Lancé depuis cette rentrée scolaire, le bac pro métiers de la sécurité a été officiellement présenté ce vendredi au lycée Jean Nicoli de Bastia, en présence du préfet de la Haute-Corse Gérard Gavory, venu rencontrer les 16 lycéens, futurs policiers gendarmes ou sapeurs-pompiers, qui ont fait de la sécurité leur vocation.
Contrairement à d’autres bac pro, comme ils l’ont timidement affirmé les jeunes lycéens, la filière sécurité n’est pas un choix par défaut. Ce sont généralement des passionnés qui rêvent d’oeuvrer dans la sécurité publique, chez les pompiers, dans l’armée, comme l’a rappelé Corinne Casimiri, Proviseur du lycée, lors de la présentation des étudiants.
« Nous sommes le seul établissement insulaire à proposer ce diplôme. » explique Madame Casimiri « On voulait diversifier et enrichir l’offre de formation et créer une filière riche en débouchées professionnelles. ».
Une signature s’imposait donc entre tous les acteurs investis dans la formation, notamment la gendarmerie départementale de la Haute-Corse représentée ce vendredi par son commandant le colonel Olivier Pezza, la Sécurité publique de la Haute-Corse, représentée par la directrice départementale Valérie Zettor, le SIS 2B, représenté par le commandant Jean Salvadori et le lycée Jean Nicoli, pour acter la convention de la filière des métiers de la sécurité.
«Nous sommes ici pour officialiser un premier partenariat afin de permettre à nos jeunes d'avoir une vision concrète sur les métiers de la sécurité, de leur offrir des perspectives d'emploi, mais également de développer l'esprit civique au service de la nation.», a conclu le proviseur.
Contrairement à d’autres bac pro, comme ils l’ont timidement affirmé les jeunes lycéens, la filière sécurité n’est pas un choix par défaut. Ce sont généralement des passionnés qui rêvent d’oeuvrer dans la sécurité publique, chez les pompiers, dans l’armée, comme l’a rappelé Corinne Casimiri, Proviseur du lycée, lors de la présentation des étudiants.
« Nous sommes le seul établissement insulaire à proposer ce diplôme. » explique Madame Casimiri « On voulait diversifier et enrichir l’offre de formation et créer une filière riche en débouchées professionnelles. ».
Une signature s’imposait donc entre tous les acteurs investis dans la formation, notamment la gendarmerie départementale de la Haute-Corse représentée ce vendredi par son commandant le colonel Olivier Pezza, la Sécurité publique de la Haute-Corse, représentée par la directrice départementale Valérie Zettor, le SIS 2B, représenté par le commandant Jean Salvadori et le lycée Jean Nicoli, pour acter la convention de la filière des métiers de la sécurité.
«Nous sommes ici pour officialiser un premier partenariat afin de permettre à nos jeunes d'avoir une vision concrète sur les métiers de la sécurité, de leur offrir des perspectives d'emploi, mais également de développer l'esprit civique au service de la nation.», a conclu le proviseur.
Forte demande
Chaque année, seulement entre 15 et 18/19 places seront disponibles. « On est obligé de faire un cotage sur profil, tout le monde n’a pas les compétences physiques et la motivation citoyenne pour s’engager trois ans dans une formation professionnelle comme celle là. » commente Christian Mendivé , Directeur Académique des services de l’Education Nationale de Haute-Corse.
Les critères de sélection sont assez précis : des aptitudes physiques importantes sont demandées pour suivre cette formation mais c’est l’entretien individuel devant une commission composée du chef d’établissement, du Directeur Délégué aux Formations Professionnelles et Technologiques, de représentants de l’équipe pédagogique ainsi que des représentants des différents partenaires de la sécurité privée, de la sécurité publique et de la sécurité civile, qui est rédhibitoire et qui permet à la commission de faire son choix.
L’académie souhaiterait que d’ici trois ans 50 élèves soient en formation. Une cinquantaine de jeunes bacheliers motivés que à l’issue de leur parcours pourront passer des concours pour entrer dans la gendarmerie ou les pompiers, par exemple, mais aussi accéder directement à la vie active ou bien poursuivre leurs études.
Les espaces de recrutement sont assez divers et la palette des métiers autour de la sécurité est assez vaste et diversifiée pour permettre aux lycéens de donner vie à leurs rêves.
Chaque année, seulement entre 15 et 18/19 places seront disponibles. « On est obligé de faire un cotage sur profil, tout le monde n’a pas les compétences physiques et la motivation citoyenne pour s’engager trois ans dans une formation professionnelle comme celle là. » commente Christian Mendivé , Directeur Académique des services de l’Education Nationale de Haute-Corse.
Les critères de sélection sont assez précis : des aptitudes physiques importantes sont demandées pour suivre cette formation mais c’est l’entretien individuel devant une commission composée du chef d’établissement, du Directeur Délégué aux Formations Professionnelles et Technologiques, de représentants de l’équipe pédagogique ainsi que des représentants des différents partenaires de la sécurité privée, de la sécurité publique et de la sécurité civile, qui est rédhibitoire et qui permet à la commission de faire son choix.
L’académie souhaiterait que d’ici trois ans 50 élèves soient en formation. Une cinquantaine de jeunes bacheliers motivés que à l’issue de leur parcours pourront passer des concours pour entrer dans la gendarmerie ou les pompiers, par exemple, mais aussi accéder directement à la vie active ou bien poursuivre leurs études.
Les espaces de recrutement sont assez divers et la palette des métiers autour de la sécurité est assez vaste et diversifiée pour permettre aux lycéens de donner vie à leurs rêves.