(Photos M. L)
Les différents acteurs des comités de suivi de la sécheresse des deux départements se sont retrouvés, ce lundi en visio-conférence depuis la préfecture de Région à Ajaccio et la préfecture de Haute-Corse à Bastia. Une réunion importante, la deuxième après celle du 20 juin dernier, à Corte, où il avait déjà été question d’évoquer l’année 2018. Et quoi de mieux que les chiffres pour se placer sur les bons rails en ce concerne l’avenir.
Sur ce point, les différents acteurs concernés, représentés à Ajaccio et Bastia n’ont pas manqué d’être explicites.
La réunion s’est déclinée en trois points : la situation globale actuelle, les perspectives et la stratégie de communication.
Concernant les chiffres, tous les indicateurs sont au vert.
Pour les services de Météo France, la période qui s’étale de septembre 2017 à mars 2018 est bien au-delà de la normale avec un printemps particulièrement arrosé et une humidité au sol au-delà de la normale. Les prévisions donnent un automne plus chaud dans l’ensemble. La situation hydrologique abonde dans le même sens. Débit mensuel en baisse par rapport à juin mais des crues abondantes surtout en août découlant sur une augmentation. Résultat, une situation globale très favorable mais dépendante des perturbations pluviométriques. En clair, vigilance requise.
Enfin, pour ce qui est des nappes et des barrages, on a évoqué de même une situation exceptionnelle.
« Nous sommes loin de la période de sécheresse connue l’an dernier, a précisé Saveriu Luciani, président de l’Office Hydraulique, c’est notre deuxième réunion après celle de juin. L’an dernier, nous avions une réunion par semaine. »
Tout est –presque- juste et parfait en ce qui concerne l’eau en Corse, tant les ressources que les différents bilans. Pour autant, les acteurs ont été unanimes en matière de vigilance. Qu’il s’agisse de Méteo France, EDF, les SIS, Kyrnolia, les Offices et Agences, le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM), il a été question de maintenir, en matière de stratégie et de communication un rythme élevé de réunions, de préserver les ressources pour les années à venir mais aussi de surveiller la fréquentation sur les plans d’eau, et, d’une manière générale, la fréquence connue par les activités sportives liées à l’eau (canyoning par exemple), ou de corriger la surconsommation.
Les deux comités devraient se réunir de nouveau avant la fin de l’année
Sur ce point, les différents acteurs concernés, représentés à Ajaccio et Bastia n’ont pas manqué d’être explicites.
La réunion s’est déclinée en trois points : la situation globale actuelle, les perspectives et la stratégie de communication.
Concernant les chiffres, tous les indicateurs sont au vert.
Pour les services de Météo France, la période qui s’étale de septembre 2017 à mars 2018 est bien au-delà de la normale avec un printemps particulièrement arrosé et une humidité au sol au-delà de la normale. Les prévisions donnent un automne plus chaud dans l’ensemble. La situation hydrologique abonde dans le même sens. Débit mensuel en baisse par rapport à juin mais des crues abondantes surtout en août découlant sur une augmentation. Résultat, une situation globale très favorable mais dépendante des perturbations pluviométriques. En clair, vigilance requise.
Enfin, pour ce qui est des nappes et des barrages, on a évoqué de même une situation exceptionnelle.
« Nous sommes loin de la période de sécheresse connue l’an dernier, a précisé Saveriu Luciani, président de l’Office Hydraulique, c’est notre deuxième réunion après celle de juin. L’an dernier, nous avions une réunion par semaine. »
Tout est –presque- juste et parfait en ce qui concerne l’eau en Corse, tant les ressources que les différents bilans. Pour autant, les acteurs ont été unanimes en matière de vigilance. Qu’il s’agisse de Méteo France, EDF, les SIS, Kyrnolia, les Offices et Agences, le Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM), il a été question de maintenir, en matière de stratégie et de communication un rythme élevé de réunions, de préserver les ressources pour les années à venir mais aussi de surveiller la fréquentation sur les plans d’eau, et, d’une manière générale, la fréquence connue par les activités sportives liées à l’eau (canyoning par exemple), ou de corriger la surconsommation.
Les deux comités devraient se réunir de nouveau avant la fin de l’année
(Photos M. L)
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