Le premier concerne la délégation de service public liant le Département à la société des Eaux d'Orezza qui exploite la source du même nom.
La DSP arrive aujourd'hui à son terme.
En attendant les offres du, ou des candidats potentiels, François Orlandi a rappelé qu'Orezza c'était désormais "11 millions de cols - ou bouteilles - produits, une progression régulière des activités du site, un chiffre d'affaires de 7 millions d'euros qui augmente de près de 5% par an". Le président de l"assemblée départementale a encore souligné que "le délégataire emploie aujourd'hui 28 personnes, ce qui n'est pas négligeable dans la microrégion", et que "la qualité des eaux produites leur a conféré une renommée nationale et internationale".
Dès lors la réouverture de la DSP pourrait se faire sous la forme d'un bail commercial.
"Compte tenu du fait que nous étions partis sur une ressource quasiment abandonnée, avec pour objectif la remise en état par le délégataire puis la pérennisation de l'activité, une part fixe de 15 000€ et une participation aux nombres de cols vendus ,avaient été décidé, ce qui représentait pour le Département une redevance d'environ 100 000€ par an".
Avec une nouvelle convention qui devrait courir sur 25 ans les ressources, compte tenu de la bonne santé des eaux d'Orezza, seraient bien sûr plus conséquentes pour le Département.
Toujours au titre de la commission des finances, de l'économie et de l'administration générale, la Haute-Corse a relancé l'exploitation des bains de Pietrapola à Isolacciu-di-Fium'Orbu. Le site qui a été acquis par le Département en 2012 bénéficie d'un agrément de station sanitaire qui risquait d'être perdu. C'est afin de ne pas le perdre et ne pas interrompre l'activité du site - un certain nombre de curistes continuaient à fréquenter les lieux - qui s'est poursuivie malgré un état des lieux qui nécessitait un certain nombre d'investissements, le Conseil départemental a relancé, en régie, l'exploitation des bains.
Objectifs : "maintenir l'agrément, préserver l'activité dans la microrégion."
Et c'est sur la bonne voie. L'établissement qui table sur une fréquentation de 310 curistes pour parvenir à l'équilibre financier a, déjà, enregistré plus du tiers de réservations fermes sans avoir fait la moindre publicité.
L'investissement a été de 94 000 €. Le budget global se situe autour de 230 000€.
Un an après les intempéries qui ont causé des dégâts considérables au réseau routier départemental, l'heure est à la réalisation des travaux de reconstruction.
Les marchés ont été passés en urgence avec l'Etat. Ce sont 16 millions d'euros de travaux qui seront réalisés sur l'ensemble du Département mais avec "une petite inquiétude" a souligné François Orlandi.
"J'attends une prochaine réunion avec la CTC car, j'ai cru comprendre, à la faveur d'échanges oraux, que a région souhaiterait revoir la convention qui lie le Département et la CTC - une aide 60 millions d'euros sur 5 ans. Nous avions fléché 4 millions pour le réseau routier rural que nous comptions utiliser pour financer les travaux sur le zones sinistrées du rural profond qui sont d'une impérieuse nécessité".
Un plan de prévention contre le virus Zika, le sempiternel RSA, l'environnement avec les activités parfois incompatibles autour de l'étang de Biguglia et l'aide aux communes, d'un montant de 13 millions d'euros, constitueront quelques uns des nombreux autres dossiers sur lesquels les élus de Haute-Corse auront à se prononcer.
La DSP arrive aujourd'hui à son terme.
En attendant les offres du, ou des candidats potentiels, François Orlandi a rappelé qu'Orezza c'était désormais "11 millions de cols - ou bouteilles - produits, une progression régulière des activités du site, un chiffre d'affaires de 7 millions d'euros qui augmente de près de 5% par an". Le président de l"assemblée départementale a encore souligné que "le délégataire emploie aujourd'hui 28 personnes, ce qui n'est pas négligeable dans la microrégion", et que "la qualité des eaux produites leur a conféré une renommée nationale et internationale".
Dès lors la réouverture de la DSP pourrait se faire sous la forme d'un bail commercial.
"Compte tenu du fait que nous étions partis sur une ressource quasiment abandonnée, avec pour objectif la remise en état par le délégataire puis la pérennisation de l'activité, une part fixe de 15 000€ et une participation aux nombres de cols vendus ,avaient été décidé, ce qui représentait pour le Département une redevance d'environ 100 000€ par an".
Avec une nouvelle convention qui devrait courir sur 25 ans les ressources, compte tenu de la bonne santé des eaux d'Orezza, seraient bien sûr plus conséquentes pour le Département.
Toujours au titre de la commission des finances, de l'économie et de l'administration générale, la Haute-Corse a relancé l'exploitation des bains de Pietrapola à Isolacciu-di-Fium'Orbu. Le site qui a été acquis par le Département en 2012 bénéficie d'un agrément de station sanitaire qui risquait d'être perdu. C'est afin de ne pas le perdre et ne pas interrompre l'activité du site - un certain nombre de curistes continuaient à fréquenter les lieux - qui s'est poursuivie malgré un état des lieux qui nécessitait un certain nombre d'investissements, le Conseil départemental a relancé, en régie, l'exploitation des bains.
Objectifs : "maintenir l'agrément, préserver l'activité dans la microrégion."
Et c'est sur la bonne voie. L'établissement qui table sur une fréquentation de 310 curistes pour parvenir à l'équilibre financier a, déjà, enregistré plus du tiers de réservations fermes sans avoir fait la moindre publicité.
L'investissement a été de 94 000 €. Le budget global se situe autour de 230 000€.
Un an après les intempéries qui ont causé des dégâts considérables au réseau routier départemental, l'heure est à la réalisation des travaux de reconstruction.
Les marchés ont été passés en urgence avec l'Etat. Ce sont 16 millions d'euros de travaux qui seront réalisés sur l'ensemble du Département mais avec "une petite inquiétude" a souligné François Orlandi.
"J'attends une prochaine réunion avec la CTC car, j'ai cru comprendre, à la faveur d'échanges oraux, que a région souhaiterait revoir la convention qui lie le Département et la CTC - une aide 60 millions d'euros sur 5 ans. Nous avions fléché 4 millions pour le réseau routier rural que nous comptions utiliser pour financer les travaux sur le zones sinistrées du rural profond qui sont d'une impérieuse nécessité".
Un plan de prévention contre le virus Zika, le sempiternel RSA, l'environnement avec les activités parfois incompatibles autour de l'étang de Biguglia et l'aide aux communes, d'un montant de 13 millions d'euros, constitueront quelques uns des nombreux autres dossiers sur lesquels les élus de Haute-Corse auront à se prononcer.