La commune d'Aregnu en Balagne souhaitait mettre en valeur son patrimoine archéologique, religieux et rural mais aussi la mémoire locale sur la période de la première guerre mondiale.
Aujourd'hui, c'est chose faite avec cet ouvrage Aregnu Patrimonii è memorie auquel bon nombre de personnes ont collaboré et commandé aux éditions Albiana.
C'est à la salle polyvalente d'Aregnu, en présence de Josepha Giacometti, conseillère exécutive de Corse, chargée de la culture et du patrimone et de "Nanette" Maupertuis, conseillère exécutive de Corse, présidente de l'Agence de Tourisme de la Corse que le maire d'Aregnu, David Calassa a souhaité à tous la bienvenue, avant de citer quelques personnes qui ont œuvré à la collaboration de cet opus : Marie-Laurence Marchetti et Franck Allegrini-Simonetti, archéologues territoriaux, service des patrimoines-archéologie à la Collectivité Territoriale de Corse présents à ses côtés, tout comme Jean-Charles Ciavatti, chercheur inventaire du patrimoine, conservateur des antiquités et objets d'art de Haute-Corse, Laetizia Castellani, adjointe au maire d'Aregnu ou encore Paola Camuffo, docteur en archéologie médiévale à l'Université de Corse et Frédérique Valery, Docteur en langues et cultures régionales à l' Université de Corse, absentes et excusées.
Avant de laisser le soin à Laetizia Castellani de présenter l'ouvrage, David Calassa ajoutait " C'est important pour nous de vous avoir à nos côtés, en ce jour, car vous êtes indéniablement les acteurs essentiels en matière de promotion ou tourisme ou encore de mise en valeur de notre patrimoine et de la mémoire de notre commune.
Notre territoire possède un patrimoine très varié et d'une d'une grande richesse. Il est le reflet de notre histoire, de notre savoir-faire des anciens et de leur vie quotidienne.
Cet ouvrage que nous présentons aujourd'hui s'inscrit dans la lignée de ce que mes prédécesseurs ont accompli pour préserver notre patrimoine. Je pense notamment à la rénovation totale de la chapelle de la trinité ou encore de l'autel de la Chapelle Sant'Antone.
Je salue également Claude Impériali qui a signé la préface".
Létizia Castellani soulignait que cet ouvrage avait pour but de valoriser et promouvoir toutes les richesses de la commune mais aussi de mettre à la portée de tous des connaissances scientifiques en faisant appel à des spécialistes pour chacune des thématiques.
Nous avons choisi les éléments les plus significatifs de notre patrimoine mais il en existe bien d'autres.
Le volet de la mémoire locale consacré à la première guerre mondiale est tout aussi important. Il s'inscrit dans la continuité de la politique communale"
Dans son intervention, Josepha Giacometti se félicitait "du choix d'une commune comme celle d'Aregnu de mettre en avant capital humain et patrimonial, avant de saluer le choix éditorial des éditions Albiana. Pour un territoire comme le notre qui a besoin de valoriser notre patrimoine il est indispensable. C'est pas toujours un choix simple pour un éditeur de soutenir ce type d'initiative.
Notre Collectivité doit être un acteur, encore plus engagé aujourd'hui aux côtés des communes, au profit des porteurs de projets qui fond le choix de valoriser le patrimoine. Il faut aussi renforcer cette logique d'inventaire et, la Collectivité a remis pas très loin de là, en état de fonctionner le centre de conservation de Calvi qui ouvrira ses portes d'ici quelques semaines. Il faut que notre Collectivité soit au service du développement"
Nanette Maupertuis s'excusait en langue corse de son retard et poursuivait:
"Je ne connais pas l'ouvrage mais je ne doute pas de sa qualité. Tout d'abord parce que je connais bien Laetizia Castellani avec qui j'ai l'occasion et le plaisir de travailler à l'Université de Corse. Je vois aussi que d'autres scientifiques et agents de la Collectivité Territoriale se sont penchés sur Aregnu et sur son histoire.
Cet histoire d'Aregnu et de la Balagne en général est très représentative des grandes mutations qu'a connu notre territoire depuis deux siècles. Et, les choses se sont accélérées à partir des années 50 avec l'avènement du tourisme.
Plutôt que de vivre ce tourisme comme un mal nécessaire qui nous est tombé dessus, mieux vaut le vivre très positivement. On a les touriste que l'on choisi et on a les touristes en fonction de ce qu'on leur montre à voir.
Il n'y a pas que la plage en Corse. Il y a aussi une histoire d'une grande richesse".
Un apéritif était offert par la municipalité.
Aujourd'hui, c'est chose faite avec cet ouvrage Aregnu Patrimonii è memorie auquel bon nombre de personnes ont collaboré et commandé aux éditions Albiana.
C'est à la salle polyvalente d'Aregnu, en présence de Josepha Giacometti, conseillère exécutive de Corse, chargée de la culture et du patrimone et de "Nanette" Maupertuis, conseillère exécutive de Corse, présidente de l'Agence de Tourisme de la Corse que le maire d'Aregnu, David Calassa a souhaité à tous la bienvenue, avant de citer quelques personnes qui ont œuvré à la collaboration de cet opus : Marie-Laurence Marchetti et Franck Allegrini-Simonetti, archéologues territoriaux, service des patrimoines-archéologie à la Collectivité Territoriale de Corse présents à ses côtés, tout comme Jean-Charles Ciavatti, chercheur inventaire du patrimoine, conservateur des antiquités et objets d'art de Haute-Corse, Laetizia Castellani, adjointe au maire d'Aregnu ou encore Paola Camuffo, docteur en archéologie médiévale à l'Université de Corse et Frédérique Valery, Docteur en langues et cultures régionales à l' Université de Corse, absentes et excusées.
Avant de laisser le soin à Laetizia Castellani de présenter l'ouvrage, David Calassa ajoutait " C'est important pour nous de vous avoir à nos côtés, en ce jour, car vous êtes indéniablement les acteurs essentiels en matière de promotion ou tourisme ou encore de mise en valeur de notre patrimoine et de la mémoire de notre commune.
Notre territoire possède un patrimoine très varié et d'une d'une grande richesse. Il est le reflet de notre histoire, de notre savoir-faire des anciens et de leur vie quotidienne.
Cet ouvrage que nous présentons aujourd'hui s'inscrit dans la lignée de ce que mes prédécesseurs ont accompli pour préserver notre patrimoine. Je pense notamment à la rénovation totale de la chapelle de la trinité ou encore de l'autel de la Chapelle Sant'Antone.
Je salue également Claude Impériali qui a signé la préface".
Létizia Castellani soulignait que cet ouvrage avait pour but de valoriser et promouvoir toutes les richesses de la commune mais aussi de mettre à la portée de tous des connaissances scientifiques en faisant appel à des spécialistes pour chacune des thématiques.
Nous avons choisi les éléments les plus significatifs de notre patrimoine mais il en existe bien d'autres.
Le volet de la mémoire locale consacré à la première guerre mondiale est tout aussi important. Il s'inscrit dans la continuité de la politique communale"
Dans son intervention, Josepha Giacometti se félicitait "du choix d'une commune comme celle d'Aregnu de mettre en avant capital humain et patrimonial, avant de saluer le choix éditorial des éditions Albiana. Pour un territoire comme le notre qui a besoin de valoriser notre patrimoine il est indispensable. C'est pas toujours un choix simple pour un éditeur de soutenir ce type d'initiative.
Notre Collectivité doit être un acteur, encore plus engagé aujourd'hui aux côtés des communes, au profit des porteurs de projets qui fond le choix de valoriser le patrimoine. Il faut aussi renforcer cette logique d'inventaire et, la Collectivité a remis pas très loin de là, en état de fonctionner le centre de conservation de Calvi qui ouvrira ses portes d'ici quelques semaines. Il faut que notre Collectivité soit au service du développement"
Nanette Maupertuis s'excusait en langue corse de son retard et poursuivait:
"Je ne connais pas l'ouvrage mais je ne doute pas de sa qualité. Tout d'abord parce que je connais bien Laetizia Castellani avec qui j'ai l'occasion et le plaisir de travailler à l'Université de Corse. Je vois aussi que d'autres scientifiques et agents de la Collectivité Territoriale se sont penchés sur Aregnu et sur son histoire.
Cet histoire d'Aregnu et de la Balagne en général est très représentative des grandes mutations qu'a connu notre territoire depuis deux siècles. Et, les choses se sont accélérées à partir des années 50 avec l'avènement du tourisme.
Plutôt que de vivre ce tourisme comme un mal nécessaire qui nous est tombé dessus, mieux vaut le vivre très positivement. On a les touriste que l'on choisi et on a les touristes en fonction de ce qu'on leur montre à voir.
Il n'y a pas que la plage en Corse. Il y a aussi une histoire d'une grande richesse".
Un apéritif était offert par la municipalité.