Le collectif a gagné son pari appelant à une grande mobilisation
François Santoni Joseph Mambrini, Sonia Battistelli et Vincent Gambini ont été les porte-paroles du collectif, ont obtenu l'écho escompté : le rassemblement suivi d'une conférence de presse dans les locaux de la Fac de Lettres à Corte, a attiré beaucoup de monde.
D'entrée de jeu le collectif annonçait la couleur : " Le peuple corse doit rester maître chez lui. Si la situation faite aux arrêtés Miot reste en l'état, elle pénaliserait au plus haut point un certains nombre de Corses… La plupart ne pourront plus ni bénéficier, ni garder leur patrimoine et seront obligés de vendre leurs biens…"
Au-delà de l'abrogation des arrêtés Miot, qui ne ferait que retarder l'échéance, il faut engager une lutte pour une solution durable, ce qui amènerait bien entendu à une réforme constitutionnelle. Car un peuple à qui l'on vole sa terre, un peuple que l'on paupérise toujours plus, est un peuple qui meurt. "
A cette occasion, le collectif a appelé à une grande mobilisation le 9 février 2013 à Bastia dont le rendez-vous a été fixé à 14 h 30 à place d'Armes.
Roger GIORDANO
D'entrée de jeu le collectif annonçait la couleur : " Le peuple corse doit rester maître chez lui. Si la situation faite aux arrêtés Miot reste en l'état, elle pénaliserait au plus haut point un certains nombre de Corses… La plupart ne pourront plus ni bénéficier, ni garder leur patrimoine et seront obligés de vendre leurs biens…"
Au-delà de l'abrogation des arrêtés Miot, qui ne ferait que retarder l'échéance, il faut engager une lutte pour une solution durable, ce qui amènerait bien entendu à une réforme constitutionnelle. Car un peuple à qui l'on vole sa terre, un peuple que l'on paupérise toujours plus, est un peuple qui meurt. "
A cette occasion, le collectif a appelé à une grande mobilisation le 9 février 2013 à Bastia dont le rendez-vous a été fixé à 14 h 30 à place d'Armes.
Roger GIORDANO
L'aasistance venue en nombre assidue et attentive aux arguments portés par le collectif