En grève depuis le 7 janvier, le personnel de l'Agence Engie-Cofely de Corse occupe les bureaux de la société et force est de constater l’absence de réaction et de communication de la Direction après trois jours de blocage total de l’activité sur l’ensemble de la Corse.
43 familles touchées…
Les salariés sont en contact avec le bureau du préfet pour obtenir un rendez-vous de concertation dans les prochains jours. Un rendez-vous a déjà été pris avec le Président de l’assemblée de Corse le 10 janvier. Ils estiment que le mépris clairement affiché de la Direction d’ENGIE Cofely ne fait que les conforter dans leur sentiment d’abandon :
« Notre mobilisation, notre volonté et notre détermination se renforcent chaque jour pour voir aboutir favorablement nos revendications. Le comportement de nos dirigeants nous pousse à nous interroger sur la réelle stratégie à long terme pour maintenir l’activité sur la Corse. L’avenir des 43 familles des salariés de l’agence Corse d’ENGIE Cofely est en jeu.
Si la situation n’évolue pas, nous serons contraints de donner plus de poids à notre action pour nous faire entendre, d’autant que nos sollicitations par téléphone et/ou par mail restent sans suite. ».
Il convient de rappeler qu’en l'espace de 5 ans, six directeurs et responsables d'agences se sont succédé avec un bilan chaotique qui a entrainé la perte de nombreux contrats sur les secteurs d'Ajaccio et Bastia. malgré cela aucun dirigeant présent auprès des clients et les capacités face à la concurrence sont limitées.
A noter également que début novembre 2018, quatre salariés ont été convoqués par la RH pour se voir proposer un plan social. Des échéances importantes arrivent comme la renégociation de contrats.
Abandonnés !
« Notre Direction n'a aucune stratégie commerciale mais nous ne perdrons pas nos forces et nous ne voulons pas assumer les erreurs et les manquements de la Direction. Raison pour laquelle nous exigeons : le maintien du poste de technicien itinérant, la nomination d'un Directeur présent exclusivement sur l'Agence de Corse et détenteur de pouvoirs décisionnaires et la récupération progressive des compétences de support sur l'Agence de Corse qui aboutirait à une sortie de tutelle de Bouc Bel Air.
J.F.
43 familles touchées…
Les salariés sont en contact avec le bureau du préfet pour obtenir un rendez-vous de concertation dans les prochains jours. Un rendez-vous a déjà été pris avec le Président de l’assemblée de Corse le 10 janvier. Ils estiment que le mépris clairement affiché de la Direction d’ENGIE Cofely ne fait que les conforter dans leur sentiment d’abandon :
« Notre mobilisation, notre volonté et notre détermination se renforcent chaque jour pour voir aboutir favorablement nos revendications. Le comportement de nos dirigeants nous pousse à nous interroger sur la réelle stratégie à long terme pour maintenir l’activité sur la Corse. L’avenir des 43 familles des salariés de l’agence Corse d’ENGIE Cofely est en jeu.
Si la situation n’évolue pas, nous serons contraints de donner plus de poids à notre action pour nous faire entendre, d’autant que nos sollicitations par téléphone et/ou par mail restent sans suite. ».
Il convient de rappeler qu’en l'espace de 5 ans, six directeurs et responsables d'agences se sont succédé avec un bilan chaotique qui a entrainé la perte de nombreux contrats sur les secteurs d'Ajaccio et Bastia. malgré cela aucun dirigeant présent auprès des clients et les capacités face à la concurrence sont limitées.
A noter également que début novembre 2018, quatre salariés ont été convoqués par la RH pour se voir proposer un plan social. Des échéances importantes arrivent comme la renégociation de contrats.
Abandonnés !
« Notre Direction n'a aucune stratégie commerciale mais nous ne perdrons pas nos forces et nous ne voulons pas assumer les erreurs et les manquements de la Direction. Raison pour laquelle nous exigeons : le maintien du poste de technicien itinérant, la nomination d'un Directeur présent exclusivement sur l'Agence de Corse et détenteur de pouvoirs décisionnaires et la récupération progressive des compétences de support sur l'Agence de Corse qui aboutirait à une sortie de tutelle de Bouc Bel Air.
J.F.