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Jean-Michel Blanquer a assuré lundi 24 janvier, lors d'un déplacement à Tourcoing, qu'une décision allait être prise « d'ici huit jours ». Elle pourrait intervenir dès la fin de la semaine.
Ces épreuves de spécialité qui concernent les deux « spécialités » choisies par les lycéens en terminale sont nées de la réforme du baccalauréat et comptent pour 32 % de la note finale de cet examen. Elles n'ont encore jamais été organisées en raison de la crise sanitaire. En 2021 (première année du nouveau bac), ces épreuves avaient été annulées et remplacées par le contrôle continu. Cette fois-ci, ce n'est pas une annulation, mais un report qui est étudié avec les syndicats et le Conseil national de la vie lycéenne.
Ces épreuves de spécialité qui concernent les deux « spécialités » choisies par les lycéens en terminale sont nées de la réforme du baccalauréat et comptent pour 32 % de la note finale de cet examen. Elles n'ont encore jamais été organisées en raison de la crise sanitaire. En 2021 (première année du nouveau bac), ces épreuves avaient été annulées et remplacées par le contrôle continu. Cette fois-ci, ce n'est pas une annulation, mais un report qui est étudié avec les syndicats et le Conseil national de la vie lycéenne.
Le ministre a accepté ces discussions, demandées par plusieurs organisations, lors de la journée de mobilisation du 13 janvier. Ces épreuves seront-elles simplement aménagées et maintenues en mars comme l'espèrent majoritairement les lycéens et les parents de la Peep, une des fédérations qui représentent les parents d'élèves ? Des lycéens souhaitent le maintien des épreuves en mars, éventuellement reportées d'une ou deux semaines maximum, avec des aménagements d'épreuves, tels que par exemple deux sujets au choix pour une épreuve (à la place d'un seul). « C'est aussi très important d'avoir des épreuves nationales et anonymes qui comptent dans nos dossiers Parcoursup », relève Ruben Carius, président de l'organisation Les Lycéens !