Antò fils de Pop ? "Peintre plasticien, il récupère des images, en prend une partie, l'agrandit, la répète, la détourne, la déforme, la transforme, la recycle". Ou "Antò, joue avec les images et les mots, Il forme, déforme et tout se transforme ! "
Tout Antò, que les lecteurs de CNI connaissent de longue date, est défini dans ces deux phrases que l'on trouve sur ventedart.com - achat d'art en ligne, œuvres uniques d'artistes reconnus - qui commercialise une grosse partie de sa, belle, production, et sur sa bio.
Mais Antò ce n'est pas que du virtuel.
Les nombreux invités de de l'agence M HostedByJL ont pu mesurer samedi soir - quelques unes de ses œuvres resteront pendant quelques jours encore suspendues à l'Hôtel des Gouverneurs - l'importance et la qualité de ce travail que Antò fils de Pop exporte, depuis belle lurette déjà, au-delà des limites étroites de l'Île.
Los Angeles, Montréal, Monte-Carlo, pour ne citer que ces destinations, figurent à son parcours.
L'Express et le magazine Art Travel qui lui ont consacré plusieurs de leurs colonnes attestent que le Popart et la peinture peuvent faire bon ménage.
Mais si Antò aime les destinations lontaines, il n'oublie pas, pour autant, ses origines.
Ici il peut concourir à célébrer, en bon balanin qu'il est, aux 20 ans des eaux de Zilia, participer à la notoriété du Clos Culombu ou bien apporter sa contribution à une association comme Inseme, qui permet de faire soigner, dans les meilleures conditions, les enfants corses, malades, de l'autre côté de la Méditerranée.
Quant à son art si particulier, qu'il cultive depuis 30 ans, et qui lui permet de vendre aujourd'hui plusieurs dizaines d'œuvres par an, il ne peut s'affranchir de la Corse.
"Je suis Corse, je vis la Corse tous les jours. Je suis témoin de ses joies. De ses peines. Et des injustices qu'on lui fait subir".
D'où cette allusion à Bitch FM TV, qui, accueillait le public l'autre soir à l'Hôtel des Gouverneurs, et qui renvoie à un sigle dont on a souvent parlé ici il n'y a pas très longtemps. Et ce Captain Corsica, un superman 100% nustrale, dont on semble vouloir la peau…
"L'actu de la Corse elle est présente dans ce que je fais. Mais elle n'est pas la seule. La religion, parce qu'en Corse nous sommes catholiques, y a aussi sa place. J'ai peint le Aio !, de la Madonne les bras ouverts interrogatifs, au lendemain des attentats de Paris. Celu, est inspiré du Christ de la chapelle Saint-Antoine de Calvi."
"Et en regardant tout cela d'un peu plus près l'on se rendrait compte qu'il existe un lien entre tous ces tableaux, comme une BD géante que l'on pourrait presque reconstituer."
Oui, Antò Fils de Pop a de la suite dans les idées et du talent qui ne se limite plus, aujourd'hui, à sa Balagne natale.
On n'a eu droit qu'à un tout petit aperçu l'autre soir : à quand une exposition de plus grande envergure de son pop art corsé ?
Tout Antò, que les lecteurs de CNI connaissent de longue date, est défini dans ces deux phrases que l'on trouve sur ventedart.com - achat d'art en ligne, œuvres uniques d'artistes reconnus - qui commercialise une grosse partie de sa, belle, production, et sur sa bio.
Mais Antò ce n'est pas que du virtuel.
Les nombreux invités de de l'agence M HostedByJL ont pu mesurer samedi soir - quelques unes de ses œuvres resteront pendant quelques jours encore suspendues à l'Hôtel des Gouverneurs - l'importance et la qualité de ce travail que Antò fils de Pop exporte, depuis belle lurette déjà, au-delà des limites étroites de l'Île.
Los Angeles, Montréal, Monte-Carlo, pour ne citer que ces destinations, figurent à son parcours.
L'Express et le magazine Art Travel qui lui ont consacré plusieurs de leurs colonnes attestent que le Popart et la peinture peuvent faire bon ménage.
Mais si Antò aime les destinations lontaines, il n'oublie pas, pour autant, ses origines.
Ici il peut concourir à célébrer, en bon balanin qu'il est, aux 20 ans des eaux de Zilia, participer à la notoriété du Clos Culombu ou bien apporter sa contribution à une association comme Inseme, qui permet de faire soigner, dans les meilleures conditions, les enfants corses, malades, de l'autre côté de la Méditerranée.
Quant à son art si particulier, qu'il cultive depuis 30 ans, et qui lui permet de vendre aujourd'hui plusieurs dizaines d'œuvres par an, il ne peut s'affranchir de la Corse.
"Je suis Corse, je vis la Corse tous les jours. Je suis témoin de ses joies. De ses peines. Et des injustices qu'on lui fait subir".
D'où cette allusion à Bitch FM TV, qui, accueillait le public l'autre soir à l'Hôtel des Gouverneurs, et qui renvoie à un sigle dont on a souvent parlé ici il n'y a pas très longtemps. Et ce Captain Corsica, un superman 100% nustrale, dont on semble vouloir la peau…
"L'actu de la Corse elle est présente dans ce que je fais. Mais elle n'est pas la seule. La religion, parce qu'en Corse nous sommes catholiques, y a aussi sa place. J'ai peint le Aio !, de la Madonne les bras ouverts interrogatifs, au lendemain des attentats de Paris. Celu, est inspiré du Christ de la chapelle Saint-Antoine de Calvi."
"Et en regardant tout cela d'un peu plus près l'on se rendrait compte qu'il existe un lien entre tous ces tableaux, comme une BD géante que l'on pourrait presque reconstituer."
Oui, Antò Fils de Pop a de la suite dans les idées et du talent qui ne se limite plus, aujourd'hui, à sa Balagne natale.
On n'a eu droit qu'à un tout petit aperçu l'autre soir : à quand une exposition de plus grande envergure de son pop art corsé ?