Le Collectif des Enfants Déchirés sollicité par le papa du petit Enzo, Benjamin Medri, apporte son total soutien à la famille paternelle. Nous le faisons avec d’autant plus de détermination partagée que nous dénonçons l’interprétation aveugle du droit international effectuée successivement par les juges suisses puis les magistrats français. Car dans cette affaire, aucune vérification des arguments de la maman n’a été opérée ! Et personne ne semble se préoccuper de l’intérêt supérieur de l’enfant ni de la situation particulière d’handicap du petit Enzo, dont seul le papa s’est préoccupé sérieusement. En effet, depuis l’origine de cette affaire judiciaire internationale, qui débute en avril 2014, aucun juge ne s’est jamais interrogé sur les raisons du déclenchement de ce litige parental ni sur les besoins vitaux d’Enzo ni sur les capacités éducatives respectives des deux parents. Chaque magistrat applique, comme à son habitude bien ancrée, le postulat intangible que seule la présence de la mère aux côtés d’Enzo doit être pris en compte…avant même l’examen de l’intérêt supérieur d’Enzo et de son meilleur choix de résidence pour lui !
Le Collectif des Enfants Déchirés ne porte pas de jugement sur le bien-fondé des prétentions respectives de chacun des deux parents à souhaiter la résidence, mais constate cinq évidences :
1) La première prise de position de la maman et de son avocate suisse, Maître Carole Ambord, a été d’éjecter le papa en supprimant en Suisse toute relation père/fils, dès début avril 2014, ce qui a tout de suite fermé la porte à toute possibilité d’une solution raisonnable et équilibrée. En disant le contraire, nous constatons que Maître Finaletri a dit une contre-vérité !
2) L’autre acte négatif de la mère a été son refus de la médiation familiale internationale proposée par le papa pour trouver des solutions qui tiennent compte du handicap de l’enfant, prouvant ainsi que le retour de langage d’Enzo n’a jamais été la préoccupation de la maman. D’ailleurs, dans le dossier judiciaire en Suisse, la mère ne parle jamais que son propre enfant ne parle pas et a besoin d’être sérieusement suivi ! C’est pourquoi Maître Finaletri a dit une deuxième contre-vérité en affirmant que la mère avait fait tout le nécessaire en Suisse !
3) La troisième étape de cet imbroglio judiciaire, c’est qu’après avoir constaté qu’Enzo n’était pas suivi en Suisse concernant ses difficultés dans l’expression orale, seul à ce jour le père a fait le nécessaire dès son arrivée en Corse pour offrir à l’enfant une prise en charge optimale qui apporte une réponse urgente aux besoins réels et concrets de l’enfant.
4) Le quatrième constat, c’est que la demande de retour en Suisse formulée par les avocats de la mère dans les deux pays repose uniquement sur une plainte pénale abusive déposée en Suissele 7 avril, mais qui n’a jamais été suivie d’effet du côté helvétique, l’enfant et le père ne résidant plus en Suisse ! En dehors de cette plainte abusive, aucun reproche ne peut être fait au papa, puisqu’aucune décision n’avait fixé la garde d’Enzo à sa mère et aucune décision en Suisse n’avait accordé l’autorité parentale exclusive à la maman avant la remise volontaire de l’enfant au père le 1er avril 2014. Contrairement à ce que dit Maître Finaletri, le père n’est coupable d’aucun fait répréhensible en Suisse et c’est parce qu’aucune décision de justice n’avait été rendue en Suisse qu’il est venu librement s’installer en Corse avec Enzo.
5) Le cinquième point qui saute aux yeux, c’est que l’intérêt supérieur de l’enfant ainsi que le handicap de langage d’Enzo, élément majeur du dossier qui justifie son maintien en Corse auprès de son père, n’ont jamais été pris en compte par aucun magistrat ni en Suisse ni en France. Comme si les exigences de la maman étaient plus importantes que le bien-être et la santé de l’enfant ! Contrairement à ce que soutient Maître Finaletri, il s’agit d’une situation incompréhensible car rien ne justifie le retour immédiat d’Enzo en Suisse, d’autant que la mère n’a produit aucun bail ni aucun contrat de travail prouvant sa capacité personnelle à prendre en charge Enzo ; sans compter qu’elle est dans l’incapacité de payer les frais médicaux de l’enfant !
Indéniablement, compte tenu de l’âge de l’enfant et de la distance entre la Suisse et la Corse, le petit Enzo ne pourra pas voir de manière régulière ses deux parents. Très pragmatiquement, un parent aura la lourde responsabilité de gérer l’enfant au quotidien et donner les moyens à l’autre parent de s’informer et d’exercer son autorité parentale à distance. Et ceci est exactement ce à quoi s’attelle M. Medri depuis son retour en Corse, avec l’aide de sa famille et de Monsieur Bruno Lagadec, le Médiateur Familial International.
Nous saluons le courage et la détermination de M. Medri et de la famille paternelle à s’occuper principalement du handicap de langage d’Enzo, alors même que la justice Française et la justice Suisse semblent se liguer par-delà les frontières dans une simple posture idéologique pro-maternelle et sans tenir compte du bien-être, de la santé et du développement scolaire d’Enzo.
Le Collectif des Enfants Déchirés ne porte pas de jugement sur le bien-fondé des prétentions respectives de chacun des deux parents à souhaiter la résidence, mais constate cinq évidences :
1) La première prise de position de la maman et de son avocate suisse, Maître Carole Ambord, a été d’éjecter le papa en supprimant en Suisse toute relation père/fils, dès début avril 2014, ce qui a tout de suite fermé la porte à toute possibilité d’une solution raisonnable et équilibrée. En disant le contraire, nous constatons que Maître Finaletri a dit une contre-vérité !
2) L’autre acte négatif de la mère a été son refus de la médiation familiale internationale proposée par le papa pour trouver des solutions qui tiennent compte du handicap de l’enfant, prouvant ainsi que le retour de langage d’Enzo n’a jamais été la préoccupation de la maman. D’ailleurs, dans le dossier judiciaire en Suisse, la mère ne parle jamais que son propre enfant ne parle pas et a besoin d’être sérieusement suivi ! C’est pourquoi Maître Finaletri a dit une deuxième contre-vérité en affirmant que la mère avait fait tout le nécessaire en Suisse !
3) La troisième étape de cet imbroglio judiciaire, c’est qu’après avoir constaté qu’Enzo n’était pas suivi en Suisse concernant ses difficultés dans l’expression orale, seul à ce jour le père a fait le nécessaire dès son arrivée en Corse pour offrir à l’enfant une prise en charge optimale qui apporte une réponse urgente aux besoins réels et concrets de l’enfant.
4) Le quatrième constat, c’est que la demande de retour en Suisse formulée par les avocats de la mère dans les deux pays repose uniquement sur une plainte pénale abusive déposée en Suissele 7 avril, mais qui n’a jamais été suivie d’effet du côté helvétique, l’enfant et le père ne résidant plus en Suisse ! En dehors de cette plainte abusive, aucun reproche ne peut être fait au papa, puisqu’aucune décision n’avait fixé la garde d’Enzo à sa mère et aucune décision en Suisse n’avait accordé l’autorité parentale exclusive à la maman avant la remise volontaire de l’enfant au père le 1er avril 2014. Contrairement à ce que dit Maître Finaletri, le père n’est coupable d’aucun fait répréhensible en Suisse et c’est parce qu’aucune décision de justice n’avait été rendue en Suisse qu’il est venu librement s’installer en Corse avec Enzo.
5) Le cinquième point qui saute aux yeux, c’est que l’intérêt supérieur de l’enfant ainsi que le handicap de langage d’Enzo, élément majeur du dossier qui justifie son maintien en Corse auprès de son père, n’ont jamais été pris en compte par aucun magistrat ni en Suisse ni en France. Comme si les exigences de la maman étaient plus importantes que le bien-être et la santé de l’enfant ! Contrairement à ce que soutient Maître Finaletri, il s’agit d’une situation incompréhensible car rien ne justifie le retour immédiat d’Enzo en Suisse, d’autant que la mère n’a produit aucun bail ni aucun contrat de travail prouvant sa capacité personnelle à prendre en charge Enzo ; sans compter qu’elle est dans l’incapacité de payer les frais médicaux de l’enfant !
Indéniablement, compte tenu de l’âge de l’enfant et de la distance entre la Suisse et la Corse, le petit Enzo ne pourra pas voir de manière régulière ses deux parents. Très pragmatiquement, un parent aura la lourde responsabilité de gérer l’enfant au quotidien et donner les moyens à l’autre parent de s’informer et d’exercer son autorité parentale à distance. Et ceci est exactement ce à quoi s’attelle M. Medri depuis son retour en Corse, avec l’aide de sa famille et de Monsieur Bruno Lagadec, le Médiateur Familial International.
Nous saluons le courage et la détermination de M. Medri et de la famille paternelle à s’occuper principalement du handicap de langage d’Enzo, alors même que la justice Française et la justice Suisse semblent se liguer par-delà les frontières dans une simple posture idéologique pro-maternelle et sans tenir compte du bien-être, de la santé et du développement scolaire d’Enzo.