(Archives)
Le feu a pris naissance en bordure de la piste de l'aérodrome de Ghisonaccia où les flammes se développent très souvent.
L'incendie a pris rapidement de l'ampleur nécessitant la mobilisation du groupement de la Plaine Orientale des Tracker et Fokker Milan, venu spécialement du continent.
Les efforts conjugués de tous ont permis de fixer l'incendie.
Sur le coup de 16h30, on faisait état d'un bilan de 15 hectares parcourus.
Mais les pompiers des centres de secours de la Plaine n'étaient pas au bout de leurs peines.
D'autres foyers se sont embrasé à Ghisonaccia, à Gattone où les flammes ont détruit un hangar avec des balles de foin, et à Poggio-di-Nazza ou bien alors sur la route de Ghisoni.
Il s'agit là d'autant de mises à feu criminelles qui ne sont pas le seul lot de la plaine Orientale.
Dans le courant de l'après-midi c'est dans le Boziu, dans le centre de l'Ile, que les mises à feu - à retardement -se sont multipliés presque simultanément.
Les flammes n'ont parcouru que quelques centaines de mètres carrés mais la pression incendiaire se fait chaque fois plus forte un peu partout à travers l'île.
Jusqu'à la tombée du vent qui soufflait encore en rafales à 120 km/h sur le Cap Corse et la Balagne, il faudra, hélas, s'attendre au pire…
Au terme de la journée et du triple incendie de Ghisonaccia le cap des 80 hectares parcourus avait été atteint !
L'incendie a pris rapidement de l'ampleur nécessitant la mobilisation du groupement de la Plaine Orientale des Tracker et Fokker Milan, venu spécialement du continent.
Les efforts conjugués de tous ont permis de fixer l'incendie.
Sur le coup de 16h30, on faisait état d'un bilan de 15 hectares parcourus.
Mais les pompiers des centres de secours de la Plaine n'étaient pas au bout de leurs peines.
D'autres foyers se sont embrasé à Ghisonaccia, à Gattone où les flammes ont détruit un hangar avec des balles de foin, et à Poggio-di-Nazza ou bien alors sur la route de Ghisoni.
Il s'agit là d'autant de mises à feu criminelles qui ne sont pas le seul lot de la plaine Orientale.
Dans le courant de l'après-midi c'est dans le Boziu, dans le centre de l'Ile, que les mises à feu - à retardement -se sont multipliés presque simultanément.
Les flammes n'ont parcouru que quelques centaines de mètres carrés mais la pression incendiaire se fait chaque fois plus forte un peu partout à travers l'île.
Jusqu'à la tombée du vent qui soufflait encore en rafales à 120 km/h sur le Cap Corse et la Balagne, il faudra, hélas, s'attendre au pire…
Au terme de la journée et du triple incendie de Ghisonaccia le cap des 80 hectares parcourus avait été atteint !