Chacun dira qu'il est conscient des dangers que peut apporter cette addiction et que rien ne vaut le goût de la vie, la vraie.
Mais alors, pourquoi est-ce si dur de se déconnecter, rien qu'un court instant de ces plateformes numériques qui font parties prenantes de notre quotidien ?
" Je n'étais même pas au courant qu'il y avait cette journée " nous confie Sarah, bastiaise de 19 ans, qui avait bien évidemment déjà checké plusieurs fois son fil d'actualité depuis ce matin.
Et ils sont nombreux dans ce cas même si aujourd'hui, d'autres reseaux semblent avoir pris le pas : " Moi c'est d’Instagram que je ne pourrais plus me passer, parce que je peux mettre en avant mes photos, mes vidéos et surtout pouvoir suivre la vie des célébrités " explique Marion, jeune étudiante cortenaise de 22 ans.
Maintenant, grâce aux smartphones on peut même découvrir combien de temps on passe sur les réseaux sociaux " Regardez, moi j'ai passé 46 heures la semaine dernière, sans m'en rendre compte.. (rires)" nous dit Alexandre, lycéen de 16 ans.
2 jours entiers donc, éloigné de le réalité.
Les jeunes ne sont pas seuls à être addictes. Dominique, 46 ans et mère de famille explique qu'elle passe beaucoup de temps sur Facebook, "mais plus pour suivre l'actualité ".
Pour d'autres, une légère prise de conscience semble émerger " Moi je trouve que Facebook devient un peu nul en ce moment, à cause des publicités qui apparaissaient alors qu'on a pas forcément envie de les voir " raconte Baptiste, 23 ans de Montesoro.
Son camarade Michel, même âge, semble du même avis, " Les réseaux sociaux peuvent être dangereux. On voit des gens connus qui affichent un peu leur vie de rêve et ça peut nous faire sentir inférieur ".
Alors même si certains semblent prendre conscience de certains dangers que peuvent représenter les réseaux sociaux, très peu arrivent à s'en passer.
Toutes les personnes interrogées par CNI ce 28 février avaient déjà accédé à au moins une plateforme numérique que ce soit Facebook, Instagram ou Snapchat.
Du moins au niveau local, on ne peut pas dire que cette journée soit une franche réussite.
Mais alors, pourquoi est-ce si dur de se déconnecter, rien qu'un court instant de ces plateformes numériques qui font parties prenantes de notre quotidien ?
" Je n'étais même pas au courant qu'il y avait cette journée " nous confie Sarah, bastiaise de 19 ans, qui avait bien évidemment déjà checké plusieurs fois son fil d'actualité depuis ce matin.
Et ils sont nombreux dans ce cas même si aujourd'hui, d'autres reseaux semblent avoir pris le pas : " Moi c'est d’Instagram que je ne pourrais plus me passer, parce que je peux mettre en avant mes photos, mes vidéos et surtout pouvoir suivre la vie des célébrités " explique Marion, jeune étudiante cortenaise de 22 ans.
Maintenant, grâce aux smartphones on peut même découvrir combien de temps on passe sur les réseaux sociaux " Regardez, moi j'ai passé 46 heures la semaine dernière, sans m'en rendre compte.. (rires)" nous dit Alexandre, lycéen de 16 ans.
2 jours entiers donc, éloigné de le réalité.
Les jeunes ne sont pas seuls à être addictes. Dominique, 46 ans et mère de famille explique qu'elle passe beaucoup de temps sur Facebook, "mais plus pour suivre l'actualité ".
Pour d'autres, une légère prise de conscience semble émerger " Moi je trouve que Facebook devient un peu nul en ce moment, à cause des publicités qui apparaissaient alors qu'on a pas forcément envie de les voir " raconte Baptiste, 23 ans de Montesoro.
Son camarade Michel, même âge, semble du même avis, " Les réseaux sociaux peuvent être dangereux. On voit des gens connus qui affichent un peu leur vie de rêve et ça peut nous faire sentir inférieur ".
Alors même si certains semblent prendre conscience de certains dangers que peuvent représenter les réseaux sociaux, très peu arrivent à s'en passer.
Toutes les personnes interrogées par CNI ce 28 février avaient déjà accédé à au moins une plateforme numérique que ce soit Facebook, Instagram ou Snapchat.
Du moins au niveau local, on ne peut pas dire que cette journée soit une franche réussite.