La mort violente de Stéphane Gaberand né le 1er octobre 1973 à la Ciotat, domicilié à Calvi, villas les Rochers, impasse de Santore, mortellement blessé, la nuit dernière à 0h45, alors qu'il rentrait ou sortait de son domicile était largement commentée dans la cité "Semper Fidélis" où la victime était connue.
Les faits on l'a dit se sont déroulés à 0h45 mais ce n'est que mardi matin à 5h35 que l'alerte a été donnée par son colocataire qui a découvert le corps de Stéphane Gaberand gisant dans son sang, à l'entrée de la villa des Rochers où il résidait et à quelques mètres seulement de la résidence des Capitelles, au bout d'une impasse.
La section de recherche de Bastia Haute-Corse saisie de l'enquête était sur place en début de matinée, avec les techniciens de l'identification criminelle pour passer au peigne fin la scène de crime.
Joint hier soir par téléphone le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessonne indiquait que l'homme connu des services de police, principalement pour violences conjugales, a été abattu au fusil de chasse, précisant aussitôt qu'il faudra attendre l'autopsie qui sera pratiquée jeudi à Bastia pour en savoir plus sur les circonstances de cette mort violente.
Sur place vers 10h15, Clémence Olivier, substitut du procureur de la République se rendait sur la scène de crime, avant de repartir une heure plus tard sans faire la moindre déclaration.
Les enquêteurs poursuivaient leurs investigations aux alentours avant de perquisitionner le domicile de la victime et en interrogeant le colocataire pour tenter de savoir ce qui a bien pu se passer dans les heures qui ont précédé le meurtre.
De la victime, on ne sait pas grand chose si ce n'est qu'elle ne travaillait pas et qu'elle était invalide à la suite d'un handicap à une main.
Ceux qui ont eu l'occasion de le rencontrer le décrivent comme un homme aimant faire la fête mais c'est tout.
Dans le voisinage proche en revanche, les termes de disputes, bagarres, beuveries provenant des habitations de la Villa des Rochers reviennent souvent dans les discussions.
" Il était 0h45 quand j'ai entendu deux coups de feu mais je n'ai pas entendu la moindre altercation auparavant mais c'est clair que les disputes entre locataires étaient fréquentes" dira un résidant.
"Il était un petit peu moins de minuit lorsque j'ai entendu des coups de feu. Sur le moment je n'ai pas vraiment pensé au pire car il arrive que dans la nuit on entende ce genre de choses. Et puis il y avait un vent violent qui soufflait. Un petit moment après j'ai entendu une voiture mais je ne saurai vous dire si ça venait du même endroit .
Ce n'est que ce matin que j'ai vraiment réalisé quand j'ai vu de nombreux gendarmes sur place" témoigne une voisine encore sous le choc.
Ce n'est qu'en tout début d'après-midi que le corps de la victime a été confié à un service des pompes funèbres pour son transfert à Bastia en attendant l'autopsie.
Plusieurs heures après les faits, les habitants de ce petit quartier étaient enfin autorisés à rentrer ou sortir de chez eux, alors que le périmètre de sécurité était levé.
Les enquêteurs eux poursuivaient leurs investigations.
Les faits on l'a dit se sont déroulés à 0h45 mais ce n'est que mardi matin à 5h35 que l'alerte a été donnée par son colocataire qui a découvert le corps de Stéphane Gaberand gisant dans son sang, à l'entrée de la villa des Rochers où il résidait et à quelques mètres seulement de la résidence des Capitelles, au bout d'une impasse.
La section de recherche de Bastia Haute-Corse saisie de l'enquête était sur place en début de matinée, avec les techniciens de l'identification criminelle pour passer au peigne fin la scène de crime.
Joint hier soir par téléphone le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessonne indiquait que l'homme connu des services de police, principalement pour violences conjugales, a été abattu au fusil de chasse, précisant aussitôt qu'il faudra attendre l'autopsie qui sera pratiquée jeudi à Bastia pour en savoir plus sur les circonstances de cette mort violente.
Sur place vers 10h15, Clémence Olivier, substitut du procureur de la République se rendait sur la scène de crime, avant de repartir une heure plus tard sans faire la moindre déclaration.
Les enquêteurs poursuivaient leurs investigations aux alentours avant de perquisitionner le domicile de la victime et en interrogeant le colocataire pour tenter de savoir ce qui a bien pu se passer dans les heures qui ont précédé le meurtre.
De la victime, on ne sait pas grand chose si ce n'est qu'elle ne travaillait pas et qu'elle était invalide à la suite d'un handicap à une main.
Ceux qui ont eu l'occasion de le rencontrer le décrivent comme un homme aimant faire la fête mais c'est tout.
Dans le voisinage proche en revanche, les termes de disputes, bagarres, beuveries provenant des habitations de la Villa des Rochers reviennent souvent dans les discussions.
" Il était 0h45 quand j'ai entendu deux coups de feu mais je n'ai pas entendu la moindre altercation auparavant mais c'est clair que les disputes entre locataires étaient fréquentes" dira un résidant.
"Il était un petit peu moins de minuit lorsque j'ai entendu des coups de feu. Sur le moment je n'ai pas vraiment pensé au pire car il arrive que dans la nuit on entende ce genre de choses. Et puis il y avait un vent violent qui soufflait. Un petit moment après j'ai entendu une voiture mais je ne saurai vous dire si ça venait du même endroit .
Ce n'est que ce matin que j'ai vraiment réalisé quand j'ai vu de nombreux gendarmes sur place" témoigne une voisine encore sous le choc.
Ce n'est qu'en tout début d'après-midi que le corps de la victime a été confié à un service des pompes funèbres pour son transfert à Bastia en attendant l'autopsie.
Plusieurs heures après les faits, les habitants de ce petit quartier étaient enfin autorisés à rentrer ou sortir de chez eux, alors que le périmètre de sécurité était levé.
Les enquêteurs eux poursuivaient leurs investigations.