Les organisations associatives, politiques et syndicales du Mouvement National se sont rassemblées ce lundi 22 avril dès 18h30 à l'Università di Corsica, pour discuter des actions à entreprendre face à ce qu'ils considèrent comme "aggravation et une amplification de la politique répressive" à l'encontre des patriotes corses.
Les représentants des organisations politiques, syndicales et associatives ont entamé des discussions dès 18h30 pour élaborer une stratégie commune face à ce qu'ils perçoivent comme une escalade des mesures répressives à l'égard des patriotes corses. Parmi les signataires de la déclaration commune issue de cette réunion, figurent les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista. Les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu et Patriotti in Lotta ont également apporté leur soutien à cette démarche. Le mouvement indépendantiste Nazione n'a pas pris part à cette démarche commune.
Les représentants des organisations politiques, syndicales et associatives ont entamé des discussions dès 18h30 pour élaborer une stratégie commune face à ce qu'ils perçoivent comme une escalade des mesures répressives à l'égard des patriotes corses. Parmi les signataires de la déclaration commune issue de cette réunion, figurent les partis politiques Femu a Corsica, PNC, et Core in Fronte, ainsi que le syndicat STC et les syndicats étudiants Ghjuventù in Core, Ghjuventù Paolina, et Ghjuventù Indipendentista. Les collectifs Aiutu Patriotticu, Aiutu Paisanu et Patriotti in Lotta ont également apporté leur soutien à cette démarche. Le mouvement indépendantiste Nazione n'a pas pris part à cette démarche commune.
"Nous saurons y répondre collectivement"
La déclaration, adressée "solennellement" à l'État français, pointe du doigt une série de pratiques jugées excessives et injustes. Parmi elles, les signataires dénoncent des "arrestations violentes", des détentions prolongées, des assignations à résidence en dehors de la Corse, des "relances des amendes sur les anciens prisonniers politiques", une "répression sévère lors des manifestations du printemps 2022", ainsi qu'un "maintien et une intensification des poursuites liées au FIJAIT".
Pour les nationalistes corses, ces actions répressives sont "inacceptables," comme en témoigne leur mise en garde dans la déclaration commune : "nous saurons y répondre collectivement." Cependant, les modalités concrètes de cette réponse restent à définir et n'ont pas été précisées dans le communiqué.
La déclaration, adressée "solennellement" à l'État français, pointe du doigt une série de pratiques jugées excessives et injustes. Parmi elles, les signataires dénoncent des "arrestations violentes", des détentions prolongées, des assignations à résidence en dehors de la Corse, des "relances des amendes sur les anciens prisonniers politiques", une "répression sévère lors des manifestations du printemps 2022", ainsi qu'un "maintien et une intensification des poursuites liées au FIJAIT".
Pour les nationalistes corses, ces actions répressives sont "inacceptables," comme en témoigne leur mise en garde dans la déclaration commune : "nous saurons y répondre collectivement." Cependant, les modalités concrètes de cette réponse restent à définir et n'ont pas été précisées dans le communiqué.