La réunion de ce début d'après-midi, s'est déroulée autour d’une table ronde avec les quelques personnes présentes. Il en retourne que cette première édition de Shop in Musica a réellement besoin d’être réfléchie et surtout accueillie par tous. À ne pas confondre avec le shopping de nuit, l’événement a été lancé pour animer et créer une ambiance musicale dans le centre-ville durant les soirées d'été du 1er juillet au 31 août.
Paul Marcaggi, le président de la CCI 2A, a vraiment insisté sur le fait qu’il est important « d’entrer dans un cadre de travail réel, se donner un programme dans le temps et se réunir tous ensemble pour travailler, la CCI 2A est à votre disposition, a-t-il expliqué aux commerçants et représentants des associations, nous sommes ici pour réfléchir avec vous et apporter des réponses travaillées dans le commun mais sans la présence de la Mairie, nous ne pouvons avancer, il nous faudra prévoir une autre réunion… »
La discussion s'est pourtant faite et les doléances ont afflué. Force est de constater que certains commerçants ont besoin de poser des choses sur la table, d’autres font des suggestions comme Pascal Bruno, le propriétaire du Bistrot du cours qui propose que les commerçants offrent un temps de stationnement aux clients. Pour cela, une communication collective forte pourrait être faite sur « on vous offre la première heure de stationnement » par exemple… « Sur 1 ou 2 euros c’est jouable » a t-il souligné.
Attirer la clientèle et la convaincre d'entrer en ville s'avèrerait être une préoccupation. Concernant le cadre horaire, il a suggéré d’opter pour un code couleur que l’on apposerait sur les portes d’entrée, vitrines, en toute visibilité des passants, qui indiquerait la disponibilité horaire du commerçant, comme les feux rouges. Vert « ouvert plein pot jusque tard le soir», orange « horaire intermédiaire », et rouge « horaire classique » tout en ayant la possibilité de passer à une autre couleur selon l’évolution. Le commerçant a également évoqué un troisième point « déjà dans les cartons de la municipalité : la gratuité des bus. Il a ajouté : Je suis ajaccien, j’ai envie de voir ma ville vivre ».
Observer les besoins, les expliquer, être à l’écoute des uns et des autres, travailler sur les réponses semble être une nécessité qui ne peut se faire sans la présence de la Mairie. La réunion n’a pu ainsi se poursuivre. Dans tous les cas, le palais des congrès fermait ses portes du fait de la violente tempête Adrian. Alors affaire à suivre…
Paul Marcaggi, le président de la CCI 2A, a vraiment insisté sur le fait qu’il est important « d’entrer dans un cadre de travail réel, se donner un programme dans le temps et se réunir tous ensemble pour travailler, la CCI 2A est à votre disposition, a-t-il expliqué aux commerçants et représentants des associations, nous sommes ici pour réfléchir avec vous et apporter des réponses travaillées dans le commun mais sans la présence de la Mairie, nous ne pouvons avancer, il nous faudra prévoir une autre réunion… »
La discussion s'est pourtant faite et les doléances ont afflué. Force est de constater que certains commerçants ont besoin de poser des choses sur la table, d’autres font des suggestions comme Pascal Bruno, le propriétaire du Bistrot du cours qui propose que les commerçants offrent un temps de stationnement aux clients. Pour cela, une communication collective forte pourrait être faite sur « on vous offre la première heure de stationnement » par exemple… « Sur 1 ou 2 euros c’est jouable » a t-il souligné.
Attirer la clientèle et la convaincre d'entrer en ville s'avèrerait être une préoccupation. Concernant le cadre horaire, il a suggéré d’opter pour un code couleur que l’on apposerait sur les portes d’entrée, vitrines, en toute visibilité des passants, qui indiquerait la disponibilité horaire du commerçant, comme les feux rouges. Vert « ouvert plein pot jusque tard le soir», orange « horaire intermédiaire », et rouge « horaire classique » tout en ayant la possibilité de passer à une autre couleur selon l’évolution. Le commerçant a également évoqué un troisième point « déjà dans les cartons de la municipalité : la gratuité des bus. Il a ajouté : Je suis ajaccien, j’ai envie de voir ma ville vivre ».
Observer les besoins, les expliquer, être à l’écoute des uns et des autres, travailler sur les réponses semble être une nécessité qui ne peut se faire sans la présence de la Mairie. La réunion n’a pu ainsi se poursuivre. Dans tous les cas, le palais des congrès fermait ses portes du fait de la violente tempête Adrian. Alors affaire à suivre…