Une salle abondamment garnie de passionnés mais aussi de personnes ayant toujours été fidèles à l’Aghja, Francis Aïqui et Marie-Jeanne Nicoli, deux figures de proue de la structure, des invités de marque (Josepha Giacometti, élue territoriale en charge de la culture et Simone Guerrini, adjointe déléguée à la culture à la mairie d’Ajaccio), un écran sur lequel un petit film présentant la programmation 2018-2019 sera diffusé, tout était réunis, la semaine dernière dans la célèbre salle dédiée à la musique et au théâtre pour marquer d’un pierre blanche le renouveau de l’Aghja.
On peut, en effet, parler de renouveau pour une structure longtemps menacée… »Cinq années difficiles, rappelle Marie-Jeanne Nicoli, mais tout cela reste du passé. Nous avons élaboré un nouveau projet, une période de travail, d’échanges et de réflexion. Cette salle, c’est une aventure de plus de trente ans, que nous comptons bien prolonger. Il était temps de repenser notre projet sans modifier la philosophie générale de notre action. »
On peut, en effet, parler de renouveau pour une structure longtemps menacée… »Cinq années difficiles, rappelle Marie-Jeanne Nicoli, mais tout cela reste du passé. Nous avons élaboré un nouveau projet, une période de travail, d’échanges et de réflexion. Cette salle, c’est une aventure de plus de trente ans, que nous comptons bien prolonger. Il était temps de repenser notre projet sans modifier la philosophie générale de notre action. »
Une saison de changement
La structure veut s’enrichir de nouvelles actions et s’ouvrir aux autres salles. Côté programmation, on retrouvera donc les incontournables concerts avec quelques nouveautés comme le Reggae (en guest-star mais cela changera chaque année), « Général Elektriks » (pop), des artistes novices pour « Première Scène », « Scappinu » de Guy Cimino (adaptation de l’œuvre de Molière en corse), la venue du troupe sarde pour un remake couleur locale de Macbeth de Shakespeare, Vitalba et, en point d’orgue les 40 du groupe « A Filetta ». Sans oublier une ouverture vers la danse…
« Une saison de changement, poursuit Francis Aïqui, on semble mieux compris par les organismes de tutelle. L’orientation semble, de ce fait, plus favorable. Plus de concerts, de théâtre, de résidences, la place pour la culture corse avec sept compagnies insulaires, et l’ajout de la danse en mai. Une programmation, qui, nous l’espérons, va satisfaire le public. »
Première pierre de ce nouvel édifice ?
C'était les 12 et 13 octobre avec « Cheveux », une pièce de théâtre de Laureline Collavizza et Julie Fonroget…
La structure veut s’enrichir de nouvelles actions et s’ouvrir aux autres salles. Côté programmation, on retrouvera donc les incontournables concerts avec quelques nouveautés comme le Reggae (en guest-star mais cela changera chaque année), « Général Elektriks » (pop), des artistes novices pour « Première Scène », « Scappinu » de Guy Cimino (adaptation de l’œuvre de Molière en corse), la venue du troupe sarde pour un remake couleur locale de Macbeth de Shakespeare, Vitalba et, en point d’orgue les 40 du groupe « A Filetta ». Sans oublier une ouverture vers la danse…
« Une saison de changement, poursuit Francis Aïqui, on semble mieux compris par les organismes de tutelle. L’orientation semble, de ce fait, plus favorable. Plus de concerts, de théâtre, de résidences, la place pour la culture corse avec sept compagnies insulaires, et l’ajout de la danse en mai. Une programmation, qui, nous l’espérons, va satisfaire le public. »
Première pierre de ce nouvel édifice ?
C'était les 12 et 13 octobre avec « Cheveux », une pièce de théâtre de Laureline Collavizza et Julie Fonroget…