Le syndicat a notamment mis en avant les coûts exorbitants des intervenants extérieurs (un manager venu du continent à 1 000 €/jour), la décorsisation des emplois au niveau des postes d'encadrement (un directeur nommé du continent), la dégradation des conditions de travail et du dialogue social ou encore la dilapidation de l'argent public.
Le STC s’était déjà mobilisé en juillet 2015 mais à ce jour, selon le syndicat, la situation n’a pas évolué dans le bon sens malgré l’engagement des administrateurs de l’Eveil. Il demande le départ des dirigeants, une table ronde entre les salariés et les tutelles pour étudier la pertinence d’une mise sous tutelle de l’association l’Eveil.
Frédérique Albertini, déléguée STC au Centre l’Eveil s’est confié au micro de CNI.
Le STC s’était déjà mobilisé en juillet 2015 mais à ce jour, selon le syndicat, la situation n’a pas évolué dans le bon sens malgré l’engagement des administrateurs de l’Eveil. Il demande le départ des dirigeants, une table ronde entre les salariés et les tutelles pour étudier la pertinence d’une mise sous tutelle de l’association l’Eveil.
Frédérique Albertini, déléguée STC au Centre l’Eveil s’est confié au micro de CNI.