Katty Bartoli était convoquée à 14h30 à Paris par un juge antiterroriste. Cette convocation fait suite à une garde à vue en octobre dernier à la caserne de gendarmerie d’Aspretto d’Ajaccio. Sa fille était également convoquée à 10h30 à Paris pour la même affaire.
La présidente se voit reprocher une possible solidarité envers Franck Paoli lors de sa cavale.
Recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé la caserne de gendarmerie Battesti en 2013, à Ajaccio, le militant nationaliste a été interpellé en septembre dernier. Franck Paoli a toujours nié les faits qui lui sont reprochés.
Ce mardi 30 janvier, en début d’après-midi, une cinquantaine de personnes s’était rassemblée devant le commissariat d’Ajaccio pour soutenir la militante nationaliste.
‘’ On veut faire de madame Bartoli la complice d’un crime qui n’a pas encore été jugé, déplore Paul Leonetti, conseiller territorial Corsica Libera. C’est inacceptable. Mais au-delà de ça, c’est un procès qui est fait aux Nationalistes et à leurs engagements. La page est tournée pour nous mais l’Etat ne veut absolument pas prendre en considération la volonté de ce peuple d’organiser son destin démocratiquement.’’
Les personnes présentes au rassemblement restaient pour leur part persuadées du retour dans la soirée de la présidente de l’Associu. ‘’Comment ne pourrait-elle pas rentrer ce soir, affirme la conseillère exécutive de Corse Josépha Giacometti. Nous ne pouvons envisager un placement en détention. Si la situation venait à dégénérer, il y aurait bien évidemment une réaction de notre part. Mais pour le moment nous sommes dans la dynamique de la manifestation de samedi, celle du dialogue, de l’apaisement et la volonté de construire la paix.’’
La présidente se voit reprocher une possible solidarité envers Franck Paoli lors de sa cavale.
Recherché dans le cadre de l’enquête sur l’attentat à la roquette ayant visé la caserne de gendarmerie Battesti en 2013, à Ajaccio, le militant nationaliste a été interpellé en septembre dernier. Franck Paoli a toujours nié les faits qui lui sont reprochés.
Ce mardi 30 janvier, en début d’après-midi, une cinquantaine de personnes s’était rassemblée devant le commissariat d’Ajaccio pour soutenir la militante nationaliste.
‘’ On veut faire de madame Bartoli la complice d’un crime qui n’a pas encore été jugé, déplore Paul Leonetti, conseiller territorial Corsica Libera. C’est inacceptable. Mais au-delà de ça, c’est un procès qui est fait aux Nationalistes et à leurs engagements. La page est tournée pour nous mais l’Etat ne veut absolument pas prendre en considération la volonté de ce peuple d’organiser son destin démocratiquement.’’
Les personnes présentes au rassemblement restaient pour leur part persuadées du retour dans la soirée de la présidente de l’Associu. ‘’Comment ne pourrait-elle pas rentrer ce soir, affirme la conseillère exécutive de Corse Josépha Giacometti. Nous ne pouvons envisager un placement en détention. Si la situation venait à dégénérer, il y aurait bien évidemment une réaction de notre part. Mais pour le moment nous sommes dans la dynamique de la manifestation de samedi, celle du dialogue, de l’apaisement et la volonté de construire la paix.’’