Il est 20h30 lorsque s'ouvrent les portes du "Cabaret" de RCFM animé, avec la passion qu'on lui connaît, par Olivier Balbinot.
La salle de l’espace Diamant est pleine. Les fans de Tino Rossi, parfois accompagnés de leurs enfants côtoient les fans de Christophe Mondoloni, venus eux aussi avec leur progéniture, plus jeune. Ce sont donc plusieurs générations, parfois fans du « latin lover » et du jeune interprète ajaccien qui se retrouvent ici pour découvrir la version « Mondoloni » des succès du premier chanteur corse à avoir chanté la Corse. Ils sont venus applaudir et remercier Christophe Mondoloni de faire revivre dans leur cœur les chansons du chanteur disparu depuis trente ans.
« Corse île d’amour », «20 ans », « Le tango Corse » : quelques titres parmi les succès revisités, sous les applaudissements du public, reprenant les refrains les plus connus, une version inédite de « Petit Papa Noël » en version bilingue Corse/français, jusqu’à l’interprétation du célèbre « Aiacciu » pour lequel le public se lève pour ne plus se rassoir.
Un medley final, accompagné de Grégory Gambarelli au clavier et pour cette soirée exceptionnelle, des invités exceptionnels que sont Paul Acquaviva, Jean Bozzi et Pierrot Quidicci,à la guitare, amis et compagnons de route de Tino Rossi. Jean Bozzi a profité de l’occasion pour parler de la star et livrer quelques anecdotes révélant l’homme qu’il était.
Un hommage à un homme qui a tant promu la Corse
Christophe Mondoloni le reconnaît, avant que Michel Galabru ne lui donne l’idée de ce projet, il ne connaissait rien ou presque de Tino Rossi. A force d’écouter et de lire, le jeune corse se rend compte de l’ampleur du talent et du succès de Tino Rossi. Mais surtout il comprend très vite tout ce le chanteur au succès international a apporté à la Corse. « Tino n’a cessé de chanté et promouvoir la Corse (…) jamais la Corse n’aurait pu se payer une telle publicité… ». C’est un juste retour de lui rendre hommage, un devoir de mémoire dira même Christophe Mondoloni.
Comme l’explique Philippe Uchan, ce n’est pas juste un tour de chant. Il s’agit d’un réel spectacle avec une mise en scène visant à mettre à l’honneur Tino Rossi mais aussi dans le but de valoriser la Corse comme aimait à le faire Tino.
Les deux chanteurs ont des points communs : un charme incontestable, un amour de la Corse inébranlable, une voix au timbre différent mais tout aussi remarquable. Espérons que ces similitudes porteront chance à Christophe Mondoloni et que son succès parisien sera à la hauteur du succès de Tino Rossi.
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Sur RCFM la semaine prochaine, images à revoir début septembre dans le journal de Jean-Pierre Pernault sur TF1.
La salle de l’espace Diamant est pleine. Les fans de Tino Rossi, parfois accompagnés de leurs enfants côtoient les fans de Christophe Mondoloni, venus eux aussi avec leur progéniture, plus jeune. Ce sont donc plusieurs générations, parfois fans du « latin lover » et du jeune interprète ajaccien qui se retrouvent ici pour découvrir la version « Mondoloni » des succès du premier chanteur corse à avoir chanté la Corse. Ils sont venus applaudir et remercier Christophe Mondoloni de faire revivre dans leur cœur les chansons du chanteur disparu depuis trente ans.
« Corse île d’amour », «20 ans », « Le tango Corse » : quelques titres parmi les succès revisités, sous les applaudissements du public, reprenant les refrains les plus connus, une version inédite de « Petit Papa Noël » en version bilingue Corse/français, jusqu’à l’interprétation du célèbre « Aiacciu » pour lequel le public se lève pour ne plus se rassoir.
Un medley final, accompagné de Grégory Gambarelli au clavier et pour cette soirée exceptionnelle, des invités exceptionnels que sont Paul Acquaviva, Jean Bozzi et Pierrot Quidicci,à la guitare, amis et compagnons de route de Tino Rossi. Jean Bozzi a profité de l’occasion pour parler de la star et livrer quelques anecdotes révélant l’homme qu’il était.
Un hommage à un homme qui a tant promu la Corse
Christophe Mondoloni le reconnaît, avant que Michel Galabru ne lui donne l’idée de ce projet, il ne connaissait rien ou presque de Tino Rossi. A force d’écouter et de lire, le jeune corse se rend compte de l’ampleur du talent et du succès de Tino Rossi. Mais surtout il comprend très vite tout ce le chanteur au succès international a apporté à la Corse. « Tino n’a cessé de chanté et promouvoir la Corse (…) jamais la Corse n’aurait pu se payer une telle publicité… ». C’est un juste retour de lui rendre hommage, un devoir de mémoire dira même Christophe Mondoloni.
Comme l’explique Philippe Uchan, ce n’est pas juste un tour de chant. Il s’agit d’un réel spectacle avec une mise en scène visant à mettre à l’honneur Tino Rossi mais aussi dans le but de valoriser la Corse comme aimait à le faire Tino.
Les deux chanteurs ont des points communs : un charme incontestable, un amour de la Corse inébranlable, une voix au timbre différent mais tout aussi remarquable. Espérons que ces similitudes porteront chance à Christophe Mondoloni et que son succès parisien sera à la hauteur du succès de Tino Rossi.
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Sur RCFM la semaine prochaine, images à revoir début septembre dans le journal de Jean-Pierre Pernault sur TF1.
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