Celle-ci qui réside en Tunisie, inquiète du long silence de son époux, a donné l'alerte en fin de semaine. Lundi matin les enquêteurs de la gendarmerie dépêchés sur les lieux ont découvert, dans la petite résidence où il résidait, le cadavre de l'homme qui baignait dans une mare de sang, visiblement tué à l'arme blanche là où il résidait à Agosta-Plage.
La victime aurait été touchée à plusieurs reprises - on évoque une dizaine de coups de couteau - à la tête et au thorax.
Selon les premiers les éléments de l'enquête, ce drame pourait trouver son origine dans un différend familial. Le fils de la victime résiderait, en effet, au même endroit. Lundi nul ne savait où il était.
Un avis de recherche a été aussitôt lancé par la gendarmerie qui désormais mène une enquête pour meurtre avec préméditation.
L'autopsie du malheureux jardinier devrait être pratiquée mardi.
La victime aurait été touchée à plusieurs reprises - on évoque une dizaine de coups de couteau - à la tête et au thorax.
Selon les premiers les éléments de l'enquête, ce drame pourait trouver son origine dans un différend familial. Le fils de la victime résiderait, en effet, au même endroit. Lundi nul ne savait où il était.
Un avis de recherche a été aussitôt lancé par la gendarmerie qui désormais mène une enquête pour meurtre avec préméditation.
L'autopsie du malheureux jardinier devrait être pratiquée mardi.