Il n’aura échappé à personne que Blanche Gardin donnait son seul en scène hier au Théâtre de Bastia. Depuis plusieurs semaines, des réseaux sociaux aux pauses café, la question fatidique qui revenait en boucle était : « Tu as ta place toi ? ». Sans même donner un nom, tout le monde savait de quel spectacle il s’agissait.
Et pour cause, « le spectacle affichait complet dès le 10 octobre, date d’ouverture des ventes à l’unité », confie à CNI Frédérique Blabinot, directrice artistique Spettaculu Vivu, responsable du théâtre. Elle ajoute « Auparavant, 200 places avaient été vendues à l’abonnement. Ce qui veut dire que plus de 600 places ont été vendues en deux ou trois heures ! ». Si l’artiste était tant attendue, ce n’est pas dû au hasard.
Seule face à son micro, dans une mise en scène minimaliste, Blanche Gardin donne le ton. A l’inverse de tout ceux qui ventent les plaisirs d’être en Corse en remerciant un accueil chaleureux, l’artiste se ravie d’être en territoire insulaire : « au début on sent un peu de distance, puis avec le temps c’est complètement froid. » Décalée sur le fond comme sur la forme, la quarantenaire parle sans tabou de sujets de société à travers sa vie. Gilets jaunes, sexualité, angoisse de la vieillesse, démocratie, pédophilie… Tout y passe, sans clichés et 800 rires sont au rendez-vous. Un humour qui plait parce qu’il dérange, parce qu’il sort des habituels one-man-show, parce qu’il interroge tant il peut faire écho.
Un succès total donc, au delà des espérances : « J’imaginais qu’on remplirait mais je n’imaginais pas que ça serait aussi rapide. Et surtout, qu’il y aurait une telle demande même après l’annonce du fait que c’était complet ! », confie enfin Frédérique Balbinot qui s’est vue très sollicitées ces derniers jours. Deux semaines auparavant, Eddy de Pretto avait azimuté le public bastiais en affichant complet depuis plusieurs mois, pour son unique date en Corse. De belles intuitions dans la programmation !
Ce soir, Ajaccio accueille à son tour Blanche Gardin mais évidemment… c’est complet !
Et pour cause, « le spectacle affichait complet dès le 10 octobre, date d’ouverture des ventes à l’unité », confie à CNI Frédérique Blabinot, directrice artistique Spettaculu Vivu, responsable du théâtre. Elle ajoute « Auparavant, 200 places avaient été vendues à l’abonnement. Ce qui veut dire que plus de 600 places ont été vendues en deux ou trois heures ! ». Si l’artiste était tant attendue, ce n’est pas dû au hasard.
Seule face à son micro, dans une mise en scène minimaliste, Blanche Gardin donne le ton. A l’inverse de tout ceux qui ventent les plaisirs d’être en Corse en remerciant un accueil chaleureux, l’artiste se ravie d’être en territoire insulaire : « au début on sent un peu de distance, puis avec le temps c’est complètement froid. » Décalée sur le fond comme sur la forme, la quarantenaire parle sans tabou de sujets de société à travers sa vie. Gilets jaunes, sexualité, angoisse de la vieillesse, démocratie, pédophilie… Tout y passe, sans clichés et 800 rires sont au rendez-vous. Un humour qui plait parce qu’il dérange, parce qu’il sort des habituels one-man-show, parce qu’il interroge tant il peut faire écho.
Un succès total donc, au delà des espérances : « J’imaginais qu’on remplirait mais je n’imaginais pas que ça serait aussi rapide. Et surtout, qu’il y aurait une telle demande même après l’annonce du fait que c’était complet ! », confie enfin Frédérique Balbinot qui s’est vue très sollicitées ces derniers jours. Deux semaines auparavant, Eddy de Pretto avait azimuté le public bastiais en affichant complet depuis plusieurs mois, pour son unique date en Corse. De belles intuitions dans la programmation !
Ce soir, Ajaccio accueille à son tour Blanche Gardin mais évidemment… c’est complet !