"Car cette histoire est simple. M Patrice Scatena (à l’époque de l’acquisition fonctionnaire, aujourd’hui retraité) est le vrai acquéreur. Ce dernier ne l’oublions pas à acheter une terre agricole, à une valeur agricole, alors qu’il n’est et n’a jamais été agriculteur, Et c'est bien le fond du problème… Le collectif Rovani n’oublie pas la phrase de l’avocat de Patrice Scatena en pleine séance au Tribunal d’Ajaccio : « Le fléau de la Corse est l’indivision et les agriculteurs », ce qui prouvait bien qu’il n’y avait pas de vocation agricole pour cette terre.
Adrien, son fils, apparaît dans cette affaire il y a un peu plus d’un an grâce à une donation de la nue propriété d’une parcelle ( ?).
Comme par hasard, ce pauvre garçon va servir à justifier cette acquisition faite 5 années auparavant alors qu’il n’était pas cité par son père lors de l’achat. Pourquoi ?
Le collectif Rovani ne rentrera pas dans les polémiques de personnes comme le fait Adrien, ce n’est pas sa vocation
Les noms cités dans son dernier commentaire sont pour la plupart les membres de la famille Seni, qui sont prioritaires, ces derniers ne se battent pas pour mettre dehors un des leurs et lui enlever la maison, ainsi que son outil de travail, quant aux autres noms, ce ne sont que des invectives sans fondements créées uniquement pour mettre le doute sur le bien fondé des revendications de Jean-Michel Seni.
Le collectif depuis 6 années dénonce cette aberration juridique, et veut démontrer aujourd’hui qu'en Corse les lois ne sont pas les mêmes qu'ailleurs.
N’importe qui (dans ce cas Patrice Scatena, retraité de la fonction publique) peut se positionner sur des terres agricoles et bénéficier de tarif agricole. (Maison, moulin, 500 pieds d’oliviers tricentenaires, 250 ha dont 160 ha exploitables achetés à 320 000,00 euros (à méditer). Puis 5 ans après, annoncer que c’est pour installer son fils… Ne trouvez vous pas cela énorme malheureusement ceci risque de se reproduire ailleurs.
Que les outils voués à la protection des terres agricoles de cette ampleur ne sont pas performants et qu’il faudrait porter au débat leur évolution.
Dans ce cas, la Safer n’a pas tenu compte de la demande d’un groupement d’agriculteurs qui s’était positionné en janvier 2007, bien avant l’adjudication (pour l’acquisition de ce terrain en y intégrant Jean-Michel Seni, et a porté jugement du bien fondé de cette demande sans même avoir réuni la commission technique. Le collectif attend encore à ce jour les PV.
Le collectif est inquiet de voir que ce problème foncier est noyé par des approches d’affect alors que c’est un réel problème politique de fond quant à l’avenir des terres agricoles proches du littoral.
Si nous ne nous mobilisons pas, vont se multiplier les cas comme celui-ci. Ne nous laissons pas aveugler et allons à l'essentiel. Ne laissons pas les terres agricoles achetées par des non agriculteurs !"
Adrien, son fils, apparaît dans cette affaire il y a un peu plus d’un an grâce à une donation de la nue propriété d’une parcelle ( ?).
Comme par hasard, ce pauvre garçon va servir à justifier cette acquisition faite 5 années auparavant alors qu’il n’était pas cité par son père lors de l’achat. Pourquoi ?
Le collectif Rovani ne rentrera pas dans les polémiques de personnes comme le fait Adrien, ce n’est pas sa vocation
Les noms cités dans son dernier commentaire sont pour la plupart les membres de la famille Seni, qui sont prioritaires, ces derniers ne se battent pas pour mettre dehors un des leurs et lui enlever la maison, ainsi que son outil de travail, quant aux autres noms, ce ne sont que des invectives sans fondements créées uniquement pour mettre le doute sur le bien fondé des revendications de Jean-Michel Seni.
Le collectif depuis 6 années dénonce cette aberration juridique, et veut démontrer aujourd’hui qu'en Corse les lois ne sont pas les mêmes qu'ailleurs.
N’importe qui (dans ce cas Patrice Scatena, retraité de la fonction publique) peut se positionner sur des terres agricoles et bénéficier de tarif agricole. (Maison, moulin, 500 pieds d’oliviers tricentenaires, 250 ha dont 160 ha exploitables achetés à 320 000,00 euros (à méditer). Puis 5 ans après, annoncer que c’est pour installer son fils… Ne trouvez vous pas cela énorme malheureusement ceci risque de se reproduire ailleurs.
Que les outils voués à la protection des terres agricoles de cette ampleur ne sont pas performants et qu’il faudrait porter au débat leur évolution.
Dans ce cas, la Safer n’a pas tenu compte de la demande d’un groupement d’agriculteurs qui s’était positionné en janvier 2007, bien avant l’adjudication (pour l’acquisition de ce terrain en y intégrant Jean-Michel Seni, et a porté jugement du bien fondé de cette demande sans même avoir réuni la commission technique. Le collectif attend encore à ce jour les PV.
Le collectif est inquiet de voir que ce problème foncier est noyé par des approches d’affect alors que c’est un réel problème politique de fond quant à l’avenir des terres agricoles proches du littoral.
Si nous ne nous mobilisons pas, vont se multiplier les cas comme celui-ci. Ne nous laissons pas aveugler et allons à l'essentiel. Ne laissons pas les terres agricoles achetées par des non agriculteurs !"