La Ldh s’associe au rassemblement organisé ce lundi 28 septembre à 17 heures devant la préfecture d’Ajaccio pour réclamer que tous les enfants dans l’obligation de partir sur le continent pour des soins puissent bénéficier du droit à la prise en charge du second accompagnant. Elle apporte son soutien aux familles concernées.
Lors de sa venue, le Président Macron a déclaré : « la prise en charge pérenne du deuxième accompagnant est acquise et entrera en vigueur avant la fin du mois de septembre »
Toutefois, les familles et associations mobilisées pour obtenir ce droit, découvrent que le décret est restrictif et ne concerne pas la prise en charge du second accompagnant pour tout mineur hospitalisé sur le continent.
La Ldh rappelle la Charte européenne des droits de l’enfant hospitalisé de 1988 : Un enfant hospitalisé a le droit d’avoir ses parents, ou leur substitut, auprès de lui jour et nuit, quel que soit son âge ou son état. On offrira aux parents toutes les facilités matérielles pour y parvenir, sans que cela n’entraîne un supplément financier ou une perte de salaire.
Pour la Ldh, au-delà de l’égalité d’accès aux soins, les familles posent la question de l’intérêt supérieur de l’enfant, tel que défini par la convention internationale des droits de l’enfant."
Lors de sa venue, le Président Macron a déclaré : « la prise en charge pérenne du deuxième accompagnant est acquise et entrera en vigueur avant la fin du mois de septembre »
Toutefois, les familles et associations mobilisées pour obtenir ce droit, découvrent que le décret est restrictif et ne concerne pas la prise en charge du second accompagnant pour tout mineur hospitalisé sur le continent.
La Ldh rappelle la Charte européenne des droits de l’enfant hospitalisé de 1988 : Un enfant hospitalisé a le droit d’avoir ses parents, ou leur substitut, auprès de lui jour et nuit, quel que soit son âge ou son état. On offrira aux parents toutes les facilités matérielles pour y parvenir, sans que cela n’entraîne un supplément financier ou une perte de salaire.
Pour la Ldh, au-delà de l’égalité d’accès aux soins, les familles posent la question de l’intérêt supérieur de l’enfant, tel que défini par la convention internationale des droits de l’enfant."
Les droits ne se divisent pas : pour chaque enfant, le droit d’être soigné ne se sépare pas du droit d’être entouré et aimé.