Jeudi à Nice et vendredi matin à Ajaccio, le 47ème anniversaire du crash de la Caravelle Ajaccio-Nice, les familles des victimes se sont recueillies au cimetière marin des Sanguinaires, le temps d’une messe commémorative. Aujourd’hui, l’espoir renaît avec la réponse de l’Élysée à une demande de l’association. La missive précise que des recherches sont en cours au sein des archives de la Défense. Elles permettront, qui sait ?, de faire la lumière sur cette terrible catastrophe pour qu’enfin éclate la vérité. Un espoir que partage Laurent Marcangeli, le député-maire d’Ajaccio, qui pourrait interpeller prochainement, en compagnie de son homologue niçois, Christian Estrosi, le gouvernement à ce sujet.
Vendredi matin, l'heure était au recueillement, devant la stèle érigée en mémoire des 95 victimes du crash de la Caravelle Ajaccio-Nice.
Le préfet, le maire d'Ajaccio, de nombreux représentants du conseil municipal niçois et de communes voisines, du conseil général et de la Région étaient présents pour se recueillir, 47 ans après le drame.
L’émotion toujours présente
Plusieurs familles étaient venues rendre hommage à leurs proches, disparus dans l'accident dont l'origine est si discutée, familles qui s’accroche plus que jamais à la vérité sur cet accident qui a plongé l’île dans la douleur. Un feu à l'arrière de l'appareil, comme l'indique le Bureau d'enquêtes et d'analyse pour la sécurité de l'aviation civile ou simplement un missile perdu lors de manœuvres militaires, comme certains éléments le laissent supposer? Les familles n’ont pas perdu l’espoir de voir la vérité éclater au vu des circonstances de cet accident tragique.
Pendant le dépôt de gerbes des autorités et le chant polyphonique du groupe Isul'anima, c'était l'émotion qui dominait.
J. F.
Vendredi matin, l'heure était au recueillement, devant la stèle érigée en mémoire des 95 victimes du crash de la Caravelle Ajaccio-Nice.
Le préfet, le maire d'Ajaccio, de nombreux représentants du conseil municipal niçois et de communes voisines, du conseil général et de la Région étaient présents pour se recueillir, 47 ans après le drame.
L’émotion toujours présente
Plusieurs familles étaient venues rendre hommage à leurs proches, disparus dans l'accident dont l'origine est si discutée, familles qui s’accroche plus que jamais à la vérité sur cet accident qui a plongé l’île dans la douleur. Un feu à l'arrière de l'appareil, comme l'indique le Bureau d'enquêtes et d'analyse pour la sécurité de l'aviation civile ou simplement un missile perdu lors de manœuvres militaires, comme certains éléments le laissent supposer? Les familles n’ont pas perdu l’espoir de voir la vérité éclater au vu des circonstances de cet accident tragique.
Pendant le dépôt de gerbes des autorités et le chant polyphonique du groupe Isul'anima, c'était l'émotion qui dominait.
J. F.