Sérieuse concurrente de son homologue danoise, la Sirène de Copenhague, A Sirenella di l’Isula Rossa a profité ce samedi d’un peu de houle pour s’approcher du rivage et élire domicile sur un rocher de granit, au bout de la promenade du bord de mer à l’Ile Rousse.
La Sirène, œuvre commandé par la mairie à l’artiste corse Gabriel Diana, est en réalité une sculpture de bronze fondu à la cire de dimension humaine.
Inaccessible, placée en mer sur un rocher à quelques mètres du rivage, elle deviendra très probablement le symbole de la Ville et sans doute attirera nombre de curieux tout en faisant les beaux jours des photographes et des touristes de passage, surtout par gros temps quand elle ne manquera pas de mouiller ses écailles.
Une initiative qui fait de lLIle Rousse une ville toujours plus sculpturale qui, comme un musée en plein air, abrite les œuvres de nombreux et influents artistes européens tels que Volti et Berrone.
Et, depuis ce samedi, Gabriel Diana.
La Sirène, œuvre commandé par la mairie à l’artiste corse Gabriel Diana, est en réalité une sculpture de bronze fondu à la cire de dimension humaine.
Inaccessible, placée en mer sur un rocher à quelques mètres du rivage, elle deviendra très probablement le symbole de la Ville et sans doute attirera nombre de curieux tout en faisant les beaux jours des photographes et des touristes de passage, surtout par gros temps quand elle ne manquera pas de mouiller ses écailles.
Une initiative qui fait de lLIle Rousse une ville toujours plus sculpturale qui, comme un musée en plein air, abrite les œuvres de nombreux et influents artistes européens tels que Volti et Berrone.
Et, depuis ce samedi, Gabriel Diana.