Dans ses orientations stratégiques, la commission a ciblé la question des violences faites aux femmes afin de mesurer leur réalité et d'aider de façon plus efficace les victimes. Cette problématique est l’un des quatre principaux axes de travail annoncés dans la feuille de route de la Commission adoptée à l’unanimité en juillet 2017.
Aussi des premières séries d’auditions ont eu lieu pour définir différents axes de travail et la question de l’observation des violences est apparue comme essentielle, notamment au travers de la création d’un observatoire des violences faites aux femmes. Une motion a été adoptée en juillet 2018, à l’unanimité, demandant la création de cet observatoire. Sa mission sera de renforcer la connaissance et l’expertise sur les violences conjugales dans toute la Corse, d’accompagner et de protéger les femmes par la mise en réseau des acteurs agissant dans ce champ et enfin de sensibiliser en identifiant les outils existants.
« On avait besoin d’être conseillé, Mme Ronai est apparue comme la spécialiste en la matière avec la création d’observatoires des violences faites aux femmes » souligne Anne-Laure Santucci. « Nous avions aussi invité des associations et la réunion a été bénéfique. Je pense qu’aujourd’hui on a porté un espoir. On est ici pour travailler et on travaille sur le fonds car cet observatoire doit être pérenne. On va innover car on est un territoire rural et on veut transformer nos handicaps en positif. La démographie est un handicap, on va en faire une force, notamment grâce à la fusion des collectivités »
Présente donc pour apporter son expérience et son expertise, Ernestine Ronai a expliqué que « L’important est de travailler en partenariat avec les forces de sécurité, de police, l’éducation nationale, les services sociaux et les associations. Si on veut aider les femmes à sortir des violences, il faut avoir à notre disposition des informations suffisamment précises. Déjà savoir ce qui existe, connaitre l’ampleur des dégâts et face à cette ampleur connaitre les ressources disponibles. Ce qui a été fait à Bastia, en mettant un référent à l’hôpital est magnifique. C’est un exemple à suivre »
L’observatoire est sur les rails et dans les semaines qui vont suivre de nouvelles réunions auront lieu, toujours en liaison avec l’observatoire de Seine-Saint Denis. Il s’agira de mettre en place un comité de pilotage de l’observatoire, de resserrer les liens entre partenaires et de trouver des idées innovantes.
CNI a recueilli les impressions de Anne-Laure Santucci et ErnestineRonai à l’issue des débats.
Aussi des premières séries d’auditions ont eu lieu pour définir différents axes de travail et la question de l’observation des violences est apparue comme essentielle, notamment au travers de la création d’un observatoire des violences faites aux femmes. Une motion a été adoptée en juillet 2018, à l’unanimité, demandant la création de cet observatoire. Sa mission sera de renforcer la connaissance et l’expertise sur les violences conjugales dans toute la Corse, d’accompagner et de protéger les femmes par la mise en réseau des acteurs agissant dans ce champ et enfin de sensibiliser en identifiant les outils existants.
« On avait besoin d’être conseillé, Mme Ronai est apparue comme la spécialiste en la matière avec la création d’observatoires des violences faites aux femmes » souligne Anne-Laure Santucci. « Nous avions aussi invité des associations et la réunion a été bénéfique. Je pense qu’aujourd’hui on a porté un espoir. On est ici pour travailler et on travaille sur le fonds car cet observatoire doit être pérenne. On va innover car on est un territoire rural et on veut transformer nos handicaps en positif. La démographie est un handicap, on va en faire une force, notamment grâce à la fusion des collectivités »
Présente donc pour apporter son expérience et son expertise, Ernestine Ronai a expliqué que « L’important est de travailler en partenariat avec les forces de sécurité, de police, l’éducation nationale, les services sociaux et les associations. Si on veut aider les femmes à sortir des violences, il faut avoir à notre disposition des informations suffisamment précises. Déjà savoir ce qui existe, connaitre l’ampleur des dégâts et face à cette ampleur connaitre les ressources disponibles. Ce qui a été fait à Bastia, en mettant un référent à l’hôpital est magnifique. C’est un exemple à suivre »
L’observatoire est sur les rails et dans les semaines qui vont suivre de nouvelles réunions auront lieu, toujours en liaison avec l’observatoire de Seine-Saint Denis. Il s’agira de mettre en place un comité de pilotage de l’observatoire, de resserrer les liens entre partenaires et de trouver des idées innovantes.
CNI a recueilli les impressions de Anne-Laure Santucci et ErnestineRonai à l’issue des débats.