« Tout ce qui me reste de la révolution ».
Dans ce long métrage où elle tient aussi le rôle principal, Judith Davis y mêle ses convictions politiques avec une comédie de la famille. A travers son personnage, Angèle, elle fait éclater sa colère contre le monde contemporain.
Synopsis
Angèle avait 8 ans quand s’ouvrait le premier McDonald’s de Berlin-Est… Depuis, elle se bat contre la malédiction de sa génération : être né « trop tard », à l’heure de la déprime politique mondiale. Elle vient d’une famille de militants, mais sa mère a abandonné du jour au lendemain son combat politique, pour déménager, seule, à la campagne et sa sœur a choisi le monde de l’entreprise. Seul son père, ancien maoïste chez qui elle retourne vivre, est resté fidèle à ses idéaux. En colère, déterminée, Angèle s’applique autant à essayer de changer le monde qu’à fuir les rencontres amoureuses. Que lui reste-t-il de la révolution, de ses transmissions, de ses rendez-vous ratés et de ses espoirs à construire? Tantôt Don Quichotte, tantôt Bridget Jones, Angèle tente de trouver un équilibre.
Née en 1982, Judith Davis évolue dans un milieu artistique depuis toute petite puisqu'elle est la fille d'Yvon Davis, collaborateur du metteur en scène Bernard Sobel au Théâtre de Gennevilliers. Lors de ses études de philosophie, elle rencontre le collectif d’acteurs flamands Tg STAN. Cette rencontre va lui faire prendre un virage puisqu’elle décide de changer de vie et suit des cours dans une école de théâtre. Elle rejoint ensuite Tg STAN pour un stage et deux spectacles, "L’Avantage du doute" et "Nusch". Judith Davis multiplie ensuite les castings tant pour le cinéma que pour la télévision. Sur les planches, avec Claire Dumas, Mélanie Bestel, Nadir Legrand et Simon Bakhouche, elle co-crée la compagnie, le collectif "L’Avantage du doute", du nom d’un spectacle qu’ils avaient donné en commun. Et c’est au théâtre de la Bastille que le collectif donne son premier spectacle en 2009 : "Tout ce qu’il nous reste de la Révolution, c’est Simon". Une pièce qui l’inspirera pour son film qui a obtenu l’an passé le Prix du Meilleur film au Festival Francophone d’Angoulême.
CNI l’a rencontrée…
Dans ce long métrage où elle tient aussi le rôle principal, Judith Davis y mêle ses convictions politiques avec une comédie de la famille. A travers son personnage, Angèle, elle fait éclater sa colère contre le monde contemporain.
Synopsis
Angèle avait 8 ans quand s’ouvrait le premier McDonald’s de Berlin-Est… Depuis, elle se bat contre la malédiction de sa génération : être né « trop tard », à l’heure de la déprime politique mondiale. Elle vient d’une famille de militants, mais sa mère a abandonné du jour au lendemain son combat politique, pour déménager, seule, à la campagne et sa sœur a choisi le monde de l’entreprise. Seul son père, ancien maoïste chez qui elle retourne vivre, est resté fidèle à ses idéaux. En colère, déterminée, Angèle s’applique autant à essayer de changer le monde qu’à fuir les rencontres amoureuses. Que lui reste-t-il de la révolution, de ses transmissions, de ses rendez-vous ratés et de ses espoirs à construire? Tantôt Don Quichotte, tantôt Bridget Jones, Angèle tente de trouver un équilibre.
Née en 1982, Judith Davis évolue dans un milieu artistique depuis toute petite puisqu'elle est la fille d'Yvon Davis, collaborateur du metteur en scène Bernard Sobel au Théâtre de Gennevilliers. Lors de ses études de philosophie, elle rencontre le collectif d’acteurs flamands Tg STAN. Cette rencontre va lui faire prendre un virage puisqu’elle décide de changer de vie et suit des cours dans une école de théâtre. Elle rejoint ensuite Tg STAN pour un stage et deux spectacles, "L’Avantage du doute" et "Nusch". Judith Davis multiplie ensuite les castings tant pour le cinéma que pour la télévision. Sur les planches, avec Claire Dumas, Mélanie Bestel, Nadir Legrand et Simon Bakhouche, elle co-crée la compagnie, le collectif "L’Avantage du doute", du nom d’un spectacle qu’ils avaient donné en commun. Et c’est au théâtre de la Bastille que le collectif donne son premier spectacle en 2009 : "Tout ce qu’il nous reste de la Révolution, c’est Simon". Une pièce qui l’inspirera pour son film qui a obtenu l’an passé le Prix du Meilleur film au Festival Francophone d’Angoulême.
CNI l’a rencontrée…