Claude Machurat, psychanalyste, se fait écho des questionnements de la danseuse et ensemble, elles abordent cette écriture éphémère du corps, de l’expression de soi, de l’émotion et de l’intensité. Leur dialogue fait sens : la création, comme la psychanalyse, touche la question de l’intime du sujet ; elle est proche du faire, du concret, du réel et produit une œuvre. Une création sans cesse en mouvement, comme manière d’être au monde, comme manière de faire du lien social. ‘Ces trouvailles, ces justes rencontres, ces éclairs, ces mouvements qui éclatent et s'imposent. La danseuse ne peut s'y soustraire, elle ne danse pas, elle est dansée’ raconte Michèle Ettori dans sa présentation.
Le court solo dansé sera suivi de la projection du film de Maria-Francesca Valentini et d’une discussion avec le public.
Le court solo dansé sera suivi de la projection du film de Maria-Francesca Valentini et d’une discussion avec le public.