Le débat était initié par Anticor et la municipalité de Centuri avec, en ligne de mire : la presse et la démocratie.
Un sujet qui concerne quel que citoyen que ce soit, partout dans le monde.
Apparemment, ça n’a pas plu à tout le monde.
La salle était comble, les habitants et les Gilets Jaunes étaient venus de tout le canton écouter les invités.
Jacques Trentesaux qui sera parmi nous au mois de mai avait envoyé une vidéo explicative sur « Médiacités », qui est un média d’investigations locales, plus libre que les autres médias et permet d’assainir l’écrit, par rapport à la politique, aux enjeux sociaux, à l’économie, à la culture etc…
Il a posé une question : "un média libre peut-il exister en Corse ? "
A la suite de cela le débat était lancé, malheureusement dans des conditions difficiles dans le brouhaha orchestré sciemment par des fauteurs de troubles, on parvenait péniblement à entendre les questions et les réponses.
J.- M. Verne a soulevé les problèmes économiques, les lanceurs d’alertes, alertes sur lesquelles il faudrait mettre un filtre, J. Follorou, également de la partie avec tout son savoir sur les infractions mafieuses, émettait des doutes et, Juan Branco, présent sur le sol corse depuis tout de même 3 jours entiers, a indiqué entres autres, appuyé par les journalistes qui orchestraient le débat, que la presse était verrouillée en France et que c’était dommage.
Une chose est sûre tous ont été d’accord pour dire qu’il serait bon d’inviter « Médiacités » en Corse.
Rendez-vous donc est pris en mai avec J. Trentesaux et, peut-être pourquoi pas « Médiacités ».
Un sujet qui concerne quel que citoyen que ce soit, partout dans le monde.
Apparemment, ça n’a pas plu à tout le monde.
La salle était comble, les habitants et les Gilets Jaunes étaient venus de tout le canton écouter les invités.
Jacques Trentesaux qui sera parmi nous au mois de mai avait envoyé une vidéo explicative sur « Médiacités », qui est un média d’investigations locales, plus libre que les autres médias et permet d’assainir l’écrit, par rapport à la politique, aux enjeux sociaux, à l’économie, à la culture etc…
Il a posé une question : "un média libre peut-il exister en Corse ? "
A la suite de cela le débat était lancé, malheureusement dans des conditions difficiles dans le brouhaha orchestré sciemment par des fauteurs de troubles, on parvenait péniblement à entendre les questions et les réponses.
J.- M. Verne a soulevé les problèmes économiques, les lanceurs d’alertes, alertes sur lesquelles il faudrait mettre un filtre, J. Follorou, également de la partie avec tout son savoir sur les infractions mafieuses, émettait des doutes et, Juan Branco, présent sur le sol corse depuis tout de même 3 jours entiers, a indiqué entres autres, appuyé par les journalistes qui orchestraient le débat, que la presse était verrouillée en France et que c’était dommage.
Une chose est sûre tous ont été d’accord pour dire qu’il serait bon d’inviter « Médiacités » en Corse.
Rendez-vous donc est pris en mai avec J. Trentesaux et, peut-être pourquoi pas « Médiacités ».