" Le 5 Juin prochain, le rendez-vous que propose les quatre structures, avec l'appui de la ville de Bastia, n'est pas qu'une simple visite ou un moment de distraction, c'est aussi, et surtout, une chance, une opportunité pour ceux qui veulent se donner la peine de nouer des contacts et de mieux s'armer pour l'avenir" a souligné Paul Trojani, le président de la CCI de Haute-Corse en conclusion de la présentation de l'opération qui se déroulera au musée de Bastia.
Auparavant il avait insisté sur le fait que l'alternance "est un dispositif qui a fait ses preuves depuis longtemps car, il permet au jeune en formation de mettre un pied dans l'entreprise."
D'autant que cette formation qui part du CAP-BEP et qui va jusqu'au Master 2 est aujourd'hui accessible à partir des 5 CFA (Centre de formation des apprentis) de Haute-Corse.
Et le 5 Juin ils seront tous au musée de Bastia où 15 employeurs proposeront 50 contrats en alternance. Mais au-delà de ce premier rendez-vous, il y a lieu de retenir que tout au long de la journée des conseillers seront sur place pour informer et guider dans leurs démarches les jeunes à la recherche d'un emploi en alternance qui peut être générateur de gratifications pouvant varier de 25 à 70% du montant du Smic.
"C'est la voie de l'excellence pour l'insertion des jeunes sur le marché du travail" a souligné pour sa part Jean Zuccarelli, président de l'Adec (agence pour le développement économique de la Corse).
C'est la raison pour laquelle la CTC, afin de dynamiser et de donner une nouvelle impulsion à l'apprentissage, a décidé de lui consacrer 10 millions d'euros sur 5 ans.
Dominique Gatti, directrice du Pôle Emploi de Bastia, a rappelé, au-delà de l'intérêt incontestable de l'opération et des conséquences qu'elle pouvait avoir, que 80% des jeunes qui avaient bénéficié d'un contrat d'apprentissage avaient trouvé un emploi et que, sur un plan plus pratique, le 5 Juin prochain tous les postes offerts en alternance seront affichés au musée.
Marie-Danielle Santini, de la Mission locale, qui accompagne un millier de jeunes par an dont 382 sont demandeurs d'emploi, ou Philippe Albertini, directeur de la CCIT 2B, sont églement intervenus dans le débat. Et tous sont tombés d'accord pour relever l'intérêt qu'auront les entreprises à s'intéresser de près à cette journée qui mettra en contact un centre de formation, un jeune et une entreprise.
Mais d'une façon plus générale c'est de l'image de l'apprentissage de grand papa dont on veut se débarasser aujourd'hui.
Aujourd'hui on peut suivre une formation en alternance dans le commerce, les services ou le bâtiment que l'on ait un niveau de CAP ou de Master.
La preuve : outre les les CFA traditionnels il y aura celui de l'université de Corse mais également des étudiants d'Euromed Bachelor !
Et les débouchés, à plus ou moins brève échéance, sont certains.
Mais à l'inverse d'autres pays, comme l'Allemagne par exemple, la France a sur ce plan un gros retard à rattrapper et bien des mentalités à faire évoluer.
Auparavant il avait insisté sur le fait que l'alternance "est un dispositif qui a fait ses preuves depuis longtemps car, il permet au jeune en formation de mettre un pied dans l'entreprise."
D'autant que cette formation qui part du CAP-BEP et qui va jusqu'au Master 2 est aujourd'hui accessible à partir des 5 CFA (Centre de formation des apprentis) de Haute-Corse.
Et le 5 Juin ils seront tous au musée de Bastia où 15 employeurs proposeront 50 contrats en alternance. Mais au-delà de ce premier rendez-vous, il y a lieu de retenir que tout au long de la journée des conseillers seront sur place pour informer et guider dans leurs démarches les jeunes à la recherche d'un emploi en alternance qui peut être générateur de gratifications pouvant varier de 25 à 70% du montant du Smic.
"C'est la voie de l'excellence pour l'insertion des jeunes sur le marché du travail" a souligné pour sa part Jean Zuccarelli, président de l'Adec (agence pour le développement économique de la Corse).
C'est la raison pour laquelle la CTC, afin de dynamiser et de donner une nouvelle impulsion à l'apprentissage, a décidé de lui consacrer 10 millions d'euros sur 5 ans.
Dominique Gatti, directrice du Pôle Emploi de Bastia, a rappelé, au-delà de l'intérêt incontestable de l'opération et des conséquences qu'elle pouvait avoir, que 80% des jeunes qui avaient bénéficié d'un contrat d'apprentissage avaient trouvé un emploi et que, sur un plan plus pratique, le 5 Juin prochain tous les postes offerts en alternance seront affichés au musée.
Marie-Danielle Santini, de la Mission locale, qui accompagne un millier de jeunes par an dont 382 sont demandeurs d'emploi, ou Philippe Albertini, directeur de la CCIT 2B, sont églement intervenus dans le débat. Et tous sont tombés d'accord pour relever l'intérêt qu'auront les entreprises à s'intéresser de près à cette journée qui mettra en contact un centre de formation, un jeune et une entreprise.
Mais d'une façon plus générale c'est de l'image de l'apprentissage de grand papa dont on veut se débarasser aujourd'hui.
Aujourd'hui on peut suivre une formation en alternance dans le commerce, les services ou le bâtiment que l'on ait un niveau de CAP ou de Master.
La preuve : outre les les CFA traditionnels il y aura celui de l'université de Corse mais également des étudiants d'Euromed Bachelor !
Et les débouchés, à plus ou moins brève échéance, sont certains.
Mais à l'inverse d'autres pays, comme l'Allemagne par exemple, la France a sur ce plan un gros retard à rattrapper et bien des mentalités à faire évoluer.