La comédie, à nouveau à l'honneur cette année, a le vent en poupe et ce ne sont pas les bastiais venus en nombre pour cette clôture du Festival italien qui diront le contraire. Mais avant de découvrir Quo Vado, la comédie de Gennaro Nunziante avec Checco Zalone qui a battu tous les records au box-office italien lors de sa sortie en 2016, place à la Cérémonie.
C’est Lidia Morfino, coordinatrice générale, qui présente la soirée et commence par remercier toutes les personnes sans qui ce Festival ne pourrait avoir lieu : partenaires privés et institutionnels, bénévoles, les invités, le public, etc.
Suit un concert de l’artiste lyrique Maryline Leonetti, par ailleurs dans le jury, qui rappelle que lors de cette édition : « Les femmes sont à l’honneur mais elles ont parfois besoin d’un homme » avec le sourire, en regardant son pianiste. Un autre homme les rejoint bientôt sur scène, Thomas Bronzini, que l'on a l’habitude voir en clôture. Il vient sur le ton de la macagna et leur duo, au chant et dans l’humour, fonctionne parfaitement. Le public en redemande entre rires et applaudissements.
Le jury jeune monte en premier sur scène pour remettre leur prix à Moschettieri del Re de Giovanni Veronesi et une mention à Tutto il moi Folle Amore de Gabriele Salvatores.
C’est au tour du jury – Anne de Giafferri, Coco Orsoni, Isa Manzi, Linda Piazza et Maryline Leonetti – de remettre elles aussi deux prix mais au même film : Sole de Carlo Sironi avec une mention pour la jeune actrice Sandra Drzymalska.
La présidente du jury, Anne de Giafferri précise que « Cinq femmes qui passent une semaine ensemble sans se disputer c’est rare ! [rires] Nous avons choisi ce film à l’unanimité. » Puis chaque membre du jury prend la parole pour dire un mot sur cette belle semaine de cinéma. Le réalisateur qui n’a pu venir dans les temps a envoyé une video sur laquelle il semble particulièrement touché de ce nouveau prix (le film est multi-récompensé).
Batti Croce rejoint la scène du théâtre accompagné de Thomas Brunelli, directeur de publication de Corse-Matin, pour remettre un prix spécial à Nathalie Baye, marraine de cette 32e édition, qui n’a pu venir pour cause de santé. C’est son ami Dominique Besnehard qui vient récupérer le trophée qui lui était destiné. Il avoue avoir eu : « Un coup de cœur pour Bastia que j’ai découvert en octobre dernier lors du Festival Arte Mare et les apriori que j’avais sur la Corse et les corses se sont envolés d’un coup. » Le rendez-vous manqué avec l’actrice française est pris pour 2021.
C’est au tour de Josepha Giacometti, Conseillère exécutive de Corse déléguée à la culture, au patrimoine, à l'éducation, à la formation, à l'enseignement supérieur et à la recherche, suivie du président du conseil exécutif Gilles Simeoni de remettre un prix spécial à l’immense écrivaine sarde Milena Agus. Elle a le mot juste : « Je suis discrète et casanière, j’aime rentrer chez moi mais à Bastia, je me suis sentie un peu chez moi » qui déclenche une salve d’applaudissement.
Il est enfin temps de remettre le prix du public, renommé Prix René Viale depuis la disparition du président fondateur de ce grand Festival. C’est d’ailleurs sa fille, Michèle De Bernardi, qui vient remettre le prix à Nour, un film Maurizio Zaccaro. La jeune actrice, Linda Mresy, visiblement émue, viens récupérer le trophée sur la scène du Théâtre qu’ont également rejoint l’ensemble des bénévoles de la manifestation.
Même si la comédie restera toujours un genre populaire, qui remplit les salles, le palmarès de cette 32e édition – avec Sole, Nour et Tutto il mio folle amore – prouve s’il en était besoin que l'émotion, des sujets forts et le cinéma d’auteur ont toute leur place sur le grand écran !
Suite à la projection de l’hilarant Quo Vado, un traditionnel buffet attend le public dans le péristyle du Théâtre, l’occasion de trinquer à cette très belle édition…et à la prochaine !
C’est Lidia Morfino, coordinatrice générale, qui présente la soirée et commence par remercier toutes les personnes sans qui ce Festival ne pourrait avoir lieu : partenaires privés et institutionnels, bénévoles, les invités, le public, etc.
Suit un concert de l’artiste lyrique Maryline Leonetti, par ailleurs dans le jury, qui rappelle que lors de cette édition : « Les femmes sont à l’honneur mais elles ont parfois besoin d’un homme » avec le sourire, en regardant son pianiste. Un autre homme les rejoint bientôt sur scène, Thomas Bronzini, que l'on a l’habitude voir en clôture. Il vient sur le ton de la macagna et leur duo, au chant et dans l’humour, fonctionne parfaitement. Le public en redemande entre rires et applaudissements.
Le jury jeune monte en premier sur scène pour remettre leur prix à Moschettieri del Re de Giovanni Veronesi et une mention à Tutto il moi Folle Amore de Gabriele Salvatores.
C’est au tour du jury – Anne de Giafferri, Coco Orsoni, Isa Manzi, Linda Piazza et Maryline Leonetti – de remettre elles aussi deux prix mais au même film : Sole de Carlo Sironi avec une mention pour la jeune actrice Sandra Drzymalska.
La présidente du jury, Anne de Giafferri précise que « Cinq femmes qui passent une semaine ensemble sans se disputer c’est rare ! [rires] Nous avons choisi ce film à l’unanimité. » Puis chaque membre du jury prend la parole pour dire un mot sur cette belle semaine de cinéma. Le réalisateur qui n’a pu venir dans les temps a envoyé une video sur laquelle il semble particulièrement touché de ce nouveau prix (le film est multi-récompensé).
Batti Croce rejoint la scène du théâtre accompagné de Thomas Brunelli, directeur de publication de Corse-Matin, pour remettre un prix spécial à Nathalie Baye, marraine de cette 32e édition, qui n’a pu venir pour cause de santé. C’est son ami Dominique Besnehard qui vient récupérer le trophée qui lui était destiné. Il avoue avoir eu : « Un coup de cœur pour Bastia que j’ai découvert en octobre dernier lors du Festival Arte Mare et les apriori que j’avais sur la Corse et les corses se sont envolés d’un coup. » Le rendez-vous manqué avec l’actrice française est pris pour 2021.
C’est au tour de Josepha Giacometti, Conseillère exécutive de Corse déléguée à la culture, au patrimoine, à l'éducation, à la formation, à l'enseignement supérieur et à la recherche, suivie du président du conseil exécutif Gilles Simeoni de remettre un prix spécial à l’immense écrivaine sarde Milena Agus. Elle a le mot juste : « Je suis discrète et casanière, j’aime rentrer chez moi mais à Bastia, je me suis sentie un peu chez moi » qui déclenche une salve d’applaudissement.
Il est enfin temps de remettre le prix du public, renommé Prix René Viale depuis la disparition du président fondateur de ce grand Festival. C’est d’ailleurs sa fille, Michèle De Bernardi, qui vient remettre le prix à Nour, un film Maurizio Zaccaro. La jeune actrice, Linda Mresy, visiblement émue, viens récupérer le trophée sur la scène du Théâtre qu’ont également rejoint l’ensemble des bénévoles de la manifestation.
Même si la comédie restera toujours un genre populaire, qui remplit les salles, le palmarès de cette 32e édition – avec Sole, Nour et Tutto il mio folle amore – prouve s’il en était besoin que l'émotion, des sujets forts et le cinéma d’auteur ont toute leur place sur le grand écran !
Suite à la projection de l’hilarant Quo Vado, un traditionnel buffet attend le public dans le péristyle du Théâtre, l’occasion de trinquer à cette très belle édition…et à la prochaine !