Entouré de Christian Guyard, sous-préfet de Calvi, des représentants du DDFIP et de la DIRECCTE, Alain Rousseau, préfet de la Haute-Corse, a repris son bâton de pèlerin pour animer vendredi matin une réunion sur la présentation du Pacte de responsabilité et de solidarité annoncé par le président de la République François Hollande et confirmé le 8 avril dernier par le Premier ministre Emmanuel Valls dans son discours de politique générale.
Rappelons que ce pacte est fondé sur des principes simples : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, en contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social.
Après avoir souhaité à tous la bienvenue, Alain Rousseau a présenté les grandes lignes de cette réunion avec un exposé par les représentants du Pole Finances et de la direction des entreprises, avant que ne s’engage un long débat avec les acteurs de la vie économique et des chefs de services.
Cette réunion a été perturbée par des commerçants de l’Ile-Rousse qui ont fait connaître leur mécontentement à la suite du blocage du port de l’Ile-Rousse, dans le conflit de la SNCM (voir par ailleurs).
Alain Rousseau a souligné que ce pacte de responsabilité et de solidarité poursuivait deux objectifs : Accélérer les créations d’emplois des entreprises et augmenter le pouvoir d’achat des foyers modestes, deux objectifs qui permettront de dynamiser l’activité économique de la France.
Ce pacte de responsabilité et de solidarité implique une réduction très importante de la dépense publique avec notamment des réformes structurelles des collectivités territoriales déjà engagées, une baisse de fonctionnement des dépenses de fonctionnement dans les différents ministères, des mesures de simplification où encore en luttant contre la fraude fiscale.
Il a ensuite été question de la baisse du coût du travail, de la réduction des impôts des entreprises, de la simplification des démarches…
Pour les salariés et les ménages, il a été question dans ce pacte de l’augmentation du salaire net, de la réduction des impôts des ménages modestes, l’allégement des impôts sur le revenu pour 3,7 millions de ménages, la revalorisation des prestations sociales pour les plus fragiles, du plan contre la pauvreté avec une revalorisation du RSA et de l’allocation de soutien familial.
Les différentes mesures pour soutenir le pouvoir d’achat ont également fait l’objet de discussions.
Pour la réussite de ce pacte, un appel à tous était lancé.
Dans le débat qui a suivi, bon nombre de chefs d’entreprises plutôt perplexes n’ont pas manqué de faire connaître leurs différences.
Rappelons que ce pacte est fondé sur des principes simples : moins de charges sur le travail, moins de contraintes sur leurs activités et, en même temps, en contrepartie, plus d’embauches et plus de dialogue social.
Après avoir souhaité à tous la bienvenue, Alain Rousseau a présenté les grandes lignes de cette réunion avec un exposé par les représentants du Pole Finances et de la direction des entreprises, avant que ne s’engage un long débat avec les acteurs de la vie économique et des chefs de services.
Cette réunion a été perturbée par des commerçants de l’Ile-Rousse qui ont fait connaître leur mécontentement à la suite du blocage du port de l’Ile-Rousse, dans le conflit de la SNCM (voir par ailleurs).
Alain Rousseau a souligné que ce pacte de responsabilité et de solidarité poursuivait deux objectifs : Accélérer les créations d’emplois des entreprises et augmenter le pouvoir d’achat des foyers modestes, deux objectifs qui permettront de dynamiser l’activité économique de la France.
Ce pacte de responsabilité et de solidarité implique une réduction très importante de la dépense publique avec notamment des réformes structurelles des collectivités territoriales déjà engagées, une baisse de fonctionnement des dépenses de fonctionnement dans les différents ministères, des mesures de simplification où encore en luttant contre la fraude fiscale.
Il a ensuite été question de la baisse du coût du travail, de la réduction des impôts des entreprises, de la simplification des démarches…
Pour les salariés et les ménages, il a été question dans ce pacte de l’augmentation du salaire net, de la réduction des impôts des ménages modestes, l’allégement des impôts sur le revenu pour 3,7 millions de ménages, la revalorisation des prestations sociales pour les plus fragiles, du plan contre la pauvreté avec une revalorisation du RSA et de l’allocation de soutien familial.
Les différentes mesures pour soutenir le pouvoir d’achat ont également fait l’objet de discussions.
Pour la réussite de ce pacte, un appel à tous était lancé.
Dans le débat qui a suivi, bon nombre de chefs d’entreprises plutôt perplexes n’ont pas manqué de faire connaître leurs différences.