Dans sa communication Nicolas Septe rappelle que la victime - un pisciniste âgé de 62 ans - avait été victime de tirs de plusieurs coups de feu alors qu’il se trouvait à proximité de son travail à Pietrosella, devait décéder rapidement des suites de ses blessures. "Peu de temps après, vers 8h55, les enquêteurs de la BRI (Brigade de recherche et d'intervention de la police judiciaire) qui travaillaient sur des surveillances engagées dans le cadre d’une autre enquête préliminaire ouverte par le parquet, interpellaient deux individus qui venaient d’incendier un véhicule Renault de type Scénic à proximité du cimetière de Porticcio. Ces deux individus étaient porteurs de masques de protection et de capuche" explique le procureur de la République d'Ajaccio qui souligne que les deux hommes avaient été aussitôt "interpellés et placés en garde à vue".
À partir de l’assassinat et un plus tard de la mise à feu volontaire du véhicule, le parquet d'Ajaccio a ouvert une enquête pour "assassinat en bande organisée et destruction d’un bien par moyens dangereux", investigations confiées à la direction territoriale de la police judiciaire d’Ajaccio. "Les premières investigations devront permettre de préciser le mobile de cet assassinat et de recueillir les déclarations et explications des deux personnes interpellées alors qu’elles étaient identifiées par la BRI comme mettant le feu à un véhicule quelques minutes seulement plus tard, technique habituelle du grand banditisme pour tenter d’effacer les traces et indices" indique encore Nicolas Septe qui précise que "les gardes à vue pourront aller jusqu’à 96 heures compte tenu de la nature des faits objets de l’enquête."
À partir de l’assassinat et un plus tard de la mise à feu volontaire du véhicule, le parquet d'Ajaccio a ouvert une enquête pour "assassinat en bande organisée et destruction d’un bien par moyens dangereux", investigations confiées à la direction territoriale de la police judiciaire d’Ajaccio. "Les premières investigations devront permettre de préciser le mobile de cet assassinat et de recueillir les déclarations et explications des deux personnes interpellées alors qu’elles étaient identifiées par la BRI comme mettant le feu à un véhicule quelques minutes seulement plus tard, technique habituelle du grand banditisme pour tenter d’effacer les traces et indices" indique encore Nicolas Septe qui précise que "les gardes à vue pourront aller jusqu’à 96 heures compte tenu de la nature des faits objets de l’enquête."