Comme l'an passé les psaumes, les lectures seront lus en langue corse par les confrères, les pénitents blancs seront chargés de l'extinction des bougies de l'église assistés pour le dépouillement des autels de 2 confrères pendant que les chantres officieront pour les antiennes.
La tradition consiste à éteindre quatorze des quinze cierges fixés sur un chandelier triangulaire après chaque psaume à mesure que le jour se lève. Ces quinze cierges symbolisent les douze apôtres et les trois Marie au tombeau du Christ.
L’extinction progressive de la lumière rappelle les ténèbres qui couvrirent la terre lorsque Jésus mourut sur la croix.
Le cierge placé au sommet du chandelier reste toutefois allumé car il représente le Corps du Christ. Il est d’abord caché derrière l’autel, pour figurer la mort de notre seigneur, puis on le fait réapparaître avec un grand bruit (le vacarme) pour signifier le triomphe de la résurrection.
Après quoi les confrères suivis des fidèles se lèvent et partent en silence jusque sur le parvis de l'église.
Recherche d'humilité
L'office se terminera par La "granitula" symbôle de mort et de résurrection où "l'esprit saint ou corps du christ" est représenté par le quinzième cierge allumé est alors déroulée.
Le Massier, suivi de ses confrères, entame une procession et délimite un grand cercle sacré inscrivant à 3 reprises (et à 3 endroits différents) des spirales successives de plus en plus étroites jusqu'à un point compact, la spirale peut alors se dérouler dans le sens contraire, pour enfin renaître.
La granitula se termine lorsque les confrères forment une croix.
Cela marque la fin de la cérémonie et le début de notre réflexion.
La recherche d'humilité de cet office est parfaitement liée à la philosophie de la confrérie de saint-Charles.
La tradition consiste à éteindre quatorze des quinze cierges fixés sur un chandelier triangulaire après chaque psaume à mesure que le jour se lève. Ces quinze cierges symbolisent les douze apôtres et les trois Marie au tombeau du Christ.
L’extinction progressive de la lumière rappelle les ténèbres qui couvrirent la terre lorsque Jésus mourut sur la croix.
Le cierge placé au sommet du chandelier reste toutefois allumé car il représente le Corps du Christ. Il est d’abord caché derrière l’autel, pour figurer la mort de notre seigneur, puis on le fait réapparaître avec un grand bruit (le vacarme) pour signifier le triomphe de la résurrection.
Après quoi les confrères suivis des fidèles se lèvent et partent en silence jusque sur le parvis de l'église.
Recherche d'humilité
L'office se terminera par La "granitula" symbôle de mort et de résurrection où "l'esprit saint ou corps du christ" est représenté par le quinzième cierge allumé est alors déroulée.
Le Massier, suivi de ses confrères, entame une procession et délimite un grand cercle sacré inscrivant à 3 reprises (et à 3 endroits différents) des spirales successives de plus en plus étroites jusqu'à un point compact, la spirale peut alors se dérouler dans le sens contraire, pour enfin renaître.
La granitula se termine lorsque les confrères forment une croix.
Cela marque la fin de la cérémonie et le début de notre réflexion.
La recherche d'humilité de cet office est parfaitement liée à la philosophie de la confrérie de saint-Charles.