là il y volonté de diaboliser, de monter des affaires en épingle. Ce qui nous inquiète c'est que l'on est face à des affaires simples : "qu'en serait-il si elles étaient plus compliquées ?" s'interrogeait Jean-Félix Benedetti qui appelait "la justice à faire preuve de plus de circonspection et à respecter la présomption d'innocence" et estimait qu'il y avait "un acharnement permanent contre Michel Terrachon et que son nom est marqué à l'encre rouge en plusieurs endroits des places de police et des places judiciaires et qu'il est la victime permanente de son engagement et de sa disponibilité de militant".