Déjà jeudi, toujours dans le cadre de cette enquête, Ghilormu Garelli et Maxime Beux, qui avaient été interpellés mardi, avaient été mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de commettre un acte violent"
Placés sous contrôle judiciaire, il leur a été interdit d'entrer en contact avec les autres personnes recherchées dans le cadre de cette enquête, de se rendre aux réunions de Bastia 1905, de se rendre au stade et de quitter la Corse.
Ce seraient des traces d'Adn relevées sur certains sacs découverts avec des explosifs, après la manifestation du 20 Février, qui auraient permis aux enquêteurs de remonter jusqu'au deux jeunes gens dont l'un devait être jugé mercredi matin dans le prolongement des incidents de Reims-Bastia mais dont le procès a été, finalement, renvoyé à la demande de la défense.
Les enquêteurs de la police judiciaire vont essayer d'établir si les trois personnes qui se sont rendues, et désormais en garde à vue, ont été en contact, ou pas, avec les engins découverts le 20 Février dernier.
Placés sous contrôle judiciaire, il leur a été interdit d'entrer en contact avec les autres personnes recherchées dans le cadre de cette enquête, de se rendre aux réunions de Bastia 1905, de se rendre au stade et de quitter la Corse.
Ce seraient des traces d'Adn relevées sur certains sacs découverts avec des explosifs, après la manifestation du 20 Février, qui auraient permis aux enquêteurs de remonter jusqu'au deux jeunes gens dont l'un devait être jugé mercredi matin dans le prolongement des incidents de Reims-Bastia mais dont le procès a été, finalement, renvoyé à la demande de la défense.
Les enquêteurs de la police judiciaire vont essayer d'établir si les trois personnes qui se sont rendues, et désormais en garde à vue, ont été en contact, ou pas, avec les engins découverts le 20 Février dernier.