Pour l’un de ses responsables, Paul-Félix Benedetti, cette initiative de créer l’unité du courant autonomiste « accentue la fracture avec le courant indépendantiste et risque de servir de marchepied aux ralliés de toutes sortes qui montent dans le train de l’histoire à la dernière gare » et « La démarche philosophique initiée par Gilles Simeoni ne semble pas à la hauteur des enjeux qui attendent la Corse. Elle s’apparente plus à la nécessité d’assurer le recyclage des élus en déshérence de la "Giacobby" et de la "RoccaSerry" et de fédérer tous les nouveaux patriotes de la 25ème heure, au détriment de l’union de tous les nationalistes ».
Lors de cette conférence de presse le parti nationaliste a exposé ses propres vues sur l’avenir de la Corse : « Les élections territoriales seront l’occasion de poser les bases d’un rapport de force politique nécessaire avec l’Etat. Les 5 années qui viennent ne devront pas être celles de négociations à minima. Il conviendra, au contraire, de créer les conditions d’un véritable processus politique de fin de conflit et d’émancipation progressive. Pour le Rinnovu, les institutions corses doivent aller dans le sens de l’histoire : celui de la souveraineté. (…… ) »
Rinnovu réaffirme "la nécessité d’obtenir une feuille de route claire avec un statut fédéral – d’île associée autonome - en 2022 et sur une période transitoire de 10 ans, suivi d’un référendum d’autodétermination sur le choix de l’indépendance en 2032 ».
Aussi le parti nationaliste qui reste attaché à l’union des nationalistes préconise t-il la mise en synergie de toutes les forces vives : « A scelta Patriottica, porteuse d’espoir, doit être une réalité politique car elle est espérée et souhait »e par une grande partie de l’électorat nationaliste ». Si pour Paul-Felix Benedetti, «Gilles Simeoni est en situation d’être le rassembleur du Mouvement National et a la légitimité populaire pour conforter, dans le pluralisme des mouvements patriotiques, un véritable projet alternatif pour la Corse et son peuple, il n’a malheureusement à ce jour, initié aucune assise de la refondation associant les différents mouvements »…
P.-F. Benedetti s’est exprimé longuement au micro de CNI
Lors de cette conférence de presse le parti nationaliste a exposé ses propres vues sur l’avenir de la Corse : « Les élections territoriales seront l’occasion de poser les bases d’un rapport de force politique nécessaire avec l’Etat. Les 5 années qui viennent ne devront pas être celles de négociations à minima. Il conviendra, au contraire, de créer les conditions d’un véritable processus politique de fin de conflit et d’émancipation progressive. Pour le Rinnovu, les institutions corses doivent aller dans le sens de l’histoire : celui de la souveraineté. (…… ) »
Rinnovu réaffirme "la nécessité d’obtenir une feuille de route claire avec un statut fédéral – d’île associée autonome - en 2022 et sur une période transitoire de 10 ans, suivi d’un référendum d’autodétermination sur le choix de l’indépendance en 2032 ».
Aussi le parti nationaliste qui reste attaché à l’union des nationalistes préconise t-il la mise en synergie de toutes les forces vives : « A scelta Patriottica, porteuse d’espoir, doit être une réalité politique car elle est espérée et souhait »e par une grande partie de l’électorat nationaliste ». Si pour Paul-Felix Benedetti, «Gilles Simeoni est en situation d’être le rassembleur du Mouvement National et a la légitimité populaire pour conforter, dans le pluralisme des mouvements patriotiques, un véritable projet alternatif pour la Corse et son peuple, il n’a malheureusement à ce jour, initié aucune assise de la refondation associant les différents mouvements »…
P.-F. Benedetti s’est exprimé longuement au micro de CNI