Paul-Felix Benedetti à son arrivée au commissariat de Bastia Photo @CoreInFronte
Paul-Felix Benedetti a été placé en garde à vue au commissariat de Bastia ce lundi matin "pour violence volontaire et outrage sur agent de la force publique ».
Le leader nationaliste avait été convoqué ce lundi à la suite des aux heurts entre sympathisants nationalistes et policiers survenus en septembre dernier devant le palais de justice de Bastia où se tenait le procès de Stéphane Tomasini, Jean-Marc Dominici et Félix Benedetti, militants du mouvement indépendantiste, poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT (fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions terroristes).
Core in Fronte a aussitôt apporté son soutien inconditionnel à son leader « victime d'un harcèlement judiciaire alors qu'il a subi, avec d'autres, un gazage intempestif et un matraquage des forces de l'ordre devant le palais de justice de Bastia, en septembre dernier, en marge d'un rassemblement de soutien à l'appel du collectif Patriotti. Ce jour là, il souhaitait assister au procès de trois patriotes, Stéphane Tomasini, Jean-Marc Dominici et Félix Benedetti, qui étaient poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT.» on lit sur la page Facebook du mouvement.
« Paul-Félix tient tête depuis une semaine aux provocations et à la répression policière. Après plusieurs tentatives infructueuses pour l’arrêter, le commissaire divisionnaire vient lui adresserune convocation pour le lundi 12 Novembre à 9h30. ».
Core in Fronte avait appelé à un rassemblement de soutien ce lundi devant le commissariat de Bastia mais le leader de Core In Fronte a été libéré quelques heures après.
Il comparaitra devant le tribunal correctionnel le 26 février prochain pour "violences volontaires, outrage sur dépositaire de l’ordre public.
Le leader nationaliste avait été convoqué ce lundi à la suite des aux heurts entre sympathisants nationalistes et policiers survenus en septembre dernier devant le palais de justice de Bastia où se tenait le procès de Stéphane Tomasini, Jean-Marc Dominici et Félix Benedetti, militants du mouvement indépendantiste, poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT (fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infractions terroristes).
Core in Fronte a aussitôt apporté son soutien inconditionnel à son leader « victime d'un harcèlement judiciaire alors qu'il a subi, avec d'autres, un gazage intempestif et un matraquage des forces de l'ordre devant le palais de justice de Bastia, en septembre dernier, en marge d'un rassemblement de soutien à l'appel du collectif Patriotti. Ce jour là, il souhaitait assister au procès de trois patriotes, Stéphane Tomasini, Jean-Marc Dominici et Félix Benedetti, qui étaient poursuivis pour refus d'inscription au FIJAIT.» on lit sur la page Facebook du mouvement.
« Paul-Félix tient tête depuis une semaine aux provocations et à la répression policière. Après plusieurs tentatives infructueuses pour l’arrêter, le commissaire divisionnaire vient lui adresserune convocation pour le lundi 12 Novembre à 9h30. ».
Core in Fronte avait appelé à un rassemblement de soutien ce lundi devant le commissariat de Bastia mais le leader de Core In Fronte a été libéré quelques heures après.
Il comparaitra devant le tribunal correctionnel le 26 février prochain pour "violences volontaires, outrage sur dépositaire de l’ordre public.