Pour ces premiers États Généraux de la Ruralité, les maires et élus sont venus nombreux de toute la Corse : ils étaient plus de 65 présents dont 53 maires ruraux, et 12 dirigeants ou experts spécialistes du développement rural ou représentants des pouvoirs publics et de l’État,sous la présidence de Pierre Simeon de Buochberg, en présence de Vanik Berberian,président de l’AMRF et de Sébastien Cecchi sous-préfet de Corte, représentant l’État en sa qualité de Référent Ruralité pour la Haute-Corse. Parmi les opérateurs et pouvoir publics présents : Orange, EDF, Le Girtec, le PNRC, la SAFER, Maîtres Grimaldi et Pieri représentants les notaires.
Un même projet pour tous : motiver les citoyens à partager la construction d’une ruralité d’avenir et de bien-être, durable et compétitive
L’atelier « S’installer en Ruralité » a traité de la nécessité d’augmenter les capacités de logements dans le rural, de la restauration des patrimoines abandonnés pour raison d’indivision ou d’absence de titres de propriété (1/3 des parcelles de Corse) et des moyens d’amener le même niveau de services de proximité que dans les zones urbaines, grâce au numérique en particulier.
L’atelier « Vivre en Ruralité » s’est concentré sur l’emploi, le développement grâce à l’Économie Sociale et Solidaire, et la santé en milieu rural. Cette deuxième partie, par sa densité d’échanges et de propositions sera approfondie dans un nouvel atelier le 9 décembre 2016.
Les maires ont abondamment décrit combien leurs efforts pour lutter contre l’isolement des villages, et la perdition des patrimoines ruraux, se heurtent à la réglementation (Loi littoral, PNRC, PADDUC, etc). Ils ont évoqué la nécessité vitale de voir les arrêtés Miot prorogés au-delà de 2017.
De nombreuses propositions innovantes ont été avancées dont l’idée de favoriser le retour à la ruralité en instaurant des super « Zones Franches » donnant une motivation aux citoyens et entrepreneurs à vivre et se développer dans le rural.
Un même projet pour tous : motiver les citoyens à partager la construction d’une ruralité d’avenir et de bien-être, durable et compétitive
L’atelier « S’installer en Ruralité » a traité de la nécessité d’augmenter les capacités de logements dans le rural, de la restauration des patrimoines abandonnés pour raison d’indivision ou d’absence de titres de propriété (1/3 des parcelles de Corse) et des moyens d’amener le même niveau de services de proximité que dans les zones urbaines, grâce au numérique en particulier.
L’atelier « Vivre en Ruralité » s’est concentré sur l’emploi, le développement grâce à l’Économie Sociale et Solidaire, et la santé en milieu rural. Cette deuxième partie, par sa densité d’échanges et de propositions sera approfondie dans un nouvel atelier le 9 décembre 2016.
Les maires ont abondamment décrit combien leurs efforts pour lutter contre l’isolement des villages, et la perdition des patrimoines ruraux, se heurtent à la réglementation (Loi littoral, PNRC, PADDUC, etc). Ils ont évoqué la nécessité vitale de voir les arrêtés Miot prorogés au-delà de 2017.
De nombreuses propositions innovantes ont été avancées dont l’idée de favoriser le retour à la ruralité en instaurant des super « Zones Franches » donnant une motivation aux citoyens et entrepreneurs à vivre et se développer dans le rural.